dimanche 30 décembre 2012

Now, I'm a wreck. If I represent exactly for you , is that you really represent for me .. We can do more than just heal our wounds. The only thing who hurts are to live without the person who alone makes us feel more alive through his eyes that in the eyes of millions of others. Together we are invincible , unbreakable. Together , we are you , we are me .. We are : Us . Dare you to love me ? Because , me I dare. I take this risk.




vendredi 28 décembre 2012

Chapitre 315 - Tu es toujours aussi belle.. Puis je voulais surtout te dire : Il n'y a personne , jamais personne qui m'a fait chavirer le coeur comme tu me l'as fais.




" First, you think the worst is a broken heart , what's gonna kill you is the second part. And the third, Is when your world splits down the middle, and fourth, you're gonna think that you fixed yourself. Fifth, you see them out with someone else. And the sixth, is when you admit that you may have fucked up a little. "


It was cold , it was night. We were in the street alone. It was snow who falling of the sky. Some cars, two or three cars headlights. We were sit in bus stop, heart beating fast, hands frozen. What is remain of all this today ? All the way ? Any decisions ? All this happiness ? All this tears ? All this smiles ? All this live gone ? Nothing.. Nothing .. Apart these fucking memories... Life is unfair, and the only person who could fix it , to prefer throw away the key.. So unfair .




You , Me .. Us ?  I think now it is no longer the case for you.
This is not a simple phrase that can be used like that. To say that
we did a good deed. We must assume, and realize what it represents.
That is to say , that this not enough , say not enought , not enough
thinking, not enough to writing... It's too easy.. Too easy... Is to say
that without being
.

The " We " that I have and who comes haunt me in my dreams is dead.. He didn't exist. Let me end or that anything prove to me the otherwise, because otherwise I'll never let go. Fucking hope , fucking love .. You made me love you until the last of my walls. The worst about it is that you have nothinf to give a damn. Or if a little bit , just to say or do some kind of " I can not pretend it does not affect me " . You do not know it .. It us true that it is much better after all .. To tell the truth .. The worse , the better.. I don't care, I'm just crazy about you , living without you is a hell. Being away of you is so hard. But this is what you wanted. I take what I said , I'm here , I'm always here.



jeudi 27 décembre 2012

Chapitre 314 [One Year] - Tu es quelqu'un de formidable.. Pas moi



I think of you, I just can't talk to you right now. I miss you, I just can't admit right now. I need you, I just can't show you right now. I love you , I just can't tell you right now.

mercredi 26 décembre 2012




On le ne répétera peut-être jamais assez; mais il n'y a pas que la drogue qui provoque le manque.


dimanche 23 décembre 2012

Chapitre 313 - Et soudain on se souvient.



8 Mai 2008

Je ne remercierai peut être jamais assez l'abruti ou la petite conne qui au lieu d'écouter son prof en cours à préférer prendre cette photo. Je me remets à penser , à devenir nostalgique. Une image vaut mille mots , et un demie million d'émotions.  Un regard qui part dans le vague. L'esquisse d'un sourire en coin de lèvre , un soupir venant d'un souvenir. Ce n'est pas parce que l'on est jeune que nous n'avons pas vécu.. Un univers autour duquel tout devient plus lent , plus flou.. Moins compréhensif. Doucement une petite blessure se ré-ouvre , silencieusement.. Et bordel qu'est-ce que sa fait mal.



Chapitre 312 - Et plus tard quand on me parlera de persévérance, je parlerai de toi. Je préfère encore brûler mon piano que de renoncer .





Il faisait vraiment froid aujourd'hui , le vent était glacial , le soleil avait pris sa journée et signer absent pour la matinée . La pluie elle était au rendez-vous bien que non invitée. Je voyais les gens dans les rues , et les galeries marchandes ; s'agiter , en retard , ou à la dernière minute , avec quelques arrivistes , et d'autres indécis qui se torturaient l'esprit devant un magasin en ce demandant si ce qu'ils avaient pris était assez bien. Un travail de fourmis. Les gens bougeaient , marchaient , courraient , d'autres faisaient les gros yeux à une idée qui venait sûrement d'éclore dans leurs têtes. Assis sur un banc où passant se confond trop souvent avec les artistes en puissance , les amoureux fougueux , les sales égoïstes et les rêveurs. J'étais là , à regarder ses millions de réactions et d'idées naître. J'étais spectateur , et vu l'agitation , on aurait cru que quelqu'un avait mit un coup de pied dans la fourmilière. Il fallait savoir se qu'on voulait et vite , le vingt-deux pour le vingt-cinq sa ne laisse pas beaucoup de temps. Pour les plus malchanceux en plus de ne plus avoir de temps , il ne devait clairement rester plus énormément de choix. Et malgré tout il fallait trouver la chose , le petit détail qui faisait la différence. Ses gens qui se cherchent sans se trouver , qui se frôlent sans regarder , comme si l'autre n'était qu'un leurre , un mur que l'on frôle , une silhouette que l'on évite. J'en venais à me demander si la pluie allait céder sa place à la neige, tout en continuant de voir des vies s'entrecroiser , d'entendre un père proposant à sa fille un chocolat chaud , une mère hurler sur son fils pour sa facture de téléphone , deux jeunes filles parlant de garçon.. C'est arriver comme ça. Soudainement, comme l'explosion d'un pétard mouillé. A mon tour je me suis mis à chercher ,moi qui moins d'une heure avant cela , j'étais un simple visionnaire sur un ton presque moqueur , d'une foule qui cherchait un cadeau de Noël de dernière minute .. Je faisais maintenant partie de cette foule , de ce groupe qui , deux mois avant se disent "prêt" , rassurant les proches en leurs sortant les excuses salaces du " Ne vous en faite pas ! J'ai déjà trouver , il n'y a pas de soucis " .. Je n'avais jamais ce soucis , je n'offrais jamais de cadeau , et rare était les cadeaux qui me plaisaient .. La faute à un espoir et une exigence d'enfant de six ans , pas facile pour un garçon en âge d'être adulte..  Et pourtant de force je me retrouvais dans cette catégorie de personne.. L'envie m'était tomber du ciel.. Elle me frappa l'esprit. Je ne savais pas pourquoi je le faisais , mais je devais le faire , il le fallait. J'avais "besoin" de le faire. Le plus étrange , c'était que je n'avais pas besoin de réfléchir je savais se que je voulais. Je savais où le trouver. Le résultat ? Je me retrouve avec un cadeau emballé, un seul et unique cadeau . Ce cadeau ? Il est pour toi. Il ne te parviendra peut être jamais , je n'aurai peut être jamais l'occasion de te le présenter .. Mais tu sais se que l'on dit n'est-ce pas ? Comme à la poste il y a des lettres qui ne verront jamais le destinataire qui leurs est destiné . A Noël il y a des cadeaux qui se perdent sous la neige.. 

vendredi 21 décembre 2012

Chapitre 311 - Between dream and reality , wish and have , take and give , the love or forgetting , Life or death : There is only one choice , one decision : Disrupt your life , right now.





J'aimerai écrire quelque chose qui vaille la peine d'être lu , d'être compris. Ce n'est pas simple. Je choisi des mots qui ne correspondent pas toujours à ce que je veux faire comprendre. J'écris par envie ou agonie. Je lis parfois des lettres , j'évite les tiennes qui pourraient me tuer dans l'instant. Je prend du temps dans les librairies. Je m'arrête devant un banc enneigé. Je regarde les étoiles quand à dix-huit heures le soleil se couche. Je me cherche sans réellement me trouver. Le destin décide d'un cache-cache qui me terrorise. Je me surprends à rêver en plein milieu d'un cours. Je me retourne soudainement dans la rue , en croyant avoir entendu ton rire. Puis je me dis de tout ça que peut être que je suis le seul à penser à ça , peut être trop nostalgie , trop bloquer dans le passé , je me dis que je suis peut être le seul à penser que tu me manques. J'ai peur de faire une idéalisation , je me réjouie de contenir des choses encore pure dans une carcasse pourrie comme la mienne. La vérité ne m'a jamais égarer , je ne l'ai pas fuis , ni refuser. La différence c'est que moi, j'ai continué. Et je continue encore. Je crois que je déteste une chose nouvelle chez moi ; cette idée de ne jamais renoncer. J'aimerai quelquefois abandonner, laisser tomber.. A un coeur rêveur, l'impossible .. N'est qu'un simple défi.

Chapitre 310 - "Partie terminée , merci d'avoir jouer."





Huey Mack - You're a star (Part II)



Je pense qu'avec le temps; j'ai dû me forcer à ton absence. J'ai dû endurer des jours entiers sans ta présence qui d'habitude était si importante que je pouvais en imaginer le bruit de ton souffle, le tintement de tes pas. Il m'était facile de dessiner les traits, et les contours de ton visage angélique. Qui apaisait mes souffrances , et décuplé mes joies. Malheureusement pour moi, j'avais cette impression que cela ne soit pas , plus réciproque , que cela n'ai jamais été le cas. Enfin de compte j'ai encore l'impression de ne pas te manquer, et je crois que .. Tu vas arrêter de me manquer à ton tour tu sais.. Que pouvons-nous dire face à la personne que nous aimons quand elle nous avoue qu'on ne lui manque plus ? .. Rien, absolument .. Rien.








" Je me croyais incapable de te protéger. J'avais l'impression de devenir cinglé. Je ne pensais qu'à toi. Je m'inquiétais sans cesse. Tu me manquais tant, ça m'a fait beaucoup souffrir. Aimer quelqu'un peut être une grande douleur. Mais c'est plus fort que moi, je ne peux pas m'éloigner de toi. Je t'aime. D'un amour aussi intense que l'explosion de l'univers. Aussi éternel que l'assèchement des océans. Même si mon âme doit être réduite en cendres. Je t'aime. Je t'aime de toute mon âme. "



lundi 17 décembre 2012

Chapitre 309 - The Wolf Is The Key






Until the end of the night


[Brouillon] (modifié le 22 Décembre)



L’histoire se passe en l’an 2011 , entre Novembre et Décembre a Budapest , capitale de la Roumanie , une grande entreprise y règne dans le secteur du parfum , son patron à un fils , ce fils va bientôt prend le relais pour suivre les projets du père qui vise a étendre son entreprise en Europe de l’Ouest , la marque se fait bien connaitre dans la presse et dans les grandes réceptions qu’elle organise avec les gens de haute société. Né d’une famille d’ancien aristocrate, vivant dans le luxe , et déjà milliardaire à 19 ans , le jeune adolescent en phase d’être un homme , est totalement associable et cynique. Malgré ça , dans l’université dans laquelle il étudie , se trouve une fille qui lui plaît tout particulièrement , elle fait le même genre d’étude que lui , et se retrouve souvent côte à côte en cours. Elle vient d’un milieu modeste , tandis que lui dans sa classe, université , ville et même dans le pays est considérer comme un élite de la société , ses parents deux grands aristocrates aux goûts très prononcer pour les choses de valeurs ainsi que l’entreprise et se qu’ils représentent ont énormément d’influence dans la ville mais aussi dans le pays. Son père refuse de voir son fils s’associer, se mélanger où même être entourer de personnes qui sont d’un rang inférieur à le leurs, il reste froid et distant avec lui. C’est un homme d’affaire dur et implacable qui avec le temps est devenu amer. Sa mère quant à elle , est une femme chaleureuse et douce , qui a su l’éduquer et lui donner des principes de vie très purs et correct, il n’a pas toujours était à l’école et a subi dans son enfance la moquerie de ses camarades car différent des autres , il avait un avenir déjà tout tracer devant lui avec un destin d’homme richissime et surpuissant , souvent seul , et cherchant la reconnaissance d’un père qui n’a jamais était présent pour lui , il se renferme et se débrouille pour réussir au mieux ses études afin d’impressionner son père et lui prouver qu’il est digne d’hérité du travail de sa vie. Malgré tout il reste calme , sérieux , et froid avec les gens qui l’entoure , la faute à une enfance difficile. Cependant , il se trouve différent avec cette fille qui est d’une innocence inégalée et contagieuse.. Elle très discrète et pourtant elle attire l’envie de beaucoup d’étudiant de l’université. Restant timide elle refuse toute les avances,  lui ne tient pas à se présenté sous la faiblesse de ses émotions et reste donc aussi silencieux enfermant ses sentiments. Pourtant un soir tout bascule quand il apprend que l’entreprise de son père va installer une nouvelle industrie au Danemark , la moitié des employés de l’entreprise a Budapest vont être mutés là-bas. Ses parents vont le laisser a Budapest dans son appartement en centre-ville, seul, pour mettre en place l’organisation de cette nouvelle entreprise , qui va s’en suivre de plusieurs réunions. En pleine période d’examen pour l’obtention de son diplôme, il se rapproche , discute , apprend auprès de cette fille qui inéluctablement l’attire, un lien se crée entre eux , un lien inexplicable et inconnu bien trop fort pour retenir ses deux êtres de ne pas se réunir le temps d’une vie. Il apprend de façon brutal un soir de la part de la fille qu’il , désormais aime , qu’elle va devoir déménager , la stupeur est totale quand elle lui apprend , qu’elle part avec sa famille pour le Danemark , ne le laissant qu’avec un seul et unique baiser froid , le soir où elle l’abandonne les larmes aux yeux en plein milieu du centre ville d’un Budapest sous la neige. S’en suit alors une incroyable réaction , une théorie des dominos inverser où l’un aide a relever les autres. L’histoire d’un adolescent qui envers la hiérarchie d’une société, l’encadrement trop strict d’une famille, les codes de conduites et interdictions va tenter l’impensable et briser les chaînes trop violente d’un monde où l’image que l’on donne est plus importante que dans les idéaux que nous croyons juste. Quelles sont nos limites ? Et qu’arrive-t-il aux gens qui vont au-delà ? La course effréné dans laquelle il se lance est une remise en question sur se que nous sommes prêt à faire lorsque notre cœur prend le commande de notre existence, à la poursuite d’un amour qu’il croit juste et vraie, contre un monde qui disperse, éloigne, et sépare, ce garçon décide seul contre tous, de se battre contre les rangs sociables et les institutions établies pour apprendre aux dépends des autres qu’un amour.. N’a aucune frontière. Entre cadeau, et sacrifice la limite est fine pour un Noël qui sera sûrement hors du commun dans une ville où encore tout est à faire.

 [Brouillon] (modifié le 22 Décembre)


 «  Until The End Of The Night » n’est pas un roman , c’est une histoire, une histoire que tout le monde à vécu au moins une fois. Une séparation. Une personne a qui on avait promis de ne jamais l’oublier, et que le temps vous empêche de tenir cette promesse. Ce n’est pas un livre.. C’est un poème .. Un sentiment.. Un souvenir.

dimanche 16 décembre 2012

Chapitre 308 - Casablanca



" Patron .. Et si vous alliez vous coucher ? "
" Pas encore."
" N'avez-vous pas envie de vous coucher bientôt ? "
" Non."
" Jamais ? "
" Non "
" Ben, moi non plus ! "
" Alors bois un verre."
" Non, patron."
" Tant pis pour toi."
" Patron sortons d'ici ! "
" Pas question. J'attends une dame. "
" Je vous en prie patron. Vous n'aurez que des ennuis."
" Elle reviendra je le sais. "
" On va rouler toute la nuit. On va se saouler ,
 on ira à la pêche.. "
" La ferme et va-t-en."
" Non. Je reste ici."
" Ils arrêtent ce type , et elle arrive.. C'est la vie
ça va , ça vient. "
" Sam, Casablanca, décembre 1941. Quelle
heure est-il à New York ? "
" Quoi ? Euh. Ma montre s'est arrêtée."
" Ils doivent dormir à New York. Ils doivent tous
dormir en amérique.. De tous les bistros de toutes
les villes du monde.. C'est le mien qu'elle a choisi.
C'est quoi, cet air ? "
" Un truc à moi , patron."
"Arrête ! Tu sais ce que je veux. Tu l'as joué pour
elle, tu peux le jouer pour moi. "
" J'sais pas si.."
" Si elle peut l'écouter , moi aussi. Joue-moi cet air ! "
" Oui patron . "



" Je voulais boire mon premier verre avec vous.. Tenez."
" Non; pas ce soir."
" Surtout ce soir ! "
" Pourquoi être venue a Casablanca ? Il y'a d'autres endroits."
" Je ne pensais pas vous y retrouver. Croyez-moi c'est vrai."
" C'est drôle, votre voix n'a pas changé. Je vous entends encore..
- Avec vous, j'irais n'importe où. Jusqu'au bout du monde..-"
" Non, Rick ! Je sais ce que vous ressentez. "
" Vous le savez, vraiment se que je ressens ? Combien de jours
avons-nous eus ? "
" Je n'ai pas compté."
" Moi, si. Chacun d'entre eux.Surtout le dernier. Une apothéose !
Un pauvre type dans une gare, sous la pluie... avec une sale tête,
car on venait.. De lui arracher le coeur ! "
" Je peux vous raconter une histoire ? "
" Elle finit en apothéose ? "
" J'en ignore la fin."
"Racontez. Vous trouverez peut-être une fin heureuse."
" C'est une jeune fille d'Oslo, qui vient d'arriver à Paris.
Chez des amis.. Elle rencontre un homme dont elle a
beaucoup entendu parler. Un homme bien, courageux.
Qui lui ouvre des horizons nouveaux, pleins de sagesse
et d'idéal. Elle lui doit ce qu'elle sait, ce qu'elle est
devenue. C'était son modèle. Elle le vénérait.. et avait
des sentiments pour lui qu'elle prenait pour de l'amour. "
" Vraiment charmant ! Moi, aussi, j'ai une histoire.
J'en ai même plusieurs. Je les entendais avec le son
d'un piano.. Qui jouait en sourdine. - Quand j'étais
jeune j'ai rencontré un homme.. - Tss.. *il pouffe de rire*
 Elles ne sont pas drôles nos histoires... Dites-moi .. 
Pour qui m'avez vous quitté ? Pour ce type ou pour d'autres
 dont vous préférez vous taire ? "

* Elle quitte la salle de jeu vide , en pleurs. "











" L'avion pour Lisbonne.. Vous aimeriez-y aller ? "
" Pourquoi faire ? "
" Retourner en Amérique. Pourquoi n'y être jamais
retourné ? En fuite avec le tronc de l'église ? Une
fugue avec la femme d'un député ? J'aimerais mieux
l'assassin. C'est mon côté romantique."
" Un peu des trois. "
" Pourquoi être venu ici , à Casablanca ? "
" Pour ma santé. Je suis venu prendre les eaux."
" Les eaux ? Lesquelles ? On est en plein désert ! "
" J'ai été mal renseigné."








J'ai fais un cauchemars cette nuit. Le cauchemars en lui-même était effrayant. Mais le pire , ce n'est pas de se réveillé en sueur , en ayant l'impression qu'un inconnu est venu nous retirer le coeur tout en le brisant , morceau par morceau, ni même le fait d'avoir ce même coeur qui bat dans son thorax comme une bête enragée dans une cage. Non rien de tout ça.. C'est l'instant d'après, l'instant où mon corps , mon existence tout entière ce met à croire que cela est vrai, l'instant de clarté, durant lequel j'ai vraiment cette sensation que tout cela est bel et bien vrai.. Mon cauchemars ? .. J'ai cru t'avoir perdu.. Et tu sais quoi ? En me réveillant de sursaut cette nuit du Dimanche 16 Décembre 2012 à 4 h 27 du matin. Je t'avais perdu , déjà depuis bien longtemps. Se réveiller d'un cauchemars , pour vivre dans un cauchemars.. Tu y crois toi ?





Il y a des gens formidables que nous rencontrons aux mauvais moments. Et d'autres personnes formidables que nous rencontrons aux bons moments. Malheureusement, le choix nous appartient rarement de décider , de qui restera de celle qui partira. Mais nous avons la possibilité de nous réjouir d'avoir croiser leurs chemins. Parce qu'il arrivera un jour , où nous avions crus que personne ne pourrait nous toucher, qu'une personne inconnu à notre vie vienne. Et nous change. Pour toujours. Cependant, la loi est la même pour tous.  Entre autre , on nous dit que la vie est une histoire de choix , de décision , de phénomène , de hasard ou bien de coïncidence . C'est faux, la vie est une histoire de culot , c'est à celui  qui osera poser ses tripes sur la table, affirmer son but , et ne jamais lâcher.  "Impossible " avant d'être un obstacle infranchissable quelque chose de surhumain ou d'impensable dont le monde est terrorisé. Dont les gens vous disent que vous ne pourrez pas le faire ,  que sa défie tout les lois établis jusque là.. Hé bien " impossible " c'est avant tout , un simple mot. 







lundi 10 décembre 2012

Chapitre 307 - Les yeux deviennent dorées au soleil . Tu t'en rappelles ? Parce que j'ai une photo.



Je crois.. Je crois que sous le manque d'une personne on fini par lui en vouloir. Lui en vouloir de ne pas être là, de ne pas être avec nous. On en vient à la détester. La détester de nous priver de sa présence. Et c'est à ce moment là , que l'amour cède sa place à la haine. Un amour qui se détruit de lui même. Que quelqu'un me pardonne : j'ai sombrer.



- Je suis désolé Chuck. Je.. Je ne suis pas venue ici parce que j'ai changé d'avis. Louis m'attend en bas.
- Qu'est-ce qui se passe ?
- Je suis juste venue pour.. Pour te dire que tu es devenue une magnifique personne ! Et j'espère que tu ne changeras jamais ça.
- Eh bien, ne me quitte pas !

- Je ne fais pas ça pour te blesser.
- Tu étais assis dans la voiture et tu disais que tu ne partirais jamais ! Que nous allions passer le reste de notre vie ensemble et maintenant tu ne plus me regarder ? Ne te soucis-tu plus assez de moi pour me dire pourquoi ?
- J'ai vu ce qui était important et j'ai fais le seul choix qui s'offrait à moi.
- Si ce n'est pas une aventure avec Humphrey , quelque chose d'autre t'as changé. Qu'est-ce que c'est ? Parce que l'amour ne disparaît pas comme ça !
- Nous ne pourrons jamais plus être ensemble.. S'il te plait Chuck, tourne la page et sois heureux !
- Je ne peux pas ! Même si je sais pourquoi, je ne m'arrêterai pas. Je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour découvrir la vérité !
- Certaines choses sont plus puissantes que toi ! Je suis désolé, le fait que nous ne puissions pas être ensemble ne signifie pas que je ne t'aime pas.. 





La seule personne qui a suivi mon parcours est la personne qui n'est plus dans ma vie à présent : Blair Waldorf.



Gossip Girl : Terminée. 


dimanche 9 décembre 2012

Chapitre 306 - Together ? Invicible . Alone ? Weak.



Vivre est ce qu'il y a de plus beau au monde , les gens ne font qu'exister.
[Oscar Wilde]



La différence à faire est entre "exister" et "vivre" deux simples mots qui ont tout deux , deux sens différents. Les détails font la perfection. Un détail , bouscule toujours un ensemble. Un tout n'est basé que de "rien". A nous de faire d'un rien , un tout. Et d'un tout un ensemble. Qu'en est-il pour les personnes qui en présence d'être exceptionnel était un tout , et devienne un rien ? N'est-ce qu'une simple différence ? Se sentir invisible en la présence d'une seule personne , et désespérément vide en son absence .. Les différences sont petites. Mais est-ce un détail ? Le choix vous appartient de donner de l'importance a ce que vous pensez être essentiel pour vous.. Vous avez toujours le choix d'agir , de dire , de faire.. hier , aujourd'hui , demain. A jamais.

jeudi 6 décembre 2012

Chapitre 305 - Tu es mon cadeau de noël. La récompense de ma vie.





Au final nous ne sommes qu'une illusion d'homme. Un masque, une marionnette dans les mains des autres. Cette dérision, ce néant sont hallucinant. Lucide et névrosé , j'annonce jusque dans mon impuissance. Ce sentiment du vide de l'existence, du vertige devant la duplicité de la vie, pour tout dire de l'absurdité fondamentale de tout , est résolument moderne. L'expression romantique du mal de vivre se transforme en désarroi désespérer et noir.  La vie derrière le masque est une sinistre plaisanterie. Nous sommes tous de pitoyables comédiens..

mardi 4 décembre 2012

Chapitre 304 - Dans l'adversité , jusqu'au étoile (ad astra per aspera)




Nous faisons tous des erreurs, et nous avons tous une chance de la réparer , une seule et unique , pas plus pas moins. Les morts se fichent d'être venger. Les plus faiblent se vengent , les plus fort pardonne. Les plus heureux en rigole. Impose toi, montre aux gens que tu existes et qu'à ton tour tu as ton mot à dire , montre leurs que t'es quelqu'un de génial , une putain de bonne personne. Parce que si tu ne leurs montre pas que t'es génial qui le fera pour toi ? Parce qu'il a fallu d'un seul de tes baisers , pour que le temps s'endorme dans le soleil de l'après-midi. J'ai appris que le sentiment d'éternité ne s'inscrit pas dans l'avenir, mais dans la profondeur et la défaillance vertigineuse du temps.

lundi 3 décembre 2012

Chapitre 303 - One year






" Et tant pis si tu ne penses plus à moi , parce que moi je ne cesse de penser à toi , ma première pensée au levé , la dernière avant de me faire tomber dans mon lit. Peu importe se que tu peux dire , faire , de la manière dont tu peux agir. Je suis et je resterai à tes côtés. Parce qu'au delà de tout ça , je crois en toi. Tu n'es pas seule , tu ne le seras jamais. Pas tant que je serais là. "

                                                                            p.12 [UCLA Book]


Ross Copperman - can't stop loving you




dimanche 2 décembre 2012

La bombe émotionnelle aux 6000 visites



[...]

Quand j'étais petit , que la période de noël s'approchait , que j'enfilais alors des habits tout chaud pour attaquer le froid qui pouvait en vouloir à mes petites mains , ma mère se levait avant moi , le soleil n'était pas encore levé. La nuit était encore belle et bien présente. Elle se dirigeait dans le salon , allumant la radio , et mettait de douce musique de noël , pour me préparer doucement à ma journée. En sortant de ma chambre , il y avait toujours un petit bol de chocolat chaud qui m'attendait dans la cuisine. La maison était calme , il n'y avait aucun bruit , maman n'allumait que deux lampes , une dans la cuisine , l'autre dans ma chambre. La maison dégageait alors une atmosphère si chaleureuse que je ne voulais plus allez à l'école. Je voulais simplement regarder par la fenêtre la neige tombé. Et pourtant maman n'était jamais vraiment très loin de moi pour me rappeler que je devais traverser cette longue avenue jonchée de cinq ou six lampadaires , longeant notre appartement. Au bout de cette longue ligne droite , se trouvait mon copain , qui m'attendait pour partir à l'école ensemble. Ce chocolat était merveilleux , je me levais avec un bonheur qui faisait frissonnait mes petits pieds. Chaque matin était parfait , et celui d'après surpassé celui d'avant.  Ce noël là j'ai eu ma première console de jeu, une playstation , LA playstation one s'il vous plaît mesdames et monsieur, mon frère lui a eu un nouveau pistolet a bille.. Devinez sur qui il a bien pu l'essayer .. La maison respirait le bonheur. Mon bol de chocolat , j'avais l'impression d'avaler de grosse gorgée de joie. C'est bête pas vrai ? ..




J'avais 6 ans et demie , nous étions en 1999 , le Jeudi 9 Décembre 1999 , et c'est le plus beau souvenir que j'ai de Décembre et de Noël.