" If you can see this , you know now . I always love you.
I'll waiting you. "
I'll waiting you. "
Si personne n'est venu aujourd'hui c'est tout simplement parce que personne n'ose se mesure à ce qu'on a vécu.
putain , putain , Putain.. Je n'ai pas le droit à l'abandon et pourtant la sortie me semble si loin.
Depuis je ne sais quand , ni après quels évènement , ma vie est devenue , un champ de mine. Dans lequel je dois faire attention où je mets les pieds. Je dois faire en sorte de choisir les bons mots , tout en évitant certain sujet. Je dois anticiper certaines réactions . Je dois éviter d'entendre quelque chose qui m'enverrai immédiatement au sol. J'empêche certaines pensées de naître. Car si jamais l'une de ces choses n'est pas respectées. La sentence est immédiate , et je me retrouve éparpiller aux quatre coins de la ville. Je dois éviter certains lieux , qui feront de mes souvenirs des chasseurs et de mon coeur leurs proie. J'évite certaines personnes car je sais quelles me parleront de ces choses , de ses souvenirs qui démarreront ma mise à mort . C'est une punition insoutenable . Qui me rappelle sans cesse le prix des choses qui m'entourent .
La peur guette mes mouvements , prête à bondir sur moi au moment le moins opportun. Quand enfin la journée touche à sa fin. Les choses deviennent beaucoup plus sérieuse. La nuit est un ennemie. Masquant à ma vue les pires doutes et cauchemar que mon coeur fragile rêveur fait dans son sommeil. Je ne verrai ni le coup , ni le son de la détente s'actionner , qui m'achèvera . Et me clouera à terre. Ma vie est un risque .
Ce champ de bataille sur lequel la moindre erreur amène à un game over sombre et brutal. La pression se fait plus forte. Et la crainte d'un faux pas est plus présente que jamais. Enfin dans mon seul refuge , un misérable lit , qui fait office de château fort contre mes pires craintes. Dans lequel j'ose me croire en sécurité.. Quand quelquefois un objet s'immisce ou que j'ai laisser , traîne dans mon lit. Ce soir , c'est une petite peluche, une simple pelu..
Il existe , de ceux qui bien plus tard , viennent à votre rencontre , en vous disant que vous leurs manquez. Et reparte comme si de rien n'était. Comme si le manque faisait parti du quotidien. Ils se remettent à vivre dans leurs bain de foule et d'habitude quotidienne. Mais le manque .. Ce n'est pas ça. Le véritable manque , revient quand vous vous y attendez le moins. Il revient tout le temps , de façon récurrente. Le soir , souvent très tard . Quand il n'y a plus que vous et cette nuit de silence. A la façon d'un disque qui tourne en boucle. Une rencontre prédéfinie , dans l'horloge du destin qui ne vous demandera ni votre avis , ni votre humeur. Chaque réapparition est de plus en plus forte. Le manque s'infiltre comme un véritable intrus à qui on se refuse de fermer la porte. Le manque ce n'est pas sentiment que l'on ressent aussi simplement que ça. Il ne vient pas tout les trente-et-un du mois. Le monde , s'infiltre , s'incruste , il laisse des traces. Et ces traces , c'est votre coeur qui la nuit tomber , ce refuse à s'endormir , de peur d'oublier.
Je ne suis peut être pas encore prêt , du moins j'ai peur. Peur de se que l'avenir pourrait m'en réserver . Mais une chose dont il n'y a pas a douter , c'est que je crèverai de ça , je le promet , j'y consacrerai ma vie. Pas maintenant , peut être pas demain. Mais un jour viendra où je lâcherai tout se que j'ai , où j'abandonnerai tout mes projets en cours , pour cette seule et unique chose. Cette chose , qui concrétise tout mes désirs. Cette chose qui agira sur moi le moment venu , comme une bombe silencieuse , dont le souffle balaiera , mes aléas de la vie et retournera mes habitudes contre moi. J'en suis certain. Alors pour le moment , je fais se que je pense faire le mieux. En guettant ce jour. Je veux vivre de ça , crever de ça , sentir mon coeur battre pour ça. J'ai la boule au ventre et le sourire au lèvre , d'un jour en me levant être prêt. Parce que , je le sais aujourd'hui , c'est ça la clé de mon bonheur. Mais c'est peut être ça.. J'ai peut être peur du bonheur.. Peur d'être heureux. Qu'est-ce que sa fait d'être heureux .. D'être VRAIMENT heureux ? J'ai toujours cru que je ne méritais pas le droit d'être heureux.. Voilà pourquoi je n'ose pas toucher , l'objet de mes hantises les plus folles.
" Et même si j'avais un million de raison de partir , je choisirai toujours la seule qui me dirait de rester. Parce que je ne peux pas lutter contre mon amour pour toi. Aujourd'hui, demain.. Pour toujours. "
Quand notre monde s'effondre , où que l'on s'aperçoit d'une chose déplaisante.. Je veux dire . Tout le monde le fait . Mais personne ne s'est jamais poser la question. J'entend par là.. A-t-on le droit de tout quitter simplement parce que l'on se rend compte - un peu trop tard - que l'on s'est peut être trompé ? Qu'advient-il des choses que nous abandonnons ? Que reste-il des choses auxquelles nous avons dit non ?
Dans la vie , tu as deux choix qui s'offrent à toi . Dès ton réveil. Tu peux te recoucher pour poursuivre ton rêve.. Ou tu te lèves..Et tu vas le réaliser.
Chapitre 250 - " N'oublie jamais ta faiblesse , et améliore tes résistances."
Il ne faut pas se centrer sur soi. L'amélioration que nous voulons devenir , se doit , de voir plus loin , de changer de direction , d'étudier de nouveaux horizon. Notre évolution est perpétuelle , depuis le premier cri d'enfant , jusqu'au dernier soupir d'une personne ayant fait son temps. Il ne faut pas se concentrer sur ce que nous sommes. Mais plutôt sur ce que nous pouvons être pour les autres. L'amélioration , le dévouement , le changement .. Ne sont font que des habitudes sans cesse renouvelées. L'originalité et l'impulsivité voilà sûrement les maîtres mots d'une vie passionnée.
N'oublions pas , qu'une pensée peut changer le monde , qu'une parole peut changer les personnes . Le pouvoir des mots.. Certainement le pouvoir le plus puissant qui nous soit disposé d'avoir , bien loin devant celui de l'amour. Les mots changent la réalité , permettent de voir des choses jusque là invisible , nous bouleversent , nous transpercent , comme une simple feuille de papier. Le monde n'est qu'une parodie de succès dans laquelle nous ne sommes pas à l'abri de n'être rien. Personne n'a jamais eu peur de la mort, étant donné que nous ne pouvons la voir. Nous n'avons peur que d'une seule chose. L'oubli , le fait que personne ne se rappelle de nous, de notre passage ici bas. Que rien ne puisse faire en sorte de prouver que nous ayons exister , que nous ayons eut une vie , des souhaits , des rêves , des objectifs. Nous n'avons peur de ne pas exister , même en vie et après la mort. Que personne ne sache qui nous étions , que le monde fasse comme il l'a toujours fait .. Tourner , tourner ..
C'est fatalement le prix à payer pour vivre.. Quand bien même nous mourrons , le temps se chargera du reste , et un jour viendra où personne ne se rappellera de votre nom. Seul ceux qui ont marqué l'histoire ont l'ultime privilège de défié le temps de leurs empreintes , de terrasser son arme. A la manière d'un Einstein , Van Gogh , Victor Hugo , Coco Chanel.
En venant au monde nous ne sommes personnes , en , en partant nous ne sommes personnes. Mais cela n'empêche pas de laisser derrière nous un indescriptible chaos. Avec le temps qui nous est donné de vivre.. Il faut savoir marqué les esprits. Parce qu'après tout ça . Il n'y a peut être rien , rien à part l'oubli. Éternel.
La douleur , l'amour , la jalousie , le malheur , le mensonge , la trahison , les larmes , les armes , les guerres , la maladie , les soldats , la manipulation , l'amertume , la défaite , l'abandon , l'extermination.. Malgré les années , les millénaires , l'évolution du monde.. L'ennemie de l'humanité , depuis son premier jour n'a jamais été la mort . Il est celui qui dirige , celui qui efface , celui qui règle , qui concrétise , et anéanti. L'ennemie de l'Homme est pour toujours et à jamais.. Le temps.