Un bouddha qui fut respecter et très connu dans sa religion avait dit un jour " Nous sommes le résultat de ce que nous avons penser " , des années plus tard Gandhi lui disait : " Tout se que vous ferez est inutile mais il est important que vous le fassiez " , un écrivain contemporain à lâcher le long d'une ligne " Vous devez exister pour vous , vous devez croire en vous , vous devez avoir confiance , car si vous ne le faite pas , qui le fera ? " .. Malcom X lui disait : " Je suis pour la vérité peut importe d'où elle vient , je suis pour la victoire de la Justice peu importe contre qui . " Balzac s'était contenter de finir l'un de ses romans en avouant : " Pour triompher le mal n'a besoin que de l'inaction des gens biens ".
La vérité c'est que nous sommes le résultat de nos pensées , de nos actes , de nos choix , et chaque décision que nous prenons nous transformes , et nous prépare pour notre avenir . Ses actes pourtant si anodin nous transformes au fur et à mesure que nous envisageons le temps . Que nous croyons y échapper , prisonnier d'une cage à l'intérieur . Le temps me paraît si violent à mon égard , les actes me paraissent si peu important si je n'ai personne à qui les dédiés, j'ai beau montrer à tout le monde que je vais bien , c'est faux je le sais , le poids de son absence me détruit de l'intérieur. Je sens en moi la tristesse montée , mais je ne peux pas.. Je n'ai pas le droit de flancher , je n'ai pas le droit de me retourner et de te dire que tu me manques.. Tu me l'as interdis.. Je vis chaque jour en espérant , qu'il arrivera un instant où le poids de ce manque disparaîtra.. Je me laisse couler , je n'ai pas envie , je n'ai plus envie , les souvenirs deviennent trop oppressant , je ne peux plus respirer. Ton visage me hante , je pense tellement à toi , que tu es devenues une habitude , un rite auquel je n'échappe pas , je l'ai accepté , je n'avais pas le choix , tout me ramenais.. Tout me ramène à toi. Le dos tourner , les souvenirs me poignardes sauvagement , je suis à nu , mitrailler par des questions , mais surtout un manque . Le manque de toi , de nous. Je n'ai pas d'échappatoire , pas d'excuse , pas de sortie de secours , pas de masque . Face à toi c'est un vide qui se dresse au devant de moi. Tu es devenue ma peur , ma rancoeur , mais surtout et principalement : tout mon amour. Et moi.. A chacun de tes baisers , je croyais effleurer une étoile..
Il se cache dans son lit , sous sa couette , il éteint son téléphone , il se roule en boule , il est dans le silence de sa chambre , il sent son coeur s'emballé , le souffle coupé , ses yeux sont humides , il a une boule au ventre , un goût amer dans la bouche , sa vision est flou. Son visage est mouillé, marquer par une tristesse invisible qui le terrasse. Dans un effort presque sur-humain , il s'arrête et lâche d'une traite , sans reprendre son souffle ni bégayer : Je n'ai juste pas le courage d'exister aujourd'hui. On verra demain.
Passe alors quelques secondes dans un silence presque imaginaire, rompu soudainement par des cris de douleur ressemblant à une agonie , lente et mortel, les larmes coulent sur son visage comme un jour de pluie...
L'amour ne peut pas tuer ? On vous a menti.