lundi 8 avril 2013
Chapitre 351 - On rêve d'un rêve.
J'ai envie de dormir. Dormir longtemps , dormir beaucoup. Me réveiller avec l'impression d'avoir vécu un rêve , d'avoir été plongé dans une grandeur aventure. Me réveillé aux côtés d'une personne que je ne connais pas. Dans un lieu que je n'ai jamais vu. Mais qui m'apaise. Ne pas me reconnaître dans le miroir. Je veux vivre un songe. Pourquoi personne ne rêve d'une plage ou de quelque chose de simple et claire ? Je veux me lever avec l'impression d'avoir traverser quelque chose de nouveau. Quelque chose d'étrange. Sortir de l'ordinaire , me sortir de la routine. Venir a mon propre secours. Braqué l'habitude , voler le temps , tuer l'instant , et prendre en otage la vie. Vivre dans un tout qui n'est rien. Partir loin ne demande rien d'exceptionnelle , changer sa vision du monde est autrement plus important et véritablement présenté comme la solution. Mais qui va renoncer a la facilité ? Qui va renoncer au fait de pouvoir fuir ? Qui accepte cette posture ou douleur et moquerie ne font qu'un.. Alors je ferme les yeux , fort , très fort. Et je ris , je suis condamner. Je suis mort. Vous êtes mort. Nous sommes déjà tous mort , et nos problèmes n'ont jamais exister. De la poussière a la poussière. De la tristesse a la joie. J'ai du la chance dans ma jeune vie d'avoir vécu des moments qui contenaient des milliers d'existences. J'ai vécu des instants qui contenaient des vies entières. La valeur de la vie n'attend pas le nombre des années. Je fais ce que j'ai a faire. En attendant ma prise d'otage continue. Je réclame a la vie : l'arrêt du temps. Et une rançon , 20 000 000 € , un jet partance pour les îles caïman , et le grand amour de ma vie. Le bonheur ne fait pas parti du palmarès. Ça je le laisse aux pauvres avides d'une richesse qui n'existent pas et d'une existence qui pu la mort. Allez putain ! Qu'on ose me faire rêver. Que Quelqu'un ai le cran de me surprendre.
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