lundi 4 août 2014
Chapitre 549 - Le défi d'Y.
Comme une berceuse qui ne cesse jamais de se répétée mainte et mainte fois , je t'entend encore me susurrer ses mots si doux au creux de mon oreille. Mais c'est bien de toi que je rêve la nuit , me levant comme une hystérique . En sueur , avec la frayeur de t'avoir perdue ! Quelle sotte ! Bien sûr que je t'ai perdue pourquoi j'imagine encore quelque chose qui n'est plus . Moi qui t'appartenait j'étais la fille la plus heureuse qui soit. Toi loin de moi, j'ai vécu la déchéance d'un monde que je ne voulais plus. J'ai de quoi m'exprimée ici , sur un tabloïd informatique dont l'auteur m'a proposé de laissé mon empreinte. Je n'ai pas réfléchis plus d'une fois. Je voulais savoir de quoi était fait son " Loveless " . Bouleversant en lecture , je m'y étais perdue , sans me retrouvée et à l'intersection d'un de ses chapitres je suis tombée nez à nez avec mon âme ! Je ne vous raconte pas la galère de s'accepter , se comprendre , s'aimer quand on a toujours vécu avec l'illusion de connaître.
Le réflexe de ce chapitre décupla mon amour du manque , de la sensation , du sentiment , mais j'avoue ne pas comprendre peut-il être tombé amoureux de la possibilité même d'aimer. Il avait , et je pèse mes mots osé aimé l'amour (il m'en donne encore des frissons.) c'était fou comme une idée , je ne sais pas ce que vous comprenez de ça mais moi , c'est un fou. Et pourtant , tout a un sens c'est ça le plus dingue , autant mon manque , que la création de ce chapitre qu'il m'a offerte. Il va le lié , il va tout lié. Il vous prouvera ce qu'il m'a fait. Son grand but ; de vous faire sentir proche sans vous connaître. Voilà ce qu'il a fait , je me sentis proche de lui tout d'abord puis en réalité j'ai compris que j'étais proche du personnage qu'il avait inventé. Mais je ne suis pas seule. Je suis comprise. Si vous saviez le sourire qu'il m'a discerné , j'étais heureuse de ne pas me retrouvée pitoyable comme j'étais à demander de l'aide dans mon lit seule , roulée en boule.
Loveless c'est ce que nous nous accordons à être sans le vouloir ou un truc du genre , c'est ce qu'il en dit. Mais je trouve ça bien trop spécial à mon goût cette idée que le nom , le lieu de résidence , les actions des personnes ne définissent pas qui elles sont tant qu'elles ne l'ont pas pensés. Quoi qu'il en soit je respect cela , puisqu'en réalité c'est de ça que j'ai été atteinte. Mais je m'écarte de ce qu'il m'a permis d'écrire , je voulais faire cette parenthèse.
Au final j'étais seule , et pourtant dans l'ensemble , cela me plaisait , mon amour qui se consumé en moi , était miens , ce sentiment , cette douleur et ce plaisir rarement doux et toujours dans la violence , j'étais partagée , je ne pouvais me retrouvé dans l'enfer de la chaleur sans me faire avoir par la froideur du silence. Aujourd'hui je vis recluse de tout sentiment de peur d'aimer honte à moi de parvenir ce message ici, dans l'antre qui prône la puissance des sentiments .
Bref bref, Y. laisse sa place à deux personnes pour écrire; je vous le propose à votre tour , qui voudrait écrire ici , mais attention comme il le dit " Avez-vous seulement quelque chose qui vaille la peine d'être dit ou ressenti auprès des autres ? " Mais je trouvais mon entrée beaucoup plus intéressante. A vous de faire un choix. Y. l'a déjà fais.
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