vendredi 21 juin 2013

Chapitre 382 - Si tu ne te lèves pas pour quelque chose , tu tomberas pour n'importe quoi. [Malcom X]








Je suis le genre de personne à me battre pour ce que je veux. Véritablement , j'ose tout , et perçois tout ce qu'il me faut pour mener à bien ce que je dois faire. On me prend souvent pour un fou , parce que je bouleverse des choses. La vérité c'est que je les fait avancer. On me prend pour quelqu'un de malade , qui a un problème. Et qui ne connait pas les limites auxquelles on devrait s'arrêter. Sauf que les gens oublient bien trop vite que les limites ne sont pas faite pour être des frontières. Et que mes limites à moi , ne sont pas les vôtre. On me prend pour un fou car je donne la sensation , l'impression de ne pas en avoir . Dois-je en conclure que les limites des autres sont minables comparés aux miennes ? Dois-je aussi comprendre que le risque ne me fait pas peur face à 90% de mon entourage ? Je suis le genre de personne , qui si le bonheur m'était tendu dans une main , avec une Lamborghini Aventador (toujours Aventador , toujours et encore l'Aventador : Celle qui compte.) , je ne l'accepterai pas. Je ne veux pas que ça soit simple .. Vous me comprenez ? Je ne veux pas avoir tout ça gratuitement , parce que si je l'accepte , si j'accepte cette connerie tombée du ciel , je me condamne un jour à me demander si je le mérite vraiment. Mais putain , j'ai pas envie de ça moi. Je veux des récompenses à mes efforts , je ne veux pas être un de ses bons et loyaux fils de pute à attendre son tour. Je veux savoir que les choses que j'ai eu , j'ai , je les mérite. Où est donc la valeur , la profondeur , le sens à tout avoir sans rien mérité. Je veux ce que je mérite. Je veux savoir que je me suis littéralement défoncé comme le tout premier des enculés pour avoir ce que je veux. Je veux regarder cette chose et me dire que ça , je l'ai pas eu grâce à quelqu'un , grâce un objet , grâce à quoi que ce soit d'autre qu'à part moi. Je veux savoir que ça , je l'ai eu par moi, pour moi , et seulement moi. Personne d'autre. Aucunement question de fierté. Juste une question de respect de moi-même. Si j'ai des choses qui me sont importantes , il est de mon devoir de me battre pour elle , et chaque jour , pas quand il le faut , ou au dernier moment. Chaque jour , chaque seconde. Je me bat pour ce que je veux; Et je mérite toujours ce que j'ai. Si je souffre , c'est que je mérite de souffrir parce que je ne me suis pas assez battu. Et j'ai cette petite voix dans ma tête qui me harcèle : " Pas assez " " Minable " "Il manque quelque chose " " Encore " qui me pousse me pousse et me pousse. Jusqu'à m'en tué , m'en bousillé . Mais je dois le faire. Parce que c'est ce que je suis , parce que rien n'est gratuit et que tout se paie. Si je veux quelque chose , il faut que je sois capable d'avoir la volonté de le faire , et de me déchirer pour ce que je veux; Je ne veux rendre de compte à personne. Et même si cette manière n'est pas la meilleure , elle a le mérite de ne pas être celle de l'habitude que certain ose. Qu'ils crèvent tous , ces merdes à avoir peur au point de ne rien faire , de flipper et de se dire qu'ils profitent de la vie. Je baise allègrement cette génération faite de pute et de cas sociaux qui pensent que tout va leur tombé dans les bras et qui critique notre génération à nous sans savoir qui l'a soulevée. Cette bande de mineur qui veulent vivre une soirée à la projet X en ayant la tête d'un Slovaque atteint d'une leucémie de 18 ans , phase 3. J'emmerde leur petit cul rempli de foutre , ses salopes qui baisent à en crever , ses enfants de putain qui pensent vivre en payant un vingt grammes de shit , et se faire un rail de C. On ne mérite que ce que l'on mérite. C'est la dure règle. Que personne ne s'étonne de ce qu'il lui arrive. Nous avons l'occasion à chaque journée , chaque seconde de pouvoir changer radicalement qui nous sommes , et qui nous serons. Qu'on ne vienne pas dire que c'est la faute des autres , ou d'une société devenu trop égoïste quand on ose à peine regarder sa vieille gueule en face du miroir. Quand tout le monde se battra proportionnellement à leurs exigences , le monde sera nouveau. En attendant tout le monde veut réussir , personne ne veut souffrir. Tout le monde veut être riche , mais personne ne veut travailler. Tout le monde veut rêver mais personne ne s'en donne les moyens. Vous dites que la facilité c'est le choix des faibles , l'inaction est le choix des fou. Je crèverai un jour , mais je compte bien faire valoir dix fois ma vie à la vie de ses esclaves. Je crèverai d'avoir trop osé , d'avoir trop tenter , d'avoir trop essayé . Mais jamais le cul dans un canapé à me gratté la paire de couille en attendant ce que les gens appellent le bonheur. Il y a deux types de personnes , celles qui trouvent des excuses et celles qui agissent. Et vous voyez , je ne suis pas là pour vous trouver des excuses. Mais si j'ai l'occasion de pouvoir humilié violemment ce genre de personne , je n'hésiterai pas. A quoi bon vivre si l'on ose à peine respirer. Des gens se battent en ce moment même , et je suis bien trop déterminé pour attendre que quelqu'un vienne me lire pour que je fasse quelque chose. Qu'on embrasse mon petit d’optimiste à la con. 





JE VOIS DES HUMAINS. MAIS PAS D’HUMANITÉ. 


" Ah non me dit pas ça , je connais ce genre de discussion. Les embrouilles à cause des filles , c'est comme les trans Brésilien tu sais jamais à quoi t'attendre. "

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