lundi 2 décembre 2013

Chapitre 458 - On est qui on est , pas de miracle , pas de mystère , pas de surprise. Soit t'es fait pour réussir depuis toujours , soit tu ne l'as jamais été. Le courage ne s'apprend pas , l'ambition ne se croit pas , la force ne s'imagine pas. Si tu tapes ici , c'est pour de vrai.









" Si ça fait mal c'est que c'est bon , c'est que c'est bien. Continue. Rare sont les gens capables aujourd'hui de me faire souffrir je les recherchent sans cesse. Car la souffrance est l'un des uniques moyen les plus rapides pour se renforcer à en devenir un démon , un monstre et finalement un diable. La souffrance pose le dilemme suivant : Soit tu deviens plus fort et tu passes , soit tu ne passes pas maintenant et tu ne passeras jamais. Alors continue. Continue à me faire souffrir , j'en apprend de plus en plus sur mes faiblesses et je les comblent au moment où nous parlons. C'est une question de temps. Une question de temps avant que je sois insensible , que ça ne me fasse plus rien. Fait moi souffrir par plaisir , par procuration , tant que tu me fais souffrir ça me convient. Parce que viendra un jour , où ni chaud ni froid. J'en aurai plus rien à foutre de tes douleurs , de ta vie , de ton existence. Parce que j'aurai transcendé ton petit jeu. J'aurai atteint son but à tel point que j'en acquérirai des millier d'années lumières d'avance sur toi. Alors joue. Joue , amuse-toi et profite bien. Fait ce que tu le souhaites. Tu as déjà perdu. J'ai appris de tes erreurs. J'apprend des mes incapacités , jusqu'à ne plus en avoir. Tu es le maître pour quelques temps , j'ai dans la tête d'être le maître de l'éternité. Tu restes bloqué dans une sphère qui n'attend que ta fin pour s'effondrée sur elle-même. Mon monde évolue , se métamorphose en même temps que moi. Viendra un jour où je serai plus fort , plus résistant , plus endurant , plus déterminé que toi. Et quand se jour arrivera , si je te croise au détour d'une ruelle , je te regarderai de haut en bas , avant d'en esquissé un sourire du coin de la lèvre en regardant ton doux visage de défaitiste . A ce moment on compara le degré de victoire , la puissance de vaincre , la haine de réussir. Prend moi pour un vantard qui ne sait pas de quoi il parle , mais reste jaloux de ma capacité à avouer mes ambitions, tu as honte des tiennes à tel point que tu n'en parles pas , tu ne fais rien pour les réalisés. Ne soit pas amer face à moi , si moi , je décide d'en plus d'y croire , de les réalisés. Alors profite. Profite bien , ta couronne brille sur ta tête , mais de tout ça : ça ne dure qu'un temps. "






Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire