mardi 27 août 2013

Chapitre 428 - When they said you can't , then : you have to.






" J'ambiance même quand j'ai pas le pas de danse , j'ai beau pas être dans le rythme je garde la cadence. Je ne lâche pas , ne t'interpose pas , tu ne fais pas le poids. Et je ne parle pas de kilos ni même de la taille de ma libido , mais plutôt d'une détermination de fer , tu ne sais pas à qui tu as affaire. Débousollé , abusé , perdu , on ne t'as encore reconnu mais promis , je vais te rendre ton du. Souffle un coup , comme mohammed ali sur le ring je te met à bout. Magnifique ! Regarde comment ça brille , admire la puissance de mes rimes , voilà comme t'humilier sans même te regarder. Vu ton ignorance laisse moi évaluer le vide entre toi & la connaissance. On parlera de toi dans le journal de 20h , affiche des grands titres , une horreur : Un jeune ado retrouvé en morceau dans le caniveau. Je tiendrai ma promesse , tout en prenant ta mère en levrette en lui tirant les tresses ! Je lui avouerai entre quelques caresses ce que j'ai fais de son fils . De sa pauvre merde , de son clochard renié dans une harmonie triste , qui ferait meme chialé ta soeur , mais j'y vais de bon coeur . Débouche toi les oreilles avant que je te vire toutes les dents de ce sourire, merde ce soir y a vraiment quelqu'un qui veut souffrir. Qui à parler d'une ascension ? J'apporte une exécution et avec moi mille et un tour de magie , mais pas de fée lation ni de toupie , juste un spectacle où un chien de rue , l'espace d'un instant , à cru etre décandent . Remettons les pendules à l'heure , enchanté je me présente : ton malheur . Je te tiens en sueur , te fait frisonner de peur, je te fais passé des nuits d'insomnie , à la limite de sombré dans la folie tu me supplies de m’arrêter , la larme à l'oeil  , j'entend claquer tes dents au rythme des rires des gens qui nous entourent , c'est fini pour ton tour .  Jeté sous un train , j'irai voir tes parents , je les prendrai par la main et doucement je leur dirai que s'en est fini de toi , t'es enfin sur la bonne voie. Je termine là , je n'ai plus de temps pour toi. Va te falloir un instant pour retrouver tes esprits , et comprendre ce que je dis , le gosse est tellement con qu'il pensait réussir , mais il a pas vu le coup venir ! On lui laisse un moment , histoire qu'il comprenne que non , maman signe absent pour consolé son gros tas de merde d'un mètre soixante-quinze. Ce soir on dira de moi que j'ai amusé la galerie , ou que j'ai abusé sur les saloperies. Une chose est sure après ça : comme le malade mentale sortie de l'internat , tu marchera plus droit. "



[...]

" Ton fils a des allures de bêtes. "
" Je sais , il se bat férocement. "
" On dirait toi. "
" Je lui ai appris la chose la plus essentielle du monde dès le début. "
" Et c'est .. ? "
" De ne jamais abandonner. "
" Pas mal. "

[...]

" Alors comme ça ton fils est une bete féroce ? Il est pourtant calme. "
" L'arbre qui cache la foret. "
" Il mord plutot fort ? "
" Te fait pas attraper , sinon il te lachera pas. "

[...]


" ASSAS ou Sorbonne , les plus prestigieuses université de droit de France. Les deux te disent oui , et tu as le droit de choisir dans laquelle tu vas.. Tu vas réussir ? "
" C'est le moment d'en finir avec les gamineries. Je vais enfin dire bonjour à l'élite. "
" Et pas qu'un peu. T'as les meilleurs de France là-bas ,  prêt pour ça ? "
" Ne te demande pas si je suis prêt , mais interroge toi sur la façon dont ton fils va les surpasser. "






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