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" Tu dis toujours les bonnes choses au bon moment. T'as le timing parfait. T'es monstrueusement flippant d'efficacité. "
" Tu dis toujours les bonnes choses au bon moment. T'as le timing parfait. T'es monstrueusement flippant d'efficacité. "
" Comme si me flattait allez suffire pour que je puisse t'apprécié. "
" Comment je suis censé faire pour que tu puisses bien m'aimer. "
" Rien. Soit j'apprécie ta présence dès le début. Soit je ne l'ai jamais apprécié. "
" Comment je peux savoir si tu l'apprécies. "
" C'est pas à moi de savoir , on parle de toi pour moi , pas de moi pour toi. "
" Et toi pour moi ? "
" Je ne sais pas et je ne tiens pas à le savoir. Ca ne m'intéresse pas. Je n'ai aucun intérêt à juger cette connaissance. "
" En gros c'est moi je me tais et toi tu dis ce que tu veux. "
" La différence , c'est que ce que je te dis a une incidence pour toi. Moi, tu aurais beau me dire tout ce que tu veux bien me dévoilé. Ca ne changerai rien à la vie que je mène. Parce que tu veux bien me donner de la valeur. Mais la valeur que l'on donne n'est pas celle que l'on a. Donc tu peux t'imaginer ce que tu veux sur moi. Tant que tu fais ça , une seule de mes phrases fait trembler la totalité de tes mots. "
" C'est un jeu ! Tu trouves ça drôle. J'en ai marre. "
" Il n'y a que les enfants qui parlent de jeu. "
" Tu appelles ça comment toi. "
" Nous on appelle ça une prison sentimentale. On imagine des choses. On croit des choses. On se fit à ses impressions , à ses sentiments en espérant que ça va marcher. Les événements nous font marcher dans le noir total. Mais à chaque pas que nous faisons nous fait une étincelle de lumière , qui peut être interprétée comme un soleil pour savoir où l'on s'avance. Nous avançons les yeux dans le noir , et les pas nous éclair , nous n'avons que quelques secondes pour voir ce que nous pouvons , voulons , rêvons de voir. La prison sentimentale , marche de la même façon . Sauf sur une chose. C'est que la personne qui avance se bande les yeux. Et à ce moment , elle peut marcher autant de fois qu'elle veut , elle peut faire autant de pas qu'elle le désire. Elle ne verra rien. Parce qu'elle se fit à ce qu'elle ressent et pas à ce qui est. Le chemin est de l'extérieur vers l'intérieur. Pas de l'intérieur vers l'extérieur. On appelle ça une prison , parce que nos sentiments nous enferment dans ce que nous croyons être mais qui n'est pas. Nous sommes capable de bâtir un empire qui repose sur un grain de sable. Mais aussitôt le grain de sable , détruit . Il n'existe plus rien. "
" C'est trop compliqué ce que tu dis. "
" Pour faire plus clair. Tu dis ce que tu as envie de dire sans le penser , sans le croire , sans savoir. Tu parles pour ne rien dire en croyant que les échos de tes paroles résonneront quelques parts en espérant qu'ils aient un effet sur le cours des évènements. Mais tu juges sans connaitre. Tu parles sans savoir. Et tu tentes d'agir sans apprendre. Tu as voulu me catalogué. Me rentrer dans une de tes nombreuses boîtes que tu utilises pour trier les gens qui traversent ta vie. Mais je ne rentrai dans aucune d'entre-elle. Alors tout ce que tu as , c'est des réponses; et des choses qui peuvent se dire. Mais ce que l'on dit ne défini pas ce qui est. Et la vérité des autres n'est peut être que le mensonge de toute une réalité. "
" C'est encore trop difficile. "
" T'es à l'ouest, tu crois savoir des choses de moi , sans que je ne t'ai rien dis , tu en tires des conclusions et tu crois que c'est vrai. "
" T'es en train de me dire que c'est faux ce qu'on raconte ? "
" Non. Je dis simplement que tu es encore plus manipulable que ce que ton idiotie veut bien laisser croire. "
" Je t'interdit de dire ça. "
" Tu ne m'interdit de rien , et ce n'est pas moi qui le dit. Mais la réalité. Tu dis tout ça parce que tu t'es laissé à la pensée des autres. Tu n'as pas pensée une seule chose seule. Mais ce n'est pas parce que mille personnes pensent quelque chose que c'est vrai. La terre n'était pas plate , pourtant tout le monde l'a cru. Mais est-ce que la réalité est influencé par des pensées ? Bien sûr que non. T'es assez faible pour croire ce qui t'arrives à la figure pour peu que ça aille dans ton sens. Parce que ça te rassure. Ca te rassure de pouvoir te raccrocher à quelque chose. Et tant pis si c'est faux , tant pis si tu mens , tant pis si tu fais mal aux autres. Tant pis de tout ça. Mais tu exiges des excuses quand les autres font ce que tu fais . Mais qui va t'excuser toi ? Hein. A qui tu vas demander des excuses de réagir comme ça ? T'es juste une chose d'un mètre soixante quinze remplie de peur. Tu n'es ni humaine , ni vivante , tu es une coquille vide , que la peur à bien accepter d’élire en domicile pour te remplir. Tu es une prison sentimentale rempli d'émotion qu'elle n'a jamais voulu contrôlé. "
" Je ne fais de mal à personne comparé à toi. "
" Ce n'est pas parce que tu crois que tu ne fais de mal à personne que c'est exactement le cas. La différence c'est que je suis conscient de la douleur. Toi , non. C'est égoïste , tu fais semblant d'aimer et d'attacher les gens à ta vie. Tant qu'ils vont dans ton sens , tant qu'ils peuvent te rassurer. Aussitôt une personne qui ne rentre dans aucun de tes critères apparaît et tu la juge. Mais ce n'est pas parce que tu ne connais pas qu'il faut tirer des conclusions attives. "
" Tu me juges sans me connaître. "
" Je n'ai pas besoin de connaître pour savoir à quoi ressemble ce que tu es. Il y en a partout des personnes comme toi. Tu fais parti de ceux qui polluent l'humanité dans ses pensées et dans son intégrité . Dans ses choix , dans ses conséquences et dans ses actes. Tu es la pièce inutile qui pense briller au milieu du mobilier sans pour autant servir à quoi que ce soit. Il ne tient qu'à toi de changer tout ça. De décider de te prendre en main , au lieu de laisser les autres décider de ce que tu es. Mais ne t'imagine rien. Après autant d'expositions à autant de manipulation , de mensonge , d'espoir , tu laisseras des traces dans ce que tu seras. A tel point que tu ne seras jamais totalement toi , parce qu'il y aura un peu d'eux en toi. Ne croit pas que tu feras parti des manipulateurs. Tu es manipulé depuis toujours et pour toujours. Condamne moi à juger sans connaître , je te condamne à vivre sans respirer. L'air que tu aspires n'est pas le tient. Les choses que tu imagines ne viennent même pas de ton imagination. Tu insultes tout ton être, tout ton corps. Tu salies toutes les capacités perfectibles que tu as. Parce que tu t'es laissé faire trop longtemps par les autres. Par leurs paroles , leurs envies , leurs besoins , leurs pensées. Tu ne penses même pas comme eux. Tu es la pensée de ce qu'ils ont. Tu es le reflet pathétique d'une vie misérable noyée dans l'envie et la paresse. Present pour la récompense. Absent pour les efforts. Voilà comment est ta présence. Tu es opportun . Je l'ai senti dès le début. Cette odeur de peur. De lâcheté. Cet étouffant parfum d'échec . "
" C'est horrible ce que tu dis . "
" C'est dégueulasse ce que tu es. "
" Je ne l'ai pas décidé. "
" Exactement tu n'as décidé de rien. Tu as laisser le temps s'en charger en croyant qu'il déciderait pour toi. Comme si quelqu'un allait te prendre par la main toute ta vie. "
" Ça peut arriver "
" Et ça arrivera , mais rend toi bien compte que la seule chose qui nous prend par la main , c'est la mort. Au moment de nous pousser dans le précipice . "
" T'es qu'un connard. "
" Au moins je suis un connard parce que je l'ai décidé , pas parce qu'on l'a décidé à ma place. "
" ... "
" Il y aura ceux qui auront eux la vie qu'ils voulaient , et ceux qui auront vécu dans la vie des autres. "
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La plus dangereuse différence que les gens oublient de faire , c'est qu'avoir besoin de quelqu'un pour être rassurer. Et être avec quelqu'un parce qu'on l'aime . Sont deux choses totalement différente à tel point qu'on se rassure d'aimer , et on aime se rassurer.

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