mardi 3 décembre 2013

Chapitre 460 - Pourtant au plus profond des ténèbres , on peut avec un peu de chance voir de légères étincelles qui tentent de s'allumer. Et ces étincelles. Produisent une faible lumière. Si puissante. Si belle. Et si douce que les ténèbres elles-même pleure de tristesse d'avoir dévorée une âme aussi douce et pure. C'est à cette lumière que l'on sait que le monde , a tué un ange.


Si tu trouves mieux. Tu m'oublieras. Si tu trouves pire. Tu te rappèleras. Ne joue pas avec moi si tu n'aimes pas perdre. Parce que je ne veux pas gagner maintenant. Mais définitivement. Et quand je pourrai t'achevé. Je n'hésiterai pas. Pas de remord. Pas de regret. Pas de pitié. Pas de doute. Pas d'humanité. Pas de cœur. Je n'oublie rien. Tout est là. Je n'en dis pas un mot , mais ce n'est pas pour autant que ça n'existe pas. Pas de colère. Pas de haine. Pas de signe. Juste une mer calme. Douce. Qui berce. Avant qu'un jour elle finisse par te noyé et finalement te tué. Si tu me prends pour quelqu'un de bien. Tu es déjà mort. Si tu me prend pour quelqu'un de potentiellement gentil. Tu es déjà mort. Si tu penses pouvoir me faire confiance. Tu es mort. Si tu crois que je suis honnête. Tu es mort. Si tu penses que je ne suis pas mauvais. Tu es mort. Si tu me crois capable de chose bien. Tu es mort. Si tu crois en ce stupide masque que je porte comme tant d'autres que je peux a ma guise porté ou non. Tu es mort. Tu joues au jeu sans en connaître les règles ? Tu es mort. Tu joues sans connaître le but, et sans avoir l'envie de gagner ? Tu es mort. Tu prends mon silence pour une absence ? Tu es mort. Tu crois que j'oublie quelque chose ? Tu es mort. Tu doutes ? Tu es mort. Tu me prends pour quelqu'un de bien ? Tu es mort. 

Je ne te dis pas tout ça pour te faire mal ou pour te forcer a faire ce que tu ne veux peut être pas. Mais. Dans ce monde. J'ai les couilles de me regarder en face et d'assumer ce que je suis vraiment. Je te dis ça sans quoi tu serais déjà mort depuis bien longtemps et trop rapidement. Je ne fais pas ça pour toi. Je le fais pour moi. Pour que tu saches a qui tu as affaire. Que tu saches que si toi tu hésites , moi je n'hésiterai pas. Et si tu penses que je veux juste générer la peur chez toi .. Tu es mort pour la quatorzième fois depuis cinq minutes. 

Comprend le. Si tu veux survivre. Rentre toi dans le crâne que je suis un monstre et que si tu veux me tuer. Tu dois être un monstre toi même et me dévorer. Sinon tu pourras autant de fois me mettre au sol. Me laisser pour mort. Il y aura un moment où comme la mer pendant la marée , tu ne verras plus de signe de moi. Pourtant je reviendrai. Et quand je reviendrai je te tuerai brutalement. Sans une once de choix ou de soucis. Comprend moi bien. Ce n'est pas la haine qui m'habite. C'est elle que j'heberge en moi. Je n'ai pas peur des ténèbres , j'en suis rempli. Alors.. Tu comptes juste regarder les abysses ou tu y plonges ? Attention.. Pas tout le monde peut y descendre et y remonter. Beaucoup reste au fond. Ne te sur-estime pas. Sinon je te dévore morceau de chair par morceau de chair. La seule règle ici est d'être en vie. Ne fait pas que la peur élue domicile en toi. Devient la peur. Regarde dans mes yeux. Ils ne sont pas vident. Ils n'y a pas de sentiments. Devient pire que moi si tu veux t'en sortir. Ou commence a fuir. Si tu as déjà douté dans ta vie de tes choix , capacités , envie , besoin , nécessite , décision. Oubli ce que tu viens de lire. J'ai pris la peur comme une force. Elle est la chienne de mon antre comme Cerbère des enfers.

Je n'ai qu'un point faible et je n'avais que deux choix , le supprimait ou l'affichait aux yeux de tous. J'ai rendu la tâche plus simple pour les autres en le dévoilant et j'éprouve du plaisir a chasser la chair plus qu'avant. Tu me prends pour un fou ? Pour un vantard idiot ? Un pauvre malade ? Approche , et vient voir par toi même. Lis dans mes yeux ce que j'ai vu. Vois dans mon monstrueux cœur ce que j'ai ressenti.

Comprend la réaction que j'ai eu. Quand j'ai vu face a moi le vrai visage de l'humanité. La nature humaine de chaque être quand il se sent en danger. Oublie ce que je suis. 


Et ne tente jamais de rivaliser avec l'atrocité que je représente. 

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