mercredi 27 août 2014

Chapitre 557 - Cette vie risque d'être plus belle que prévue. (Tu as bientôt trois ans mon amour.)








 En espérant malgré le mépris , la haine , l'ignorance , la rancœur que vous ayez la chance un jour de pouvoir faire en sorte d'être fier et heureux de vous même si , finalement je ne voudrai rien de tout ça pour vous , mais je ne suis rien ni personne pour vous empêcher d'avoir un jour l'occasion de réussir. Quand à ceux que j'ai aimé ,et à qui j'ai consacré du temps , de l'importance , des moments de fou rire , de plaisir , et même dois-je l'avouer de pleure , de perte , et de peur. Je vous souhaite vraiment de réussir , d'être ce que vous souhaitez, de pouvoir un jour vous regardez dans une glace et apprécié qui vous voyez , qui vous êtes , d'avancer dans votre temps en ayant trouvé votre place , de suivre vos envies , de réussir à tout faire avec amour et aussi peut être qui sait par amour. De combattre vos peurs , et d'être devenu le pilier le certains , le tombeau de la plupart , à vous , je vous souhaite non pas la réussite , mais le succès , à vous je vous désire le mur flamboyant et non l'être de lumière. Aimez et pardonnez soyez ce que je n'ai su être avec certains , soyez humain. 

Ca n'est pas une nouvelle vie qui commence , ça n'est pas un nouveau monde qui se crée , l'ancien je l'ai planté sous une graine , dans un de mes chapitres dans une terre désolée et j'y reviendrai mais certainement pas maintenant. Ca n'est pas moi qui change , ca n'est pas moi qui vous abandonne , ca n'est pas non plus moi qui vous retient. Mon monde grandi et prend une nouvelle ampleur. Le chemin que je trace de part mes conséquences ne déçoit en aucun cas mes idéaux. 

Alors vivez, vivez , ne détester pas , ne vivez pas dans le passé , dans la haine , dans la rancoeur comme je l'ai fais de nombreuses fois. Vous n'avez pas le temps. Nous n'avons pas le temps. Nous devons vivre. Vivre pour nous , pour que les actes que les autres , pour que leurs sacrifices , leurs rêves , leurs besoins , leurs envies envers nous , ne meurent pas sans raison.

Ma vie m'emmène vers ma destinée tout comme , quand vous serez prêt , elle le fera avec vous. 




Bonjour aux nouveaux , sourire pour ceux qui restent et tiennent la cadence. Adieu aux autres. Cette vie est la nôtre prouvons donc que nous la méritons en partant en guerre jour après jour. Bonne chance à vous tous.

samedi 23 août 2014

Chapitre 556 - " Je réinventerai l'amour "








Ce qu'il y a de dangereux avec la provocation , c'est qu'elle se retourne contre vous. Elle me provoquait comme le diable n'aurait pu le faire . Elle tentait de me mettre dans des états improbables , pour finir avec un air insouciant derrière lequel elle m'aurait demandée ce qu'il y avait , qu'elle ne comprenait pas ce qui se passait et pourquoi j'étais si bizarre. Elle m'accusait de toujours fuir les discussions qu'elle entretenait avec moi. Il y a deux choses qu'elle n'a jamais compris. Je ne fuis jamais , simplement je préfère évité de perdre mon temps là où il n'y a pas de raison de développer quand l'un des deux ne s'intéressent pas et ne prend pas en compte les remarques de l'autre, de plus il est à sous entendre que nous devons nous mettre à la place de l'autre. Chose impossible pour elle , comment aurait-elle pu se mettre à la place d'une personne qui en a fait plus par émotion que jamais elle n'aurait pu faire dans toutes ses révisions de cours que le monde aurait pu lui offrir ? Le temps, mon temps est trop précieux. Non pas qu'il passe au-dessus du temps de certain , mais parce que j'ai pris conscience de sa perte, seconde par seconde. A l'instant où j'écris ces mots , il disparaît un temps que j'aurai pu concrétisé et investir dans d'autres choses , mais qu'au plus profond de moi, juge nécessaire de faire ici. 

Elle se protège d'une armure ridiculement grotesque qui en impose plus par sa carrure que par son efficacité. Je ne peux donc pas me permettre de lui renvoyer les coups qu'elle me donne. Vu l'impact qu'ils ont sur moi , je pourrai tout aussi la détruire par le retour de flamme à même échelle, mais je ne le veux pas. Parce que je veux la protéger , et l'apprécié , l'apprécié comme elle m'a apprécié et aimer moi , moi quand j'étais le plus sombre des salauds , le plus enculé de tout les connards , le monstre à la face hideuse et égoïste qui maintenant paie le prix d'une souffrance qui ne se calcul plus. J'étais l'iceberg où a son centre résidait tout l'amour qu'elle me donnait et en impartiale que j'étais , j'en fermais les yeux jugeant cela insuffisant. Alors à mon tour , je veux et je l'ai déjà apprécié quand tout l'empêchait que je le fasse , quand elle me dégoûtait au point de ne même pas relevé sa présence. 

Et en voici la deuxième chose , elle tentait de me rendre fou. Mais cette idiote , cette incapable et immense peureuse de sentiment , cette fille qui s'était dit qu'avoir été blessée une fois suffisait à ne plus jamais laissé les émotions passées en elle, aussi simplement que la vie y définissait son terme.. N'a jamais compris , jamais , une seule putain de seconde que j'étais fou. Fou d'elle. D'une fille qu'elle faisait disparaître en agissant de comme une petite dévergondée qui ne sait où se tenir , ni comment faire. Voilà où j'en étais réduit , à aimer un fantôme qui tendait à se crée et à admirer un spectacle qui brise plus mon coeur que ne pourrait le faire un marteau. 

Je l'ai compris bien trop tard. Avec l'amour , en tant que sentiment.. Le principe de seconde chance n'existe pas. Le contraire de l'amour , est l'inconditionnelle reine impérialiste qui nous domine tous à un moment de notre vie ; la peur. J'aime une peur fantomatique.. Qu'avez-vous de mieux à me proposer ? 



jeudi 21 août 2014

Chapitre 555 - L'incurable maladie. (mes Nike Roosh Run Hyperfuse Platinium Rouge sont mes bijoux à moi.)










Il est arrivé au alentour de deux heures du matin , dans la nuit noir loin des lampadaire , il marchait seul et se tenait le bras , la main à moitié sur le haut du torse. Il était grand , j'aurai dis un mètre quatre-vingt sept . Habillé d'un sweet blanc , et d'un pantalon beige , il avait les cheveux en bataille , du genre châtain , les yeux rouges de larmes ; il marchait lentement , de ce qu'on m'a dit il s'est effondré devant l'entrée principale, heureusement notre service cette nuit n'était pas débordé. J'étais avec Maria dans la salle de repos à discuter du temps qu'il allait faire demain pour savoir si j'emmenais les enfants à la plage pour le début des vacances.

Nous fûmes très vite appeler par l'interphone, une urgence à apparemment , il était là, sur le brancard en hurlant sa douleur , nous avions cru à un crise ou un signe annonciateur d'une future crise cardiaque , il se débattait sans vraiment le vouloir. Je dis "hurlant sa douleur" mais il gémissait comme un enfant , je lui aurai donné tout au plus dix huit ans. Plutôt beau garçon , de ce genre qui reste mignon dans toutes les circonstances , ma fille aurait craqué et j'avoue que si j'avais eu son âge je n'aurai pas non plus résister. 

La nuit était sombre et pourtant plutôt chaleureuse en cette fin d'été , il fut emmener immédiatement au bloc opératoire où je m'y préparais pour l'accueillir tandis que Maria elle n'en était qu'à se laver les mains , la première arrivée dans la salle , j'ai allumé les lumières et bien vérifié les différents scalpels et si les lumières étaient non affectées par du sang ou des résidus. De ce que l'on a eu le temps de nous dire , il aurait quelque chose au coeur, une sorte de crise qu'il fallait immédiatement opéré.

Ce que nous fîmes immédiatement après que l'équipe fut en place. Il avait tant marché et pleurer de tristesse qu'il s'était endormi avec la moitié d'une demi-dose de nos sérums . En ouvrant sa cage thoracique nous fûmes , totalement choqués à la manière d'un cataclysme qui nous frappe quand nous avons pu voir ce qu'il avait .. Rien. Il n'avait rien , aucun signe post traumatique , pas de signe d'une future crise , pas un soucis , ni ses nerfs , ni ses artères étaient touchés d'un mal quelconque ..

C'est à son réveil en venant le voir neuf heures plus tard , quelques cicatrices sur la poitrine que nous lui avons expliqué ce que nous avons fait. Il était plutôt doux , je dirai même timide et pourtant assez mature pour son âge , il tenait la douleur sans bronché , et il écoutait ce que j'avais à lui dire avec intérêt . J'en vins à lui demander ce qu'il avait eu pour avoir tenu sa poitrine si fort en criant son mal de coeur dans tout le service , car sans nul doute ceci nous avais assez effrayé pour prendre le cas très au sérieux et l'opéré immédiatement ; je lui avais expliqué qu'il garderait peut être un ou deux cicatrices , il m'a juste souri. J'étais interloqué , autant personnellement que professionnellement. Je lui ai donc demandé pourquoi avait-il tenu son coeur.. Il m'eu répondu entre deux regards par delà la fenêtre qu'il avait eu mal , très mal , soudainement , comme une perte , une violence à laquelle le plus grand des boucliers ne peut nous protéger complètement. Ça n'était ni une entaille , ni une fracture.
Qu'on lui avait retiré le goût de la vie , et que tout se corps l'avait abandonné. J'ai soudainement compris.. Et en posant ma main sur la sienne comme une mère pour réconforter ses enfants , je lui ai dis que ce genre de chose , malheureusement ne se soigne pas. Qu'on ne pouvait rien y faire, m'ayant regardé une seconde fois ; le temps d'une esquisse il me murmura d'une voix fine qu'il le savait , mais qu'il avait espéré que ce soit faux.. 


Malheureusement cette douleur ne le lâchera pas et s'estompera sûrement avec le temps , tout dépend à quel point son coeur est touché. Je lui ai souhaité un bon rétablissement en lui expliquant qu'il ressortira en fin de journée , avant de repartir le coeur nostalgique d'une époque où j'étais une adolescente passionnelle tout comme lui en me disant qu'il reste de nombreuses choses tristes dans ce monde.. Dans le service on savait que ça n'allait pas être le dernier , et qu'il y a des cas qui sont bien plus sombre que des morts.. En reprenant ma discussion avec Maria son cas m'avait attristé , mais j'ai souris , parce qu'il faut toujours sourire, ne serait-ce que pour donné envie aux autres de sourire...




Je m'appelle Christine et je suis chirurgienne-cardiologue.

lundi 18 août 2014

Malgré tout ce que l'on peut bien vous dire, vous faire voir , ou bien vous faire comprendre ... Il n'y a pas pire, pas plus horrible au monde. Pas plus détestable ni haïssable. Qu'une personne qui ne tient pas ses promesses.. Envers les autres. Et même envers elle-même. C'est là le sommet de l'irrespect , de l'insulte et c'est le symbole ultime de toutes faiblesses. Il ne faut jamais plaisanter avec le devoir de mémoire. Mais avec les promesses.. Bien plus encore. Vous n'avez pas idée de tout ce que cela représente pour celui à qui vous la prononcer et envers qui vous la prononcer. Que celui qui rompt sa promesse. Une seule de ses promesses sur des dizaines de paroles, soit interdit et dénuée de tout sens "vivant". Il y a dans la prononciation d'une promesse un éclat d'âme que nous donnons. Cet éclat n'est rien face à la grandeur de notre esprit, mais il est ce que nous avons de meilleur. Et perdons si jamais nous transgression cela. N'attendez plus respect , admiration , estime , espoir , politesse ou même considérer comme " être " , si vous brisez une seule de vos promesses..

vendredi 15 août 2014

Chapitre 554 - Les abysses vous enseignent une chose. C'est celui qui brille qui gagne.






" J'ai besoin de toi. "

" T'as besoin qu'on te vienne en aide quand tu merdes. T'as besoin d'aide pour vivre. Parce que t'es incapable d'accepter la vie par toi-même. Il faut quelqu'un pour te rendre le souffle plus doux. La respiration plus agréable. Mais moi, je te le promet, je serai ces mains qui te serrent la gorge à chaque fois que tu échoueras. Et je finirai par t'étrangler. Je t'apprendrai au gré des risques, de la souffrance , et même de la mort qu'on ne refuse pas une victoire qui le mérite. "

" Tu n'es qu'un monstre. "

" Tu ne sais rien des monstres ni à quoi ils ressemblent. Tu n'es qu'une idiote affabulée par des histoires de contes , de prince , de réussite toute faite. T'as jamais travaillé pour avoir quelque chose. Le mérite , l'angoisse , le stress , la détermination , tout comme ta vie te sont inconnu. Sans les personnes qui t'entourent tu n'es rien tu ne reperds pas. Tu as besoin d'un tableau sur lequel joué et peu importe si il est mal fichu. T'es illusoire. Jusqu'à la dernière seconde de ta vie tu croiras que tu auras fait quelque chose de bien. Mais tu n'auras rien fait. Tu n'auras rien su être. Ne me considère pas comme un monstre, tu ferais une grave erreur , parce que eux ; n'en font pas. "

" On ne vit pas dans le même monde. "

" La chose n'est même là. Moi je vis. Toi tu penses vivre. "

" Si il suffit de souffrir et de faire des efforts en attendant une récompense des gens ça ne sert à rien. "
" (rire) Tu ne sais pas de quoi tu parles , ne serait-ce que pour la récompense. Elle ne vient et n'est jamais venu des gens. C'est triste que tu passes à côté de toute une vie , de tant de choix , de possibilité. Mais a chacun l'envie d'être une marionnette. "

" Tu n'es que le pantin d'un autre. "

" J'ai coupé mes cordes pour me voué entièrement au karma , à cette règle ultime qui qu'importe tes choix , tes décisions , auront des conséquences que tu devras assumer mais qui prouveront que tu es bien en vie.. Mais à quoi bon parler de choix avec quelqu'un qui n'a su se cacher que dans la foule. Je ne considère ni tes mots , ni tes affronts , pour moi , tu n'existes pas. Visuellement peut être. Mais intérieurement, tu es morte, j'ignore même si un jour tu as vécues. Alors pourquoi me déranger avec tes petites peurs ? Tes petites choses minables ? Tu es à côté de tout, les seules personnes que tu intéresses sont celle qui vivent comme toi. Et heureusement l'époque est bien faite , nous avons des tonnes de personnes comme toi. Alors une de moins; une de plus , tu n'es qu'un nom à gommer. "





5 jours que je n'écris pas , ma tête est un désert aride où les mots sont une ressource bien trop rare pour exercer les détails du méandre de mon cœur. Pourtant comme un chercheur persuadé de faire la découverte du siècle je n'abandonne pas ma recherche de ses sentiments enfouis au plus profond de moi. Ceux qui pourront être décrit dans une perfection proche de la divinité même des émotions. C'est l'histoire d'un être qui fouille en lui pour savoir si il est à moitié vide ou à moitié plein. A moitié fini ou à moitié commencé. Je suis trop compliqué pour moi-même , j'aimerai être idiot , non pas que je suis intelligent , mais je me remet bien trop en question , et je change mon monde sans cesse en pensant l'améliorer. Il est difficile de se trouver une place fixe quand on ne cesse de changer de place. Ici et là , là-bas et encore plus loin , dur , trop dur de suivre la cadence quand on ne sait pas à quelle vitesse se fier. J'aime apprendre et connaître , mais davantage encore me comprendre. Je me déteste savoir mort d'avance. Tout ce chemin parcouru qui ne restera davantage pas les mémoires que dans les coeurs. C'est triste. Mais beau puisqu'on en devient nostalgique. Je voudrai vivre à travers des émotions et non pas un corps.. Beaucoup de question pour si peu de question , j'ai l'amour dans mon coeur et la pelle à ma main , rien ne m'empêchera de creuser pour chercher la belle ou peut être l'immonde vérité sur ce que je suis. Une chose reste certaines , aujourd'hui je vis. Comme je l'entend mais sans mes choix et mes principes appliqués. Je prie pour que tout ses sacrifices me permettent d'avoir ce que je désire. L'âme mélancolique je vous le dit ; la vie est un voyage qui a déjà prit fin.






dimanche 10 août 2014

Chapitre 553 - Haha.








"Il faut parfois préféré le labyrinthe , au chemin tracé bien droit , ne serait-ce que pour connaître ce qu'un voyage vaut comparer à un trajet direct. La surprise ne peut en être que plus grande. Des fois , il faut laisser une chance , seulement pour en laisser une et ne pas chercher plus. On se perd , on aurait pu réussir nous deux dans une autre vie.. C'est du moins ce qu'on peut en retenir mais c'est faux. On ne s'est pas raté. Il y en a juste eu un des deux , qui n'a pas fait les choix qui font que je te ne tiens pas par les mains où que tu ne me baises pas le cou. Il faut accepter de laisser la vie faire son parcours , on ne sait jamais ce que la vie nous réserve. Elle nous donne un destin bien défini , à nous de l'affiner. Tu as peut être déjà perdu pas mal de beaux instants pour avoir ceux que tu as. Réfléchis y. Tes décisions comptent toujours; toujours. Tu peux toujours changer , et bouleverser les gens. Les bons mots , au bon moment. Rien n'est jamais perdu tant que tu ne l'as pas décidé. Souviens t'en."


(rire); comme tu me manques.

jeudi 7 août 2014

Chapitre 552 - I Love Us









" Tu as une idée de ce que je peux ressentir quand je pense à toi ? De la violence avec laquelle mon coeur se met à battre ? De cette brutalité avec laquelle je ressens l'adrénaline ? Je ne veux rien de tout ça , mais à ton nom c'est tout mon corps qui s'éveille et j'imagine mille et une choses. Les plus belles , comme les plus cauchemardesque . Ce n'est pas que je n'imagine pas ma vie sans toi , c'est que ma vie sans toi n'a rien d'intéressant. J'en suis venu à un point où je suis persuadé. Intimement persuadé , que je ne pourrai survivre sans toi. Et je me revois encore comme un enfant , à me sentir malade sans nouvelle de toi par message , où te voir simplement faire des choses pour me répondre que tu as oubliée et que tu ne pouvais pas. Je ressens une grande rage sentimentale en me demandant , pourquoi tu n'as pas le temps pour moi mais pour ça , ce genre de choses débile tu en as la possibilité. Tu m'enflammes de violence , d'une violence émotionnelle qui me fait trembler, tu es ma perte et pourtant mon avenir. Un avenir que je vois radieux et que je n'imagine pas autrement qu'avec toi. Mais la peur que tu fais grandir en moi et tout aussi immense. Jamais je n'aurai cru cela possible de pouvoir aimer à en devenir dingue. Je gère cette folie.. Du moins c'est ce que je crois jusqu'à temps que la moindre chose en rapport avec toi me fasse ressentir une immense douleur. Je t'aime , mais l'effet que tu as sur moi et si puissant que je crains que tu ne sois pas apte à me rassurer dans ses périodes où la folie m'attrape et me noie sous d'amères émotions imbattables. Je ne suis fort que parce que mes émotions que je contrôle me guide et m'achève dans l'ensemble de mes constructions. Comment puis-je combattre ce qui me constitue totalement ? Je ne suis fait que d'amour , que de cette amour que j'éprouve pour toi. Je t'appartiens. Je veux t'aimer , te protéger , te suivre , te guider , te donner envie de devenir meilleure , mais surtout te faire l'amour à en mourir , t'aimer au-delà des mots. Et ne me dit pas que nous n'avons pas le temps pour ça. Nous avons tout le temps pour nous aimer. Mais je te demande simplement de m'aimer sans barrière et de t'avouer à moi comme je le fais avec toi , en bravant mes peurs , en exécutant mes barrières , parce que tu vaux mieux que tout ça. J'ai atteint ma limite , je ne sais plus comment te dire que je t'aime , j'en regresse. Si ce n'est pas dans cette vie , c'est dans la prochaine que je dépasserai ce stade. Mais jusque là tu es pour moi. Tout ce qui compte. Et nous ne sommes pas dans un film , pas dans une série , ce ne sont pas juste des mots. Ca se passe réellement , et je t'aime. "


Il m'a retourné..Ce connard m'a rendu accro une seconde fois.. 





Chapitre 551 - Pour avoir la gloire d'une vie , il faut la vie d'une gloire.













Nous imaginons dans l'avenir ce qu'avec un peu de cran et une sacrée paire de couilles pourrions faire dans le présent. Mais il est plus simple de rêver d'une vie , que de vivre d'un rêve. Le manque de cran , et de culot en tuera beaucoup. Soyez-en sûr , énormément même. Ils tombent , ils en tombent tout les jours. Tout le temps, des esclaves de leurs faiblesses qui se complaisent dans la sûreté de quelque chose qui ne viendra jamais. La seule chose qu'ils attendent et attendront jusqu'à la fin , c'est une mort peu agréable et un temps soit peu je l'espère pour nous autres; salope sur les bords.








mardi 5 août 2014

Chapitre 550 - Tout n'est qu'une putain de question mon trésor.








Il n'y a pas plusieurs façons d'aimer. Simplement plusieurs palier de sentiment. Soit tu es au dessus. Soit tu es en dessous. Mais tu n'es jamais sans. Voilà pourquoi tout le monde pense que nous avons chacun une façon d'aimer différente. La vérité c'est qu'à un point suffisamment élevé , l'amour rend aussi inébranlable que fou. Il y a le baiser que ceux qui vous offres vous font battre le coeur plus rapidement. Et enfin ceux qui quand ils vous déposent un baiser , qui des années plus tard vous brûles encore les lèvres de sentiment. Le secret d'un baiser parfait, c'est de le faire comme si c'était le dernier. Avec autant de force , que si vous deviez vous battre. 






" Tu n'as pas l'autorisation de t'arrêter. "
" Je sais. "
" De perdre. "
" Aussi. "
" D'imaginer une seconde la défaite. "
" Exact. "
" Même si la victoire est petite il faut savoir la prendre pour préparer la prochaine. "
" Oui. "
" Alors si tu sais tout si bien. Explique moi. "
" Quoi donc ? "
" Pourquoi tu te retrouves à bouffer le sol ? "
" Contrairement aux autres , je ne cherche pas les victoires simples. "
" C'est normal avec quelqu'un comme moi tu n'en as pas le droit. "
" Tu ne me demandes pas ce que je cherche ? "
" Tu vas me le dire de toute façon. "
" Exactement. Je ne cherche pas les victoires toutes faites. Je ne cherche même pas les victoires. "
" Exprime toi je t'en prie. "
" Je ne cherche pas les victoires. "
" Tu te refuses à gagner ? "
" Non. "
" Alors quoi ? "
" Je me refuse à gagner là où il faut gagner. "
" Comment ça ? "
" Je veux gagner là où personne n'ose gagner , où personne ne veut gagner. "
" Il n'y a ni endroit , ni moment où gagner . "
" C'est là que tu te trompes. Il y a toujours un instant où la victoire survient et c'est là qu'elle prend tout son sens , que dans l'instant du geste nous définissons des efforts gâchés , ou des douleurs enfouies pour libérer la puissance de cette réussite qui est à l'échelle de ce que nous sommes. "
" Partons de cette idée.. Où veux-tu gagner. "
" Dans la défaite. "
" Comment ça ? "
" Je veux faire naître une victoire dans la défaite même. "
" C'est impossible, si la défaite est annoncé il n'y a pas de victoire possible. "
" Si , le moment où l'on décide de peser le pour et le contre d'une victoire d'une défaite. Je veux faire changer la balance. "
" .. Tu es .. Tu es en train de me dire que tu veux gagner quand tu vas perdre ? "
" Exactement je veux gagner alors que je perds. Je veux me mettre a perdre pour gagner. "
" Contrairement aux autres tu ne gagnes pas beaucoup parce que tu cherches la victoire qui te dessine dans tes projets futurs n'est-ce pas ? "
" Comment ne pas vouloir te donner raison sous ses airs là ? "
" Qui y a-t-il comme récompense à une victoire qui vaille que l'on en décroche pas même sous l'effet de la drogue ? "
" Tu te rappelles de ce qu'on nous a dit ? "
" Tout dépend de quoi ? "
" Qui à l'heure d'aujourd'hui nous parle de victoire , d'effort , de détermination , de courage , de volonté dans cette époque avec ces gens qui pensent sans réellement vivre ? Ses enfants qui ont une idée mais qui se bourrent le crânes d'idiotie en pensant avoir leurs mots à dire .. Rappelle toi. "
" Je n'ai pas besoin de m'en rappeler puisque je m'en souviens. "
" Qu'est-ce qu'il nous avait dit ? "
" Ca ne devient jamais plus facile.. "
".. C'est vous qui devenez meilleur. "
" Battons-nous pour ce que nous croyons juste."
" Offrons-nous un futur digne de l'ambition de nos rêves. "
" Armons-nous de détermination. "
" Ensemble. "
" Ou séparer. "
" La victoire n'est jamais négociable. "
" Jamais. "

lundi 4 août 2014

Chapitre 549 - Le défi d'Y.




Comme une berceuse qui ne cesse jamais de se répétée mainte et mainte fois , je t'entend encore me susurrer ses mots si doux au creux de mon oreille. Mais c'est bien de toi que je rêve la nuit , me levant comme une hystérique . En sueur , avec la frayeur de t'avoir perdue ! Quelle sotte ! Bien sûr que je t'ai perdue pourquoi j'imagine encore quelque chose qui n'est plus . Moi qui t'appartenait j'étais la fille la plus heureuse qui soit. Toi loin de moi, j'ai vécu la déchéance d'un monde que je ne voulais plus. J'ai de quoi m'exprimée ici , sur un tabloïd informatique dont l'auteur m'a proposé de laissé mon empreinte. Je n'ai pas réfléchis plus d'une fois. Je voulais savoir de quoi était fait son " Loveless " . Bouleversant en lecture , je m'y étais perdue , sans me retrouvée et à l'intersection d'un de ses chapitres je suis tombée nez à nez avec mon âme ! Je ne vous raconte pas la galère de s'accepter , se comprendre , s'aimer quand on a toujours vécu avec l'illusion de connaître.

Le réflexe de ce chapitre décupla mon amour du manque , de la sensation , du sentiment , mais j'avoue ne pas comprendre peut-il être tombé amoureux de la possibilité même d'aimer. Il avait , et je pèse mes mots osé aimé l'amour (il m'en donne encore des frissons.) c'était fou comme une idée , je ne sais pas ce que vous comprenez de ça mais moi , c'est un fou. Et pourtant , tout a un sens c'est ça le plus dingue , autant mon manque , que la création de ce chapitre qu'il m'a offerte. Il va le lié , il va tout lié. Il vous prouvera ce qu'il m'a fait. Son grand but ; de vous faire sentir proche sans vous connaître. Voilà ce qu'il a fait , je me sentis proche de lui tout d'abord puis en réalité j'ai compris que j'étais proche du personnage qu'il avait inventé. Mais je ne suis pas seule. Je suis comprise. Si vous saviez le sourire qu'il m'a discerné , j'étais heureuse de ne pas me retrouvée pitoyable comme j'étais à demander de l'aide dans mon lit seule , roulée en boule.

Loveless c'est ce que nous nous accordons à être sans le vouloir ou un truc du genre , c'est ce qu'il en dit. Mais je trouve ça bien trop spécial à mon goût cette idée que le nom , le lieu de résidence , les actions des personnes ne définissent pas qui elles sont tant qu'elles ne l'ont pas pensés. Quoi qu'il en soit je respect cela , puisqu'en réalité c'est de ça que j'ai été atteinte. Mais je m'écarte de ce qu'il m'a permis d'écrire , je voulais faire cette parenthèse.


Au final j'étais seule , et pourtant dans l'ensemble , cela me plaisait , mon amour qui se consumé en moi , était miens , ce sentiment , cette douleur et ce plaisir rarement doux et toujours dans la violence , j'étais partagée , je ne pouvais me retrouvé dans l'enfer de la chaleur sans me faire avoir par la froideur du silence. Aujourd'hui je vis recluse de tout sentiment de peur d'aimer honte à moi de parvenir ce message ici, dans l'antre qui prône la puissance des sentiments .


Bref bref, Y. laisse sa place à deux personnes pour écrire; je vous le propose à votre tour , qui voudrait écrire ici , mais attention comme il le dit " Avez-vous seulement quelque chose qui vaille la peine d'être dit ou ressenti auprès des autres ? " Mais je trouvais mon entrée beaucoup plus intéressante. A vous de faire un choix. Y. l'a déjà fais.

vendredi 1 août 2014

Chapitre 548 - L'inconnu de ma vie



Je m'en rappelle encore , des années plus tard;
il fumait sa cigarette , j'étais en larme , j'hurlais, je me sentais vraiment mal , je voulais qu'il m'aide, qu'il me comprenne comme il l'avait fait tant de fois sans bronché. Il restait silencieux, à fixer l'horizon , comme si quelque chose lui échappait et qu'il tentait de la retenir par les yeux. D'en percer sa fuite. J'étais face à ce mur humain, ce batiment , cette forteresse glaciale qui avait fait fondre mon coeur et j'en étais bouleversé. Oh ça je te l'assure, le nombre de fois où je disais ce que je ne pensais pas simplement pour l'atteindre pour comprendre qu'il compte , qu'il était essentiel à ma vie. Que tant de fois j'ai essayé sans lui mais que ça ne fonctionnait pas avec la même magie que quand il me faisait le plaisir de sa présence. 

Je devais être stupide, je n'ai pas arrêter de parler, je redisais les mêmes choses, je suffoquais , et je me suis tut , j'ai attendu une réponse. C'est alors que je fis rencontre avec la vraie douleur;
Il ne me regarda pas , il se mit de dos face à moi , la fumée de sa cigarette partant , s'envolant dans l'air tiède d'un début de soirée d'été encore résistant dans ses derniers rayons de soleil;
Il ricana ce petit salaud , de son ricanement le plus beau  , il haussa les épaules , leva légèrement les mains dans la position d'une balance :

" Je ne te comprend pas, d'où te vient cette stupide idée totalement logique que tu représentes quelque chose pour. Est-ce parce que je compte pour toi, que tu comptes pour moi ? Haha. Tu vivais où pour t'être mis ça en tête ? Tu ne comptes pas. "


Il fit de moi la fille la plus douce , et la plus amoureuse qui soit , j'étais heureuse , je riais pour un rien venant de lui , et j'étais émerveillé. Mais il m'a aussi à ce moment précis , fait connaître avec horreur la déchéance de la douleur la plus brute qui soit. 

Depuis plus rien, il m'arrive de me demandé , si j'avais eu la possibilité de l'avoir, si il ne m'aurait pas fait connaître quelque chose de plus fort , d’immensément plus puissant que ce que je ressens aujourd'hui.. Cet idiot , des années qu'il n'est plus là et il me donne encore l'impression d'être le seul à pouvoir me donner ce que les autres ne réussiraient jamais.. Malheureusement pour moi il ne me l'a jamais donné.

Il avait des yeux à vous en faire perdre la tête , et des fesses à vous donner des bouffées de chaleurs.