Tu as les mots qui peuvent changer une nation.
Des yeux, qui rendent mon coeur fou d'addiction.
Des yeux, qui rendent mon coeur fou d'addiction.
On pose des fleurs sur la tombe de nos proches , on leurs dédie une pensée ou un monument , on lève notre verre à leurs mémoires . On se rappelle a chaud de larme de ses souvenirs dont ils faisaient parti. On en venge certain , on en inaugure pour d'autre , on n'oublie pas ceux qui nous ont marqué à vie. On se dit que si nous en sommes là c'est grâce a eux, qu'il faut tout faire pour qu'il soit fier de nous , en nous regardant la-haut. Mais putain.. les morts se fichent d'être vengés. Les morts se fichent que l'on se rappelle d'eux , qu'on pense encore à eux , les morts se moquent de tout. Il n'existe plus , n'existe pas. Leurs déposés des fleurs ne fait de mal qu'à votre porte-feuille , c'est stupide , ne donnait pas d'intérêt à ceux qui sont parti mais prenez soin de ceux qui vous restent , de ceux qui vous blessent et vous aimes. Vous n'avez pas le temps pour ça , pas de temps à gâcher , aimer ceux qui vous entoures autant que vous le pouvez avant qu'on vous les enlèves. Les morts vous rappellent de chérir les vivants. C'est au moment de comprendre le sens de la vie , qu'arrive à maturité les arbres qui serviront de planche pour nos cercueils . Les meilleurs ne partent pas les premiers , sinon que devrait-on penser d'Hitler ?.. C'est la fin d'un parcours , le rideau d'une pièce de théâtre , l'écran noir d'une salle de cinéma . Il n'y a pas de suite , pas de reprise , plus de mise en scène. Quand sa vous tombe dessus c'est net et soudain. Quand on est mort , on sombre dans l'oubli , nous n'avons jamais exister , tôt ou tard personne ne se rappellera que vous étiez là, que vous étiez présent. On ne se rappellera ni de votre nom , ni de votre métier , ni de vos désirs , envies ou rêves. La terre tourne et les gens avec elle. Et je te comprend , parce que moi aussi sa me fou la peur au ventre , j'en tremble , je me réveil la nuit avec des sueurs froides , de savoir que l'instant présent m'échappera et continue de m'échapper. Au risque de te décevoir , derrière tout ça il n'y a rien , pas de paradis , pas d'enfer , pas de bien , pas de mal. Juste un vide . Un néant.
Alors je ne te répéterai jamais assez mais fait quelque chose de ta vie, fait quelque chose qui vaille que l'on s'en rappelle , qui subsiste à travers le temps , et l'espace.. , parce que : quand c'est fini, c'est fini.
Prend le temps , de vivre , d'exister...
" J'aimerai tant te libérer.. Mais ta prison est à l'intérieur . "

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