mardi 27 novembre 2012

Chapter 302 - Notre amour est comme le vent, on ne peut pas le voir , mais on le sent : J'arrive , j'ai besoin d'une tornade .









It doesn't matter who you are , or where you come from , or what you look like , or who you love. You are so amazing , so special.. We are human , we are the past , the present and the futur in the same time. We are sadness and joy. Cry and smile. Pain and laugh, we are defeat and the victory. We are full of hope, full of love. And when we really want something , that you fight for him, her , or anything with all your power , skill , that you are ready to bleed for this thing , to howl , in spite of everyone or everything.. Then you will have it , you deserve it.








At the chase of your dreams, at the attack of this world !

lundi 26 novembre 2012

Chuck Bass's Quotes (le bonheur a croiser ta route le jour de ta naissance) I'd so like you to be there.







Si j'ai appris une chose de Blair c'est de ne jamais laisser tomber ceux qu'on aime.

















Call me , Mrs. Bass












Tu as la chance de pouvoir vivre avec quelqu'un qui t'aime. Ne laisse pas tomber ce qui a de la valeur











Si personne n'est venu aujourd'hui c'est tout simplement parce que personne n'ose se mesure à ce qu'on a vécu












" Il serait plus simple que je ne revienne pas."
" C'est vrai.. Mais cela ne serait pas mon monde sans toi à l'intérieur"

[...]

" Changer ton nom , ne change pas qui tu es."
" C'est un bon début."

[...]

" Mais tu es Chuck Bass."
" Je ne suis pas Chuck Bass sans toi."

[...]


" Je te demande pardon d'avoir pété les plombs le soir où j'ai appris qu'il t'avait demandé en mariage. Pardon de ne pas avoir attendu plus longtemps au sommet de L'Empire State Bulding. Pardon de t'avoir traitée comme si tu m'appartenais. Je te demande pardon de ne aps t'avoir dit que je t'aimais alors que je savais que c'était le cas. Mais surtout je te demande pardon d'avoir arrêté d'y croire, contrairement à toi."

[...]

" Il y'a une différence entre " Aimer comme un fou " et " Aimer comme il faut . "



"Tu m'as appelé : j'ai accourus . "

[...]

" L'une des choses que j'ai apprise en voyant mon père faire la cour à Lily c'est l'importance de la persévérance. Quand on a trouvé le grand amour on ne le lâche plus. Même lorsque l'objet de tous vos désirs vous supplie d'abandonner. J'ai aussi appris quelque chose de Lily : l'importance du pardon. Elle a fait a mon père l'inestimable cadeau d'une seconde chance et je l'ai vu devenir digne de ce cadeau. Et un beau jour j'espère avoir moi aussi la chance de trouver quelqu'un qui en fera autant pour moi.."


" Il n'y a rien que je ne tenterai pas. Pas même le bonheur."
















Tu l'aimes toujours hein ?

Je ne peux pas passer un jour, sans.


mercredi 14 novembre 2012

mardi 13 novembre 2012

Chapitre 301 - November Sound/Thought





Nous sommes programmer pour perdre les choses et personnes que nous aimons, sans ça. Comment connaîtrons-nous leurs valeurs et l'impact qu'ils avaient dans notre vie ? Si une personne en partant ne vous fait ressentir aucun manque , c'est que sa présence n'était pas indispensable à votre vie. Je pense , du moins .. Je crois que si l'on est toucher par une personne , au plus profond de nous même , et que nous avons eu l'irradiation du bonheur grâce à elle... Il nous est impossible de l'oublier. Même dans mes rêves j'en sursaute de peur de t'oublier, toi. C'est foutu pour moi je te vois partout. Quelque part c'est bien mieux. Je ne pourrai pas vivre dans un monde où tu n'existes pas. La pensée de savoir que tu existes , que tu es quelque part ici , et que tu fais quelque chose , que tu avances dans ta vie; hé bien , cela fait avancer la mienne. La vie est une affaire de choix. D'occasion saisi , perdu ou même rater de vue .. Enfin de compte en faisant le tiens, tu m'as aider à faire le miens..



 [même quand tu n'es pas là tu m'aides.. (haha) , c'est rigolo mais j'en pleurs en fait.]


Oh juste et.. : Tu continues de compter toi ? 




lundi 12 novembre 2012

Chapitre 300 - " Je ne vais pas arrêter de vivre parce qu'elle plus là . " " Alors pourquoi tu pleures espèce de con. " " Parce que si elle n'est plus là.. Je ne vis pas .. Je survis. " : [L'Armure]




On se tait , on n'en parle pas , on tente de ne pas y penser et pourtant c'est trop dur , alors on se concentre sur ce que l'on peut contrôler , sur ce que l'on peut empêcher , on le sort de nos sujet de discussion , on évite d'utiliser des mots , des expressions qui nous renvoie à lui . On se rend compte que ce n'est pas facile , qu'on doit bannir pas mal de mot , pas mal d'expression . Il faut éviter les sujets trop attachant , on interdit les personnes autour de nous en parler , de prononcer son nom , ou une simple évocation , rien ne doit paraître sur le tableau que l'on veut montrer aux gens. Surtout à nous. Pour les soirs de déprime violente et spontanée qui nous assassine sans le moindre remord , pouvoir se dire que tout va bien que ce n'est pas grave , regarder le tableau que l'on construit pour faire face , pour se persuader que ce n'est pas important , que tout va bien , qu'on va y arriver .. Qu'il ne faut sous aucun prétexte lâcher la pression. On s'interdit de vouloir y penser , on s'interdit d'en pleurer , d'en souffrir. Tout les moyens sont bons pour ne pas penser à lui. Le simple fait d'y penser est c'est terminer. C'est fini , le tableau s'effondrera et avec lui toute les illusions et ses nuits à pleurer en espérant que cela cesse. Et on ne veut pas ça. On ne veut pas que tout nos efforts , toutes ses choses qu'on s'est interdites , tout ses choses que l'on a banni de notre vie , puisque trop dangereuse , elles étaient comme des bombes qui n'attendaient que notre innattention pour exploser , on refuse , on refuse de les remettres en causes , on refuse d'être faible. De pouvoir se faire renverser par un souvenir , de se mettre à parler par un regard , de s'éffondrer sous le poids d'un manque. On se met sur la défensive , mais avec le sourire s'il vous plaît. Le sourire du décor , celui qui cache les débris et les traces de larmes encore fraîche de notre visage. Pour ne pas attirer l'attention , l'attention du sujet , de la personne , de son nom. On prie .. Et quand cette étape est passée .. Que nous réussissons à sceller ce tableau , et à faire croire en ce décor , il nous reste à y croire.. Nous .. De toute nos forces , se persuader que c'est comme ça et pas autrement . Qu'il n'y a pas a discuter , pas a y penser, non.. Surtout pas y penser... Notre pire ennemie à ce moment devient : La réalité.


Il faut la fuir , on ne peut pas accepter son intégralité , car accepter son intégralité c'est l'accepter lui. On peut tout supporter , mais pas son regard , pas sa voix .. Pas les choses qui nous ramène à lui. Enfin .. On réussit , on arrive un peu mieux à vivre , du moins survivre. Et pourtant un jour , un soir , un après-midi ou dans un moment de rire avec des amis , sa nous prend .. Comme ça d'un coup. Une tristesse immense , un choc , un arrêt sur le monde. Alors que tout se passait bien , que le second cocktail ou la réplique d'un ami intervenait.. nous sommes pris d'une envie , d'une envie de l'aimer , de le voir. On remet tout au second plan , plus rien ne nous intéresses . La voix de nos amis pourtant si proche nous devient de moins discernable , on part.. Les souvenirs nous agrippent , ils nous kidnappent , direction le coeur et ses sentiments que nous avons trop longtemps rejeter.. Vite , il faut se rattacher à quelque chose , vite avant de flancher . On trouve un moyen , une tape sur l'épaule ou un rire qui nous rappelle que nous sommes avec nos amis , n'importe , peu importe tant qu'on trouve un moyen de revenir. Malgré ça on ne veut plus discuter , on ne veut plus rire. Il faut s'empêcher de penser , pourvus que quelqu'un vous envoie un sms , pourvu qu'un de vos amis vous dise qu'il faut partir , pourvu que quelqu'un fasse quelque chose.. Vous êtes en train de tomber devant les autres , mais personne ne s'en rend compte... Et soudainement alors que vous alliez tomber la tête la première , que votre coeur lui allait bondir hors de vous , que vos mains tremblant de tristesse cherchaient où s'accrocher... Tout disparaît ; tout redeviens normal , l'impression , le choc .. Il avait fuit . 


D'un coup , très rapide , vous vous retrouvez là , avec vos amis , à rire et à discuter de tout , comme si rien ne s'était passer . Personne ne s'en est rendu compte , personne n'a vu votre descente aux enfers , personne n'a vu les dégâts qu'a fait cette bombe à l'intérieur de vous. Le tableau est encore propre , pas de trace , pas de craie en trop. Le décor est encore debout , mais vous à moitié à genoux. Alors dans une douleur silencieuse , on se relève doucement. Avec la certitude que cette bombe n'est que le début d'une centaine d'autre. 

Une de ses bombes , vous éclatera au visage quand vous serait seul , dans votre lit , préparer à dormir , peluche , doudou , téléphone , oreiller à la main . Elle vous pressera le coeur , si fort .. Une main glacé qui vous coupera la respiration , vous paralysant , remontant le long de votre gorge..


Cette bombe , en provenance de la vérité vous arrivera , comme une grande claque dans la gueule. Un message , une morale , appeler ça comme vous voulez , mais préparez-vous y ; elle explosera votre tableau et vous vous rendrez soudain compte d'une chose .. Qu'importe vos mensonges , qu'importe vos illusions , qu'importe votre volonté : 

Vous n'avez pas et n'aurez jamais le contrôle sur votre coeur , et il vous rappellera à chaque fois, qui vous êtes réellement autant de fois qu'il jugera nécessaire de le faire. Ses chocs ? Se sont des émotions . Vos émotions. Qui se lient à des souvenirs. Qui vous rappelles une chose , qui maintenant est insupportable , incroyable , impossible , et qui est pourtant vrai , qui se cache derrière le tableau , derrière les sentiments , derrière la nostalgie des souvenirs , derrière votre sourire , derrière votre décor , derrière ses illusions que vous avez voulu utilisées. Tous vos efforts réduit à néant , voilà le prix à payer quand vous voulez vous mentir à vous-même tout en sachant la vérité que vous ne voulez pas accepter .. 

Vous vous retrouvez face un mur , infranchissable , indestructible , fait de vos sentiments les plus pures , et les plus sincères. Entièrement blanche , planté là au mileu de votre coeur , où aucun  mensonge , aucune illusion ne marche. Dessus, est inscrit en lettres capitales gravées cette monstrueuse vérité que vous fuyez :




Tu l'aimes encore.
 

dimanche 11 novembre 2012

Chapitre 299 - It's time to wake up.





La règle des 86 400 secondes [Chapitre 236]

L'important n'est pas qui vous êtes , ce que vous êtes , ce que vous représentez ou même l'importance que l'on vous donne. L'important c'est votre capacité à agir , et à prouver qui vous êtes et se que vous valez réellement pour aller jusqu'où vous voulez aller. L'important ici c'est : La volonté.


jeudi 8 novembre 2012

Chapitre 298 - Il y a quelque chose de paisible, de réconfortant même, que de savoir que la personne que vous aimez est endormis dans son lit, où rien ne peut lui arriver.



Lorsqu'on perd quelqu'un, le sentiment de manque ne nous quitte jamais vraiment. Il faut vivre avec le vide laissé par l'absence. Et surtout ne pas tenter d'oublier. Puisque essayer d'oublier quelqu'un qui à marquer notre vie, si fort que chacun de nos gestes sont emprunt de lui. C'est comme tenter de se souvenir de quelq'un qu'on a jamais connu. Et pourtant elle avait changé. A tel point, qu'avant je riais avec elle , et que maintenant je riais d'elle. Soudain dans un dernier souffle.. Je comprend tout. Que le temps n'existe pas, que la vie est notre seul bien. Qu'il ne faut pas la mépriser, que nous sommes tous liés. Et qu'enfin.. L'essentiel nous échappera toujours



La vérité ? Tu me manques et je fais tout pour ne pas y croire.
Je n'arrive pas à comprendre ni même à concevoir le fait de
t'aimer encore si fort au point de préférer .. Ton bonheur au miens
tes rêves aux miens, tes envies aux miennes. Mais surtout..
Ta vie à la mienne.







Chapitre 297 - Et merde je t'aime. J'ai peur , peur de ta réaction , peur de me l'avouer , peur de l'assumer . J'ai peur tu comprends. Qu'est-ce qu'il m'arrive à moi si tu me rejettes ? Bordel , avec toi je suis calme , détendu même si mon coeur bat plus vite. Si tu m'abandonnes je suis foutu. On m'a pas prévenu que l'amour faisait se genre de chose. Je me sens piéger , enfermer , face à un mur . Je t'aime tellement que j'en ai peur , peur que tu sois effrayé à la vue de mes sentiments, j'ai si peur de ta réaction. Mon coeur va exploser.. Au secours..



Un bouddha qui fut respecter et très connu dans sa religion avait dit un jour " Nous sommes le résultat de ce que nous avons penser " , des années plus tard Gandhi lui disait : " Tout se que vous ferez est inutile mais il est important que vous le fassiez " , un écrivain contemporain à lâcher le long d'une ligne " Vous devez exister pour vous , vous devez croire en vous , vous devez avoir confiance , car si vous ne le faite pas , qui le fera ? " .. Malcom X lui disait : " Je suis pour la vérité peut importe d'où elle vient , je suis pour la victoire de la Justice peu importe contre qui . " Balzac s'était contenter de finir l'un de ses romans en avouant : " Pour triompher le mal n'a besoin que de l'inaction des gens biens ".


La vérité c'est que nous sommes le résultat de nos pensées , de nos actes , de nos choix , et chaque décision que nous prenons nous transformes , et nous prépare pour notre avenir . Ses actes pourtant si anodin nous transformes au fur et à mesure que nous envisageons le temps . Que nous croyons y échapper , prisonnier d'une cage à l'intérieur . Le temps me paraît si violent à mon égard , les actes me paraissent si peu important si je n'ai personne à qui les dédiés, j'ai beau montrer à tout le monde que je vais bien , c'est faux je le sais , le poids de son absence me détruit de l'intérieur. Je sens en moi la tristesse montée , mais je ne peux pas.. Je n'ai pas le droit de flancher , je n'ai pas le droit de me retourner et de te dire que tu me manques.. Tu me l'as interdis.. Je vis chaque jour en espérant , qu'il arrivera un instant où le poids de ce manque disparaîtra.. Je me laisse couler , je n'ai pas envie , je n'ai plus envie , les souvenirs deviennent trop oppressant , je ne peux plus respirer. Ton visage me hante , je pense tellement à toi , que tu es devenues une habitude , un rite auquel je n'échappe pas , je l'ai accepté , je n'avais pas le choix , tout me ramenais.. Tout me ramène à toi. Le dos tourner , les souvenirs me poignardes sauvagement , je suis à nu , mitrailler par des questions , mais surtout un manque . Le manque de toi , de nous. Je n'ai pas d'échappatoire , pas d'excuse , pas de sortie de secours , pas de masque . Face à toi c'est un vide qui se dresse au devant de moi. Tu es devenue ma peur , ma rancoeur , mais surtout et principalement : tout mon amour. Et moi.. A chacun de tes baisers , je croyais effleurer une étoile..


Il se cache dans son lit , sous sa couette , il éteint son téléphone , il se roule en boule , il est dans le silence de sa chambre , il sent son coeur s'emballé , le souffle coupé , ses yeux sont humides , il a une boule au ventre , un goût amer dans la bouche , sa vision est flou. Son visage est mouillé, marquer par une tristesse invisible qui le terrasse. Dans un effort presque sur-humain , il s'arrête et lâche d'une traite , sans reprendre son souffle ni bégayer  : 

Je n'ai juste pas le courage d'exister aujourd'hui. On verra demain.

Passe alors quelques secondes dans un silence presque imaginaire, rompu soudainement par des cris de douleur ressemblant à une agonie , lente et mortel, les larmes coulent sur son visage comme un jour de pluie...


L'amour ne peut pas tuer ? On vous a menti.

mardi 6 novembre 2012

Chapitre 296 - The only true rule.





Quand on a trouvé le grand amour on ne le lâche plus , même lorsque l'objet de tout vos désirs vous supplie d'abandonner .

Chuck Bass

dimanche 4 novembre 2012

Chapitre 295 - L'échec est ma plus grande leçon , la victoire est mon seul horizon.



Si ceux qui disent du mal de moi, savaient se que je pense réellement d'eux , ils en diraient bien davantage. Après tout quitte à être un sujet de discussion autant intéresser pas mal de monde , et pourvu qu'il y ai énormément de chose à dire. Plus il y'a de monde et plus cela m'arrange. Plus nombreux ils seront , mieux ce sera pour le spectacle lors de ma représentation. Alors prend mon sourire comme un " va te faire foutre " et mes rires pour des " tu es ridicule connard ". Mais je t'en prie prend mes regards assassin pour une simple remise en ordre des choses. Parce qu'on à beau vivre dans même réalité , on se bat à des niveaux différents , on joue ni dans la même cour , ni dans le même monde. Moi je ne lâche pas , quitte à tout exploser , quitte à tout balancer sur le bas côté , je ne lâche pas un morceau , pas une miette. Tu penses que je me sur-estime ? T'es bien beau toi. Tu mériterai deux chassés dans la tête et trois dans les jambes , contre moi t'es comme sur le ring avec Mohammed Ali , first minute , first round. Confond pas prétencieux et confiance petit merdeux. J'ai confiance en mes capacités , et j'espère et je crois réussir de toute mes forces. Parce que si je n'ai pas confiance en moi , si je ne crois pas en mes capacités , si je n'espère pas décrocher la victoire , si je parviens pas à devenir meilleur .. Qui va le faire pour moi ? Qui va croire en moi ?

Je préfère tout miser sur ce que je suis vraiment que de mettre en péril la totalité de mon être dans l'inconnu. Non l'inconnu ne me fait pas peur , non ce n'est pas une réaction de faible , ce que je fais ?

(rire) *se frotte les mains*  Je me prépare à l'affrontement , toi ? Tu n'es qu'un amusement , un divertissement , un petit truc qui me fait passer le temps. Alors dégage , le combat n'a même pas commencer que tu trembles.


Contrairement à toi , dans ma vie je me suis imposer deux règles , celle de ne jamais abandonner qu'importe la souffrance , et la persévérance des choses acquises. Mais il y'a une seule et unique chose qui nous différencie dans nos vies respectives. La tienne est malheureuse et pitoyable . La mienne est tout et rien à la fois, mais ,elle fut claire sur une chose , une seule , une exception à toute la liberté que je puisse avoir , et chaque chose que je fais est marquée en lettre d'or capitale pour me rappeler cette condition de vie dans laquelle je suis :



L'échec est impensable , la victoire est non-négociable.



Chapitre 294 - A la surprise de tous.






C'est l'histoire d'un gosse qui se fichait du regard des gens , de l'image qu'il pouvait donner , des paroles , des promesses , des rumeurs , des impressions , des préjugés , des critiques , des doutes , des mensonges. Qui ne jurait que par les actes, qui s'était promis de réussir et de réaliser son rêve quel qu'en soit le prix , les sacrifices et les choses qu'il devait céder. Il avait choisi une voie très difficile , qui se refusait a tout sentiment , toute émotion.


Sauf que la vie avait décidé d'en faire autrement.
Réservant à ce gosse qui était devenu un adolescent
une voie bien différente.



On parle de différente direction , mais c'est faux , on prend tous la même direction , c'est juste le chemin qui change.

Chapitre 293 - " I'm Here because it's time to be honest with you. I love you. "


jeudi 1 novembre 2012

Chapitre 291 - November



Novembre est pour moi , un mois parfait , pour en pas dire mon préférer , son évocation rapproche de la fête de Noël bien plus que Décembre. Novembre est le mois d'Automne par perfection , il est aussi la période transitoire entre les feuilles qui dansent et s'élancent dans les airs en planant au ralenti avant de se poser délicatement au sol et le moment de l'apparition de cette poudreuse blanche , qui rapproche les gens entre eux , qui les faits s'aimer plus fort , qui rend le monde entier à l'état d'enfant , avec de grand yeux rond et plein d'espoir et d'étonnement. Novembre est le mélange entre ma saison préférer et les différences qu'elle apporte ne fond que me conforter dans cette idée.
Elle est le mois , le commencement , de ma douce descente , lente et mélancolique , de souvenir , d'envie passée , de rêve , et de désir qui sont rester enfermer dans le secret le plus absolu au fond de moi , et qui pendant l'espace de soixante-deux jours se délivrent. Je regrette le passé , et j'acquisse le futur , tout m'interrogeant sur ce que demain me réserve. L'hiver est la plus belle saison , elle est monotone , rapproche les gens , elle est la saison de l'amour dans tout ce qu'elle a de meilleur à offrir. Les gens s'aiment plus fort , peu à peu les rues se vident de ses personnes qui marchent seul , et laisse à mesure du temps faire apparaître , des couples qui se tiennent par la main , ou s'enlace par le bras .. Avec de léger sourire au coin des lèvres, ayant une attitude plus spontanée , plus passionnelle. Marchant à toute allure pour vite rentrée dans leur petit nid douillet , et se réconforter sous la couette avec un bol de chocolat chaud , devant la télé , en parlant de ce qui leurs plaît et se qui leurs passent par la tête.

Ses couples envahissent soudainement les rues , comme des millions de flocons qui ne tarderont jamais vraiment à les rejoindre , et à faire d'une simple rue , un exemple de lieu fantasmagorique , un éloge au romantisme et à l'amour. L'hiver transforme le banal en spécial , le particulier en général. L'hiver est un appel à l'amour , un appel à ne jamais rester seul , à profiter avec celui ou celle que l'on aime de la chute de flocons tant qu'ils en restent , tant qu'ils durent. L'hiver réunit , permettant des moments d'intimités de toute beauté. Réveillant ce qu'il y'a de meilleur en nous. Une journée à faire les magasins avec la personne que nous chérissons, s'aimer plus fort sous la couverture , se serrer les mains jusqu'à s'en tordre les doigts , boire un bol de chocolat en se moquant de la moustache de lait de l'autre , ricaner en entendant l'autre nous parler de ses petites bêtises.. Et puis enfin il y'a ça , ce moment magique de l'hiver , où l'on se retrouve avec elle , au milieu d'une rue , complètement vide , le toit des maisons recouvert de neige , les voitures transformées en igloo , la neige qui fleurt avec l'air sous nos yeux émerveillé. Un spectacle presque imaginaire au figure de rêve , vous êtes seul avec la personne que vous aimez au milieu d'une longue route droite , qui n'en fini pas , quelque lampadaire pour éclairer votre chemin , des flocons qui dégringolent à perte de vue , vos rires qui fusionnent pour s'enfuir au gré du vent , un silence gêné vous rapprochant d'autant plus. Vous l'aimez , mais elle peut être pas , vous vous en fichez , cet instant est le vôtre à vous deux , vos regards se croisent , s'envoyant l'intensité de leurs propres sentiment puis la seconde d'après vos deux têtes sont baissées , vous rougissez , vous avez chaud , alors que le panneau sur votre droite affiche - 10 ° .

Vous vous envoyez de la neige .. Oh très peu , quelques flocons par-ci par-là , juste assez pour vous faire rire , et faire rire l'autre. La rue vous appartient , vous avez même l'impression que la nuit vous appartient . Cette douce chaleur qui remplit votre corps et qui se diffuse le long de vos membres , vous en doutez vous n'êtes pas sûr , vous souriez pour rien , et vous êtes heureux d'entendre le rire de votre bien aimée éclater en plein milieu d'une rue déserté par les passant pour laisser votre amour naître au fin fond d'une nuit qui , je vous le souhaite ne finira jamais. C'est après beaucoup de temps , que vous vous rendrez compte , que cette sensation ,ce moment , était un pur instant de bonheur , du bonheur brut , à l'état pur , rien qu'à vous deux. Reste le meilleur pour la fin , ce long et savoureux baiser que vous vous donnez l'un à l'autre , pour sceller cette soirée , parce qu'un rêve n'en est pas un si il ne l'es pas à cent pour cent .