vendredi 10 mars 2017
Chapitre 658 - L'héritage de l'âme
Il n’y a que dans l’hésitation d’un excès que l’on ose se demander si ce que l’on peut être amener à faire peut être considérer comme bon ou mauvais. Bon pour ceux qui nous entoure, mauvais pour nous. Avant de réfléchir aux autres, nous réfléchissons à nous-même. C’est pourquoi il faut savoir se battre contre cet aspect humain qui trouve sa source dans nos racines les plus profondes définissant notre nature, pour faire en sorte ne serait-ce que de réussir à d’abord penser aux autres avant nous-même. Il serait fou de vouloir forcer chaque personnes ici, de pensez d’abord non pas à ses propres privilèges mais aux avantages qu’ils pourraient par leur actions apportés aux autres. Mais laissez juste un espace de réflexion suffisant pour vous demandez, comment pourrait-bien être le monde, si nous réfléchissions à notre prochain avant chaque actions que nous entamerions dans notre intérêt propre et personnel. Notre intérêt est-il d’ailleurs toujours propre et personnel ? La société d’aujourd’hui nous oblige à gagner sans nous donner le moindre sens à cette victoire. Il assoiffe les plus idiots à vouloir gagner énormément d’argent et devenir quelqu’un, tandis que les plus pragmatiques savent que l’argent est un bien mauvais maitre, et que nous ne devons pas chercher à devenir quelqu’un mais à simplement être.
Il est dit qu’à la fin paradis ou enfer, nous irons tous quelque part. C’est un livre qui nous exprime la volonté de l’Homme à croire au fait qu’il n’y a pas de fin. Je ne vous demande pas de mettre votre aspect religieux dans tout ceci. Juste, nous mourrons, tous un moment où l’autre, moi l’écrivain, vous les lecteurs, et tout ceux que nous aimons. Il nous serait plus profitable à nous tous de nous demander, qu’est-ce que nous laisserons derrière nous pour les autres, que nous aurons disparu. A ceux que vous aimez, ne laisserez-vous que les actions que vous avez juger bonne ?
Il serait temps de réfléchir à un héritage, autre que celui de l’argent. Il est temps d’apprendre, de réapprendre à léguer le plus important des héritages, celui qui nourrit l’âme. Qui lègue la flamme sans jamais qu’elle ne s’éteinte : l’héritage de l’âme.
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