Ce qu'il y a de dangereux avec la provocation , c'est qu'elle se retourne contre vous. Elle me provoquait comme le diable n'aurait pu le faire . Elle tentait de me mettre dans des états improbables , pour finir avec un air insouciant derrière lequel elle m'aurait demandée ce qu'il y avait , qu'elle ne comprenait pas ce qui se passait et pourquoi j'étais si bizarre. Elle m'accusait de toujours fuir les discussions qu'elle entretenait avec moi. Il y a deux choses qu'elle n'a jamais compris. Je ne fuis jamais , simplement je préfère évité de perdre mon temps là où il n'y a pas de raison de développer quand l'un des deux ne s'intéressent pas et ne prend pas en compte les remarques de l'autre, de plus il est à sous entendre que nous devons nous mettre à la place de l'autre. Chose impossible pour elle , comment aurait-elle pu se mettre à la place d'une personne qui en a fait plus par émotion que jamais elle n'aurait pu faire dans toutes ses révisions de cours que le monde aurait pu lui offrir ? Le temps, mon temps est trop précieux. Non pas qu'il passe au-dessus du temps de certain , mais parce que j'ai pris conscience de sa perte, seconde par seconde. A l'instant où j'écris ces mots , il disparaît un temps que j'aurai pu concrétisé et investir dans d'autres choses , mais qu'au plus profond de moi, juge nécessaire de faire ici.
Elle se protège d'une armure ridiculement grotesque qui en impose plus par sa carrure que par son efficacité. Je ne peux donc pas me permettre de lui renvoyer les coups qu'elle me donne. Vu l'impact qu'ils ont sur moi , je pourrai tout aussi la détruire par le retour de flamme à même échelle, mais je ne le veux pas. Parce que je veux la protéger , et l'apprécié , l'apprécié comme elle m'a apprécié et aimer moi , moi quand j'étais le plus sombre des salauds , le plus enculé de tout les connards , le monstre à la face hideuse et égoïste qui maintenant paie le prix d'une souffrance qui ne se calcul plus. J'étais l'iceberg où a son centre résidait tout l'amour qu'elle me donnait et en impartiale que j'étais , j'en fermais les yeux jugeant cela insuffisant. Alors à mon tour , je veux et je l'ai déjà apprécié quand tout l'empêchait que je le fasse , quand elle me dégoûtait au point de ne même pas relevé sa présence.
Et en voici la deuxième chose , elle tentait de me rendre fou. Mais cette idiote , cette incapable et immense peureuse de sentiment , cette fille qui s'était dit qu'avoir été blessée une fois suffisait à ne plus jamais laissé les émotions passées en elle, aussi simplement que la vie y définissait son terme.. N'a jamais compris , jamais , une seule putain de seconde que j'étais fou. Fou d'elle. D'une fille qu'elle faisait disparaître en agissant de comme une petite dévergondée qui ne sait où se tenir , ni comment faire. Voilà où j'en étais réduit , à aimer un fantôme qui tendait à se crée et à admirer un spectacle qui brise plus mon coeur que ne pourrait le faire un marteau.
Je l'ai compris bien trop tard. Avec l'amour , en tant que sentiment.. Le principe de seconde chance n'existe pas. Le contraire de l'amour , est l'inconditionnelle reine impérialiste qui nous domine tous à un moment de notre vie ; la peur. J'aime une peur fantomatique.. Qu'avez-vous de mieux à me proposer ?

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire