vendredi 28 février 2014
Chapitre 503 - Le scénario infernal
Le problème c'est que de temps en temps , les pulsions de mon corps dépassent , les règles établies de mon âme. Et généralement ça vire au drame pour moi. Je prend la peine de la raconter car c'est une histoire parmi tant d'autre. A une exception près.. elle me concerne plus profondément. Parce que cette fois , j'en suis le personnage principale.
La vie est un problème dont je me suis juré d'y trouver la solution adaptée.
jeudi 27 février 2014
Chapitre 502 - Quand j'entend le mot " echec " ou " erreur " , j'ai toute ma haine qui ressort. C'est comme ça qu'un jour , j'ai compris que j'avais la haine de vaincre. Une haine qui encaisse. A ce moment , je savais que si je décidais dès à présent à recevoir toutes les formes de souffrances. J'allais devenir quelqu'un de fort. Quand ? Je ne savais pas. Mais le chemin me paraissait très beau.
Ce qu'il y a de bien avec les bad boy , c'est qu'ils n'ont besoin de personne pour se détruire. Le mal , lé véritable mal ne vient jamais de dehors , mais de l'intérieur. Le vrai "bad" chez le bad boy , c'est le véritable côté mauvais. Pas celui que certains invente , pour se rendre plus désirable sans allez au bout. Je vous parle de celui qui a réellement signer un contrat avec le diable et qui en garde la trace de la brûlure sur le corps. Ce n'est pas un petit joueur. Il ne suit pas les règles. Il est la règle et l'invente , la change tout les jours. Le véritable bad boy est indestructible parce qu'il se détruit lui tout seul quand il le désire pour empêcher les choses ou les êtres de l'atteindre. Un bad boy , ce n'est pas un "mauvais garçon " , ce n'est pas le soit disant mec avec un peu de fierté , froid , et provoquant. Le bad boy ne provoque pas. Il insulte , bouleverse , mais surtout transgresse. Il a le culot là où personne ne l'aurait , le côté je m'en foutiste d'un Gregory House en plus poussé. Un cynisme à en faire trembler la définition. Mais surtout , un "bad boy" c'est un kamikaze avec une dose de nostalgie. Le mauvais garçon , c'est juste parce qu'il décide de faire le mauvais garçon. Le bad boy ; lui , l'est réellement. Mais pas toujours. L'expression "bad boy" est à différencier du "mauvais garçon " , le mauvais garçon cherche à plaire pour briser les coeurs. Le bad boy est autodestructeur , voilà pourquoi il vend son coeur au diable et pas son âme.. Haha , il y a tellement de chose qui ne sont qu'une question d'état d'esprit , de pensé. Le bad boy est une épave qui n'a pas besoin d'être sauvé. Une belle gueule , une situation désespéré , pas mal de réflexion , du charme et vous tombez toujours toute dedans.. Vous êtes tellement chiante à souhait. Vous ne recherchez jamais la profondeur. Trop prévisible pour être aimée. Trop ennuyante pour être aimée. J'ai fais de ma solitude , ma meilleure compagne.
" Ouais ouais , je connais la phrase d'Effy , tout le monde la connait , tout le monde la reprend , et tout le monde est assez con pour faire comme elle , au point de finir par être aussi faible. Moi , personne ne me brise le coeur. Personne à part moi , putain ! "
Avec un mec comme moi , à ton réveil , tes déjeuner ne serait jamais ennuyant. Et je te rassure , mes déjeuner ne sont pas à base de bol de chocolat ou de tartines.
lundi 24 février 2014
"-Je ne crois rien , ne pense rien de tout ça. C'est le chaos , le désordre. C'est la souffrance dans ce qu'elle a de plus brutale , la violence , le sadomasochisme dans sa forme la plus vulgaire. C'est une rencontre cataclysmique. Je ne pense pas , je ne veux plus penser. Comme tout les autres. Je ne veux plus me poser des questions que personnes ne se posent. Je veux vivre comme si de rien était. Je veux passer à côté de l'essentiel , même si cela signifie ne pas donner de sens à cette existence que je n'ai pas choisi. Je ne veux plus d'émotion. Plus de sentiment. Plus de nuit à réfléchir. A tenter de comprendre des questions dont je m'interdit les réponses. Je ne veux plus de souvenir. Ni de rêve. Je n'ai plus peur. Plus maintenant. Je suis triste. Triste de tout ça. Tout ça .. C'est sans profondeur , sans sérieux , sans maturité , sans rien de quoi que ce soit qui apaise l'âme. C'est le corps toujours le corps. J'ai perdu la beauté des choses. Je ne veux plus parler , plus penser , je ne veux pas donner mon avis. Je ne veux plus souffrir , inutilement. Je n'ai rien à apprendre de ça. Je veux vivre insouciant , comme ces dizaines de milliers de gens. Je ne veux plus donner de l'importance à ce qui en mérite. Je ne veux plus rien. Et pour ça , j'ai tué mon humanité , j'ai trahi l'enfant qui était en moi. Je détruis les gens en leurs laissant une chance de se rencontrer avec eux-même afin de commencer quelque chose de vrai. Je suis incapable de me détruire. Je suis une épave à la dérive d'une mer qui ne veut pas me noyer mais qui veut me couler. Je n'ai rien de pessimiste. La vie est belle. Trop belle, mais parfois si cruelle. "
"-Je ne sais pas qui tu es.. Mais la personne qui t'as rendu comme ça , est un monstre.. "
"-Je ne sais pas qui tu es.. Mais la personne qui t'as rendu comme ça , est un monstre.. "
samedi 22 février 2014
Chapitre 501 - L'adrénaline est ma drogue, la vitesse mon cercueil.
Il y a voilà , un an de ça , exactement à cette date. Je devais être sur le siège passager dans une Mercedes SLS AMG , j'étais totalement heureux d'être dans une voiture de cette envergure , comme un enfant qui découvre ses cadeaux , et qui se rend compte qu'il a le droit à la nouvelle supernintendo64 . Il est parti de l"A1 , pas très bavard , il a mit de la musique , on rentre sur l'autoroute .. Et il me demande si j'aime la vitesse.. Je souri , et je lui donne ma réponse..
Nous sommes en troisième files , il souri à son tour , rétrograde en seconde , remonte a plus de 6 000tr/min , je m'enfonce dans le siège comme pousser , aspirer , il accélère et monte , l'aiguille monte monte , prête à péter , il enclenche la troisième , il dépasse une camionnette sur notre droite en prenant la deuxième file , le moteur allemand sort de son silence . Je frisonne de plaisir , le son lourd et puissant de son V6 , il a ses mains a 9h15 et pas à 10h10.. Il roule comme un pilote. L'aiguille affiche à présent 120 , mais je vois dans sa manière que ce n'est pas assez . Je prend du plaisir , trop de plaisir. Il passe les vitesses à plus de 6000tr/min à ce rythme non.. Impossible..
Il slalome , évite de justesse un motard , passe entre deux camions , double sur la droite , et rien ne s'arrête , la vitesse , tout devient plus flou . Le moteur lui est toujours aussi présent , j'étouffe presque dans le siège baqué sport .. L'Allemande n'a même pas montré la moitié de sa puissance.. Voiture qui freine devant nous , rétrograde , je suis tiré vers l'avant comme dans les montagnes Russes , j'ai l'impression que je vais sortir de mon corps .. " Apprend à bien te tenir " .. Il me disait ça comme si j'avais l'habitude d'être dans des voitures qui développe plus de 300ch.. Je me faisais baladé , à chaque virage , dépassement , mon corps contre le siège , contre la porte.. J'en tremblais. Il dépasse encore sur la droite , un poids lourds klaxonne , il accélère encore plus.
Devant nous , la ligne droite , plus aucune voiture ou alors si , mais trop loin pour être un danger , il fait sombre , il roule cette fois-ci calmement , je ne savais pas pourquoi il était aller aussi vite et je m'en foutais. J'en voulais encore. Encore. Il me dit " Encore " , je me vois lui répondre " encore " .. Il accélère , la voiture est si puissante que j'en ai le souffle coupé sur le champ. Je me fais littéralement jeter contre le siège ; à tel point que je vais rejoindre la banquette arrière . Lui , dans une calme olympique enchaîne les rapports avec la palettes de vitesse comme si tout n'était que naturel. Le flou , ce flou , les traits blanc devenaient des lignes blanches. J'allais implosé ; mon coeur était lourd.
Je commençais à avoir peur , trop de vitesse , trop d'information impossible à traiter aussi rapidement , le risque était trop élevé , mon plaisir laissé place à une terreur. Une terreur qui me faisait réellement peur , et qui allait me faire jouir.. C'était ça le frisson de la vitesse ? Celui qui doit dépassé la mort ? Je n'en sais rien. Arriver à une telle vitesse on en oublie presque tout , et la route nous avale . J'avais l'impression de faire parti du véhicule ..
270km/h.. L'aiguille ne bougeait plus.. Moi j'étais sous le choc d'une puissance trop élevée pour moi.. J'étais heureux , heureux d'avoir vécu un moment qu'encore un an plus tard je n'arrive toujours pas à décrire .. Et vous voulez tout savoir ? A 270km/h , j'étais fier , j'avais enfin frôlé la vie.
Nous sommes en troisième files , il souri à son tour , rétrograde en seconde , remonte a plus de 6 000tr/min , je m'enfonce dans le siège comme pousser , aspirer , il accélère et monte , l'aiguille monte monte , prête à péter , il enclenche la troisième , il dépasse une camionnette sur notre droite en prenant la deuxième file , le moteur allemand sort de son silence . Je frisonne de plaisir , le son lourd et puissant de son V6 , il a ses mains a 9h15 et pas à 10h10.. Il roule comme un pilote. L'aiguille affiche à présent 120 , mais je vois dans sa manière que ce n'est pas assez . Je prend du plaisir , trop de plaisir. Il passe les vitesses à plus de 6000tr/min à ce rythme non.. Impossible..
Il slalome , évite de justesse un motard , passe entre deux camions , double sur la droite , et rien ne s'arrête , la vitesse , tout devient plus flou . Le moteur lui est toujours aussi présent , j'étouffe presque dans le siège baqué sport .. L'Allemande n'a même pas montré la moitié de sa puissance.. Voiture qui freine devant nous , rétrograde , je suis tiré vers l'avant comme dans les montagnes Russes , j'ai l'impression que je vais sortir de mon corps .. " Apprend à bien te tenir " .. Il me disait ça comme si j'avais l'habitude d'être dans des voitures qui développe plus de 300ch.. Je me faisais baladé , à chaque virage , dépassement , mon corps contre le siège , contre la porte.. J'en tremblais. Il dépasse encore sur la droite , un poids lourds klaxonne , il accélère encore plus.
Devant nous , la ligne droite , plus aucune voiture ou alors si , mais trop loin pour être un danger , il fait sombre , il roule cette fois-ci calmement , je ne savais pas pourquoi il était aller aussi vite et je m'en foutais. J'en voulais encore. Encore. Il me dit " Encore " , je me vois lui répondre " encore " .. Il accélère , la voiture est si puissante que j'en ai le souffle coupé sur le champ. Je me fais littéralement jeter contre le siège ; à tel point que je vais rejoindre la banquette arrière . Lui , dans une calme olympique enchaîne les rapports avec la palettes de vitesse comme si tout n'était que naturel. Le flou , ce flou , les traits blanc devenaient des lignes blanches. J'allais implosé ; mon coeur était lourd.
Je commençais à avoir peur , trop de vitesse , trop d'information impossible à traiter aussi rapidement , le risque était trop élevé , mon plaisir laissé place à une terreur. Une terreur qui me faisait réellement peur , et qui allait me faire jouir.. C'était ça le frisson de la vitesse ? Celui qui doit dépassé la mort ? Je n'en sais rien. Arriver à une telle vitesse on en oublie presque tout , et la route nous avale . J'avais l'impression de faire parti du véhicule ..
270km/h.. L'aiguille ne bougeait plus.. Moi j'étais sous le choc d'une puissance trop élevée pour moi.. J'étais heureux , heureux d'avoir vécu un moment qu'encore un an plus tard je n'arrive toujours pas à décrire .. Et vous voulez tout savoir ? A 270km/h , j'étais fier , j'avais enfin frôlé la vie.
mardi 18 février 2014
Chapitre 500 - L'hymne à la vérité, le long chemin sans fin - [Spécial] - Ma première inconnue
Apprenez à différencier. Vous êtes important mais peut être pas nécessaire. Vous êtes gentil mais peut être mauvais. Vous êtes inoubliable mais surement remplaçable. Le bonheur est quelque chose de machinalement crée par ceux qui espérait trop sans savoir pourquoi. L'indépendance est la réelle joie. Nous avons tous besoin de quelqu'un. Et ce quelqu'un doit être vous-même. Ne soyez pas stupide et commencez à sacrifier les autres. Avant que eux, ne le fassent. C'est une question de temps. Ce n'est qu'une putain de question de temps. C'est toujours une question de temps. Triste , heureux , souriant , haineux , malheureux , peureux. Quoi que vous soyez , n'oubliez jamais , qu'on oublie toujours. Peu importe si ça se compte en jours , semaine , mois , année , on accepte , on oublie , on passe à autre chose , on accepte , on oublie , on accepte. Que celui qui ose dire qu'il ne croit pas en cette boucle en soi le plus bel exemple. L'amitié n'existe pas , le bonheur est un mensonge , la douleur n'est qu'illusoire , l'amour quand à lui , l'amour reste ce symbole surpuissant qui nous détruit généralement tous pour la plupart. Parce que , quand on ne sait pas gérer quelque chose mais qu'on se persuade du contraire , c'est toujours un sublime chaos. Mais la vie elle , de tout ça , elle est vraie. Brute. Dangereuse. Mais vivante. Que celui qui vit soit gracié à jamais du paradis , et exilé pour l'éternité de l'enfer. Aux âmes qui n'ont pas attendu d'ailes pour pouvoir s'envoler. A ces personnes qui n'attendent pas le lever du soleil pour entreprendre de nouvelles choses , à ceux qui repoussent les limites établi , et font trembler les fondements de l'humanités dans laquelle elle étouffe : bravo. Vous engagez la possibilité que la vie , ne soit que le seul rêve qui nous attendent pour commencer à ce réaliser.
-Qu'est-ce qui te ferait peur entre un monde où tout irait mal et où certaines personnes de bien très rarement interviendraient pour prouver que quelquefois il y a du bon en chacun de nous, et éclairaient l'humanité dans ces heures les plus sombres , et un monde où tout serait parfait et où il y aurait souvent des personnes mal intentionnées qui feraient le mal autour d'elles ? Lequel des deux mondes te fait le plus peur ? Et finalement dans quel monde pense tu que l'on vit ?-
-Si on retirait le droit à l'humanité de choisir. Voilà ce qui me ferait peur. L'empêcher d'être ce qu'elle a décidé d'être. Ni bien , ni mal . Ni peine , ni joie. Ni haine , ni amour. Juste elle. Dans ce qu'elle est , et dans ce qu'elle veut offrir. Ne pas limiter , ne pas enfermer , ne pas empêcher , ne pas retenir. L'humanité est comme ce monde. Il n'est pas beau , il n'est pas horrible. Il est. Tout simplement. Il est ce qu'il doit être. Il incarne , protège , idéalise , perfectionne , à chaque instant , à chaque choix. Le monde c'est nous. En plus grand. Alors voilà. Je pense que l'on vit de la façon dont on l'a choisi. Et retirer un choix, même le plus infime , ne prouverait qu'une chose , que nous ne sommes plus humain. Nous sommes tout ce que nous pouvons être. Dans notre manière de pensée , de respirer , d'agir. Tout , et je dirai même les choses les plus insignifiantes sont ce que nous sommes. Nous vivons de nos actes. Et agissons de nos comportements. Dans quel monde voudrait-tu que je vive à part dans celui auquel j'appartiens ?-
Elle s'est mise à pleurer , pleurer , comme une torrent , puis une rivière , et enfin un océan. J'avais sans le vouloir exterminé sont dernier doute , sa plus grande peur. Elle avait cédé à ce que j'avais dis. J'avais dis mon avis , ce que je pensais et ce que je croyais. Elle ne pouvait plus s'arrêter , elle gémissait. Ses larmes ne s'arrêtaient plus. Une cascade sans fin. Toute la pression , la peur. Elle me serrait fort , très fort.. Trop fort , j'avais ses ongles plantés dans mes bras , et je commençais à saigner. Mais je n'ai rien dit. Elle me faisait réalisé que j'étais la personne , qui sans le vouloir , l'avait sauvé pour le reste de sa vie. Une existence qui ne sera plus jamais hanté par ce genre de question qui vous traverse le dos et vous gèle. Elle pleurait. De joie. Des larmes chaudes , et toute cette émotion qui s'en dégageait , elle me collait , toute sa joie , sa tristesse , son épanouissement , tout , tout mon corps s'en imprégnait , j'étais exposé , beaucoup trop exposé à son humanité et mon coeur , mon corps tout entier l'absorbé. J'avais l'impression de sentir son sang chaud coulé dans ses veines , je sentais toute la vie émanait d'elle , de ces gémissements. Ses larmes me brûlait d'une sincérité comme je n'en avais jamais vu auparavant. Elle s'étouffait dans mon manteau , et mon polo en étant humide de ses larmes , mais pas moyen , elle ne me lachait plus. Comme la petite fille à son père heureuse de le revoir , ou comme la tendre et belle amoureuse qui ne voulait plus jamais lâché celui qu'elle aimait , peu importe à qui je pouvais bien ressembler , elle était heureuse. Elle n'allait plus se cacher pour fuir ses peurs. Elle n'en avait plus..
Elle a fini par s'en remettre , m'a simplement remercier , un merci qui venait des actes , et dont j'ai pu entendre le " tu m'as sauvée " , comme jamais plus je n'ai entendu cette phrase , ce genre de phrase que j'ai bannis de mon vocabulaire et de mon audition. Ce genre de phrase qui m'affaiblirai dans l'instant tant sa profondeur aurait planté mon coeur. Le ton , le son , la voix , je m'en rappelle encore comme ci , c'était un merci d'aujourd'hui. Quelque chose de trop poignant pour être compris ou expliquer.. " On est tous la prison de quelqu'un ou de quelque chose " m'avait-elle dit.
Elle s'est mise à pleurer , pleurer , comme une torrent , puis une rivière , et enfin un océan. J'avais sans le vouloir exterminé sont dernier doute , sa plus grande peur. Elle avait cédé à ce que j'avais dis. J'avais dis mon avis , ce que je pensais et ce que je croyais. Elle ne pouvait plus s'arrêter , elle gémissait. Ses larmes ne s'arrêtaient plus. Une cascade sans fin. Toute la pression , la peur. Elle me serrait fort , très fort.. Trop fort , j'avais ses ongles plantés dans mes bras , et je commençais à saigner. Mais je n'ai rien dit. Elle me faisait réalisé que j'étais la personne , qui sans le vouloir , l'avait sauvé pour le reste de sa vie. Une existence qui ne sera plus jamais hanté par ce genre de question qui vous traverse le dos et vous gèle. Elle pleurait. De joie. Des larmes chaudes , et toute cette émotion qui s'en dégageait , elle me collait , toute sa joie , sa tristesse , son épanouissement , tout , tout mon corps s'en imprégnait , j'étais exposé , beaucoup trop exposé à son humanité et mon coeur , mon corps tout entier l'absorbé. J'avais l'impression de sentir son sang chaud coulé dans ses veines , je sentais toute la vie émanait d'elle , de ces gémissements. Ses larmes me brûlait d'une sincérité comme je n'en avais jamais vu auparavant. Elle s'étouffait dans mon manteau , et mon polo en étant humide de ses larmes , mais pas moyen , elle ne me lachait plus. Comme la petite fille à son père heureuse de le revoir , ou comme la tendre et belle amoureuse qui ne voulait plus jamais lâché celui qu'elle aimait , peu importe à qui je pouvais bien ressembler , elle était heureuse. Elle n'allait plus se cacher pour fuir ses peurs. Elle n'en avait plus..
Elle a fini par s'en remettre , m'a simplement remercier , un merci qui venait des actes , et dont j'ai pu entendre le " tu m'as sauvée " , comme jamais plus je n'ai entendu cette phrase , ce genre de phrase que j'ai bannis de mon vocabulaire et de mon audition. Ce genre de phrase qui m'affaiblirai dans l'instant tant sa profondeur aurait planté mon coeur. Le ton , le son , la voix , je m'en rappelle encore comme ci , c'était un merci d'aujourd'hui. Quelque chose de trop poignant pour être compris ou expliquer.. " On est tous la prison de quelqu'un ou de quelque chose " m'avait-elle dit.
Sur l'échelle du bonheur , si toutefois il en existe réellement un , celui ci est à 9.75 , autant dire le deuxième de mon classement . Prétentieusement j'aurai pu le désigner comme la première personne que j'ai sauvé. Mais je ne l'ai pas voulu. Par contre j'ai compris pour la première fois que les mots pouvaient changer bien plus que des choses. Quoi qu'il en soit , j'avais quatorze ans , et de cette histoire de prison , d'enfermement , j'ai décidé à l'aube de mes quinze ans , que les émotions étaient mes ennemis.. Et que finalement ; mon unique prison serait : le piano.
mercredi 12 février 2014
Chapitre 499 - La vérité sur ce que nous sommes.
-Je suis ce que je ne suis pas avec les autres. J'ai envie d'être ce qu'ils ont envie de rencontrer, pour au final les décevoir. Peut être parce que simplement je suis incapable d'être moi-même, avec moi. Je fais en sorte de rentrer dans tout les critères pour quelquefois plaire aux gens.-
-Pour plaire aux autres. Toi tu veux plaire aux autres ? Impossible.-
-Non absolument pas , mais en faisant ce genre de chose , inconsciente ou non , j'ai découvert une vérité universelle avec toutes les personnes que j'ai pus connaître , rencontrer. Alors peut être qu'au final je veux plaire. A qui ? Je ne le sais toujours pas. Mais je suis convaincu que je ne suis la seule personne à qui je dois plaire.-
-Une vérité ? Mais de quoi tu parles ?-
-Une vérité encore plus grande que le fait de n'avoir confiance en personne, une vérité qui m'a fait pouffer de rire.-
-Une vérité encore plus grande que le fait de n'avoir confiance en personne, une vérité qui m'a fait pouffer de rire.-
-Tu as toujours était du genre à rire sur des choses très sérieuses , simplement parce que tu trouvais ça si logique et normal que tu passais au-dessus. Toujours l'essentiel n'est-ce pas ?-
-Je donne de l'importance à tout. L'essentiel ne m'échappe pas.-
-Mais tu perds ton temps-
-Mais tu perds ton temps-
-Haha, parce qu'il est possible d'en gagner ?-
-Ta rhétorique est incroyable , pourtant tu dis toujours des conneries.-
-Parce que tout le monde , ne mérite pas que je l'utilise. Je préfère rester l'image du con joyeux. Les gens sont trop faible pour s'occuper des problèmes des autres.-
-Et tu en as toi?-
-Et tu en as toi?-
-Non. Que des solutions.-
-Et cette vérité alors ?-
-Retient là toute ta vie , une règle d'or , comme les cinq dernières. Plus importante que la confiance. Quoi que disent les gens , quoi que pensent les gens , peu importe ce qu'ils veulent avoir : ce n'est jamais réellement ce qu'ils cherchent-
mardi 11 février 2014
Chapitre 498 - Les bonnes journées commencent par des rêves éveillés .
La solitude n'est pas mauvaise , c'est ce qu'elle fait subir qui terrorisent . La peur est le plus grand obstacle du progrès. On cherche la progression. Pas la perfection. Ce qui est drôle , c'est qu'en sortant de la solitude , on apprécie moins les gens. Si la solitude pouvait être une personne , elle serait se genre de personne qui ne parle jamais , mais qui une fois la bouche ouverte , disent une vérité violente. Jamais rien de toute ma vie , n'a été plus honnête que ma solitude. Tandis que certains la fuit , moi je l'accepte , et j'ai appris grâce à ça une grande leçon de vie. Accepter. Accepter beaucoup de chose. J'accepte certains événements , mais là où certains pensent qu'accepter c'est se résoudre , je le dis : j'accepte , mais je ne cautionne pas. A tel point que pendant qu'un grand nombre ne cesse de fuir , moi je ne cesse de chercher. J'ai trouvé dans la solitude la seule personne que je ne voyais pas dans la foule : moi. Quand on renforce le mur de l'intérieur , ce n'est plus juste simplement de la pierre. J'ai aussi cette satisfaction d'optimiste à la con qui ne m'a jamais lâché .. Demain est toujours plus beau qu'aujourd'hui , toujours. Seulement , la beauté n'est pas accessible à tous , à tout moment.
-Vous voilà ici pour une semaine , vous rangerez les dossiers , ici dans cette caisse , tout en les mettant par ordre alphabétique , ou chronologique , je préfère la chronologie. Je ne déjeune pas le midi , je laisse ça aux branleurs qui ont le temps . Je n'ai pas le temps moi pour ça. Ma réussite n'attend pas. Et je suis sûr que si vous aviez le temps vous en feriez de même. Pas de familiarité entre nous , faite votre travail , et je ferai le miens. J'ai accepté de vous avoir, pour vous montrer deux trois trucs , j'en donne une à votre père. Mais on ne sera pas bon ami. Je déteste l'amitié , c'est un truc bon pour ceux qui ont besoin de mensonge et de trahison.
- L'amitié ? Comme si je prenais plaisir à cette saloperie d'hypocrisie.
-Au moins un jeune homme qui a la tête sur les épaules. Quel âge tu as ?
- 19 ans , bientôt 20, Monsieur.
- Donne moi trois de tes principes.
- Ne jamais abandonnez. Ne rien lâcher. Devenir quelqu'un.
Il m'a souri.
- Des bons principes , surtout le dernier. Quel genre de personne tu veux devenir ?
- Le genre de personne qui n'aura plus jamais besoin de temps.
- Comment ça ?
- Je ferai en sorte de ne pas avoir besoin de temps , mais que le temps ai besoin de moi.
- Tu voudrais être bien payés ?
- Assez pour pouvoir m'acheter une Aventador les yeux fermés Monsieur.
- Tu sais qui je suis ?
- Un ancien ami à mon père , réputé dans le domaine des affaires internationales , vous gagnez assez pour vous acheter quinze Aventador par an.
Il rigole.
- Pourquoi as-tu voulu faire un stage ici ?
- Je dois voir comment font les meilleurs pour faire parti des meilleurs. On devient meilleur en étant avec les meilleurs. Je veux baver ici , je veux voir ce qu'il est possible que j'obtienne si je saigne toute une partie de ma vie monsieur.
- Et la douleur ne te fait pas peur ?
- Il n'y a rien de mieux qu'un peu de souffrance pour pousser sa haine de réussir monsieur . Sans sacrifice pas de récompense.
Il pose son café au bord de sa table , se relève de sa chaise en cuir , prend le temps de regarder par la fenêtre , en remettant sa cravate bien droite.
- T'es bien son fils. Je reconnais que t'as hérité de sa paire de couille. Pourquoi le droit ?
- J'ai jamais autant aimé baisé les gens qu'avec leurs propres règles monsieur !
Il explosa de rire comme il fut impossible de s'y attendre venant de la part d'un homme comme lui.
- Sache une chose dans tes études , et même ta futur vie d'avocat si jamais tu réussis. Un bon avocat , ne fait pas juste prouver l'innocence de son client. Il lui donne raison. T'as ceux qui empêchent la prison . Et ceux qui en plus de prouver sa non culpabilité demande 50 000 euros de dédommagement. Un bon avocat , fait douter. Un bon avocat , est minutieux , imprévisible , tactique , mais surtout ; c'est un manipulateur capable de faire douter.
Il me tend sa main , avec sa chevalière en or massif , ses clefs d'Aston Martin encore sur la table.
- Je te souhaite la bienvenu chez Metzner Associé , j'espère que tu y apprendras pas mal de chose. Je suis..
- Je le sais, vous êtes maître Emmanuel Marsigny , et vous vous êtes acheter une île le mois dernier. Un honneur de vous connaître.
- Tu sais , quand tu auras fini ton stage , je veux que tu saches , qu'il est très probable que j'aille m'acheter une Lamborghini ..
- Pourquoi ça ?
- Hmm , parce que j'en ai envie , j'en ai envie comme tu aurais envie d'un kébab .
- Putain.. monsieur.
Il inclina la tête
- Vous me faite rêver vous savez ? Mais totalement ?
- Frotte toi bien les yeux parce que c'est la réalité , et si tu saignes assez , je te garanti que tu auras le même siège que moi.
lundi 10 février 2014
Chapitre 497 - Même le diable , peut lui aussi , éprouver de la pitié.
-C'est ça le deal , tu es détesté , personne ne viendra te voir , te parler , savoir le comment du pourquoi , ni quoi que ce soit qui se réfère à toi. Si ils le font , c'est uniquement par pur hypocrisie , pour rassurer leurs mauvaises foi , et se dire qu'ils n'ont rien fait de mal. Histoire de ce donner bonne conscience alors que ce ne sont que des êtres plus déchus que les autres. Le mal. Ce que tu es. Ils ne te veulent pas. Ne t'estiment et ne te respectent pas. Ils ne te donnent ni nouvelles , ni réponses ni même importance. Par contre, quand tout va mal. Quand tout s'effondre que rien ne se passe comme prévu. Ils s'écroulent comme de lourd et pittoresque mur fragile qui font un bruit insoutenable . Et à ce moment là, à ce moment précis où ils savent qu'ils sont faible et qu'ils ont besoin d'aide.. Ils acceptent de te voir , de te parler. Ils veulent que tu les aides. Seulement quand ils vont mal, ils te supplient de les aider , sont prêt à te mentir , à ne pas assumer les conséquences simplement pour que tu les aides. Parce qu'ils savent. Ils savent que sur tout le reste , il n'y a personne d'autre que toi , qui peut les sauver , et réussir à les aider. Sinon , le reste de la semaine , du mois , de l'année , de toute leur existence , tu n'existes pas. Ou si , simplement pour flatter un opinion qui n'existe pas de toi. Alors oui, finalement tu as raison. On est toujours tout seul. Mais pas pour les mêmes raisons que tu crois. Les gens se croient assez fort pour réussir sans aide , et trop faible pour assurer la solitude que cela impose. Que ce soit clair , on nous défini comme les gens de l'ombre , ceux qui travaillent dans le noir et qui oeuvre pour que cela marche bien , sans "merci" , sans honneur , sans gloire , sans récompense. Mais c'est faux. Nous ne sommes pas des gens de l'ombre : Nous sommes l'ombre. Nous sommes la dernière chose que les gens osent voir quand ils désespèrent. Comme la mort. Sauf que l'on leur permet leurs rédemption en sacrifice d'une partie de nous.. Qui disparaît , et qui est la plus importante. Une dernière fois.. Je te laisse une dernière chance de pouvoir faire un retour en arrière.. D'éviter toute cette souffrance inutile et cette recherche impossible de ce que tu es car tu ne seras plus . Est-tu bien sûr de ce que tu veux ? Parce qu'il faut que tu comprennes , que tu n'existeras pas par envie des gens , par besoin , par amour.. Simplement par nécessité..-
-Oui.-
4 ans plus tard , je me demande encore si il y avait une réelle "bonne" réponse à ce genre de question...
dimanche 9 février 2014
J'ai dis que j'me marrais plus ; car quand j'aime on m'arrête plus.
Trois ans plus tard.. C'est toujours la même violence..
jeudi 6 février 2014
FEBUARY PLAYLIST - HOLY MOLLY MOTHER FUCKER , EASY PEASY THAT IT ASSHOLE : N'oubliez pas , n'oubliez jamais que l'avion décolle CONTRE le vent , et pas AVEC le vent. [Henry Ford]
Jaguar , Guépard , peu importe , les deux sont ma préférence.
" Nos jeunes aiment le luxe qu'ils ne conçoivent pas , ont de mauvaises manières , se moquent de l'autorité et n'ont aucun respect pour l'âge. A notre époque , les enfants sont des tyrans. "
[Socrate]
Tim Kneidl - Es War Ein Kalter WinterTag (Original Mix)
Fareoh - Run Away
" Nos jeunes aiment le luxe qu'ils ne conçoivent pas , ont de mauvaises manières , se moquent de l'autorité et n'ont aucun respect pour l'âge. A notre époque , les enfants sont des tyrans. "
[Socrate]
Tim Kneidl - Es War Ein Kalter WinterTag (Original Mix)
Fareoh - Run Away
Robin Schulz - Willst Du
Reeves Raymond feat. AlexStaltari & Diana - Brighter Lights (Culture Code Remix) [Ma douceur]
Reeves Raymond feat. AlexStaltari & Diana - Brighter Lights (Culture Code Remix) [Ma douceur]

L'Aventador, celle qui compte et bordel qu'elle compte : La Forza de Italia.
" Dans la vengeance comme dans l'amour , la femme est plus barbare que l'homme. "
[Friedrich Nietzsche]
Masuka - Whatadime (haha)
AD ASTRA PER ASPERA
" Le désir nous met aux pieds des femmes , mais à son tour , le plaisir nous les soumets "
[Pierre Augustin Caron De Beaumarchais]
" Le bonheur ne se trouve pas au sommet de la montagne, mais dans la façon de la gravir. "
[Confucius]
Sailor & I - Tough Love ( Moritz Guhling Remix)
[Confucius]
Sailor & I - Tough Love ( Moritz Guhling Remix)

" In god we trust ? What a fuck ?! In bitch , money , drugs , cars : I Trust "
" Il suffit de garder le silence devant une colère féminine pour qu'elle devienne aussitôt ridicule. "
[Etienne Ray]
John Legend - All Of Me (De Hofnar Bootleg)
50 Cent - 21 Questions feat. Nate Dogg (Yinyues Remix)
Milky Chance - Stolen dance (DIMMI Club Edit)
mercredi 5 février 2014
Chapitre 496 - On ne dit pas non à la vie , c'est interdit.
- Pardon. Mais non. Devenir grand , mature , réfléchis n'est pas un objectif qui m'attire. Encore moins celui de réussir. C'est le succès qui m'attire. Et là est la différence entre aimer la victoire et aimer le succès. Je ne demande pas à être riche , ni même arrogant. Je prouverai simplement que le bonheur s'achète. Je vous prouverai son prix. J'apprendrais le sacrifice , la douceur , la douleur de l'amour à ce qui m'est cher. J'appartiendrai au monde réel et pas à celui dans lequel je veux vivre. J'en sors. J'en sortirai toujours. Mon monde est partout. Il est vous. Il est nous. Il est tout. Sans exception. Sans différence. Autant dans le malheurs que dans le bonheur , il faut savoir chérir ce qui nous est cher. Parce qu'être fort , ne demande pas de l'être quand nous pouvons l'être , mais justement quand nous en sommes incapable. Je prouverai que les gens ne changent pas , mais que le monde si. Qu'une pensée réforme un ordre , un désir. Je prouverai que les rêves sont fait d'abord et avant tout de réalité. Je rêve chaque jour d'une nouvelle vie que je pourrai avoir , tout en , en ayant déjà une. J'ai la vie du public , la vie du privé , et la vie dont je rêve qui chaque jour se métamorphose , je n'ai jamais le temps de rester moi-même . Je cherche celui qui demain sera un meilleur moi. Et quelquefois il faut se salir les mains. Malheureusement pour moi. Je ne suis pas quelqu'un qui sauve. Je broie . Comme une machine à convié. Sauf que longtemps après , j'ai décidé de ne plus broyer personnes , à part moi. Là est le début de mon sacrifice. La douleur que j'ose infligé aux autres , je me l'inflige à moi-même. Je ne veux pas devenir bon. Je ne veux pas devenir mauvais. Je veux devenir. Là est tout l'enjeu. J'ai confiance en moi. Et encore plus dans les buts que je me suis fixé. Parce que personne ne le fera pour moi. Je suis convaincu que mon existence prendra sens dans les actes qui en découleront. Des années de merde , pour un instant de magie. C'est le deal. Je l'ai accepté , je l'ai reçu plusieurs fois. Depuis j'en suis accro. L'éternité est dans la profondeur , pas dans la durée. J'ai toujours vu dans les gens ce qu'il n'y a jamais eu en moi.. De l'humanité , de l'amour. J'ai aimé. Aimé comme un chien. Comme un dieu. Comme un homme. Je n'ai jamais su aimé correctement. Je n'ai pas de rêve.. Que des objectifs. Et j'espère y laissé la vie sur l'un d'eux.. Après mon passage je ne serai plus rien , poussière , mémoire , souvenir , puis oubli. J'ai promis à la vie quelque chose qui n'est pas possible de refuser. Je compte redonné ses lettres de noblesse à l'honneur , les principes , la loyauté. J'ai trop longtemps remarqué que le succès, le véritable succès , de la passion vivez dans l'ombre. Je ne supporte pas. Qu'on dise réussir , parce qu'une émission nous a fait découvrir. Qu'on soit une star parce que les autres vous l'ont dit. On a pas l'étoffe d'une star parce que les autres sont la pour vous le dire. Mais parce que vous croyez en vous plus que n'importe qui d'autres , parce que vous avez le dos au mur. Et on ne dit pas "non" à la vie. C'est interdit. Que les gens qui gagnent au loto , ne soit envier de personne. Quatre vingt-dix millions d'euros qui vous sont offert sans rien en retour et vous acceptez ? Vous êtes ridicules . Pas même un dixième de cette somme n'est méritée. Si je dois être riche , je le serai parce que j'aurai tout fait pour l'être. Si je suis pauvre , ce sera ma pauvreté. Ma victoire. Ma peine. Ma douleur. Alors oui , oui à la vie. A ce lieu où tout est permis. Et poser vous franchement la question un matin en vous levant ; qu'est-ce qu'un enfer ? Qu'est-ce qu'un paradis ? Qu'est-ce qu'un paradis et enfer fusionnés créeraient ensembles ? .. N'est-ce pas là , le drame ? Je ne veux pas d'un paradis , rien n'est jamais trop beau , ni trop grand , et le seul moment de joie surpuissant , c'est celui d'après la douleur où la victoire s'annonce. L'enfer est aussi ennuyeux qu'un barbecue mal allumé. Souffrir toute une éternité ? Haha. L'éternité est bien trop courte pour s'en inquiété. Je ne veux qu'une chose ; devenir. Ne pas devenir pour vous , pour les autres , pour les gens qui me sont cher.. Je veux devenir. Pour moi... Vous ? Hé bien vous.. Faite ce que vous voulez. Mais sachez une chose : Il n'y a que l'amour que l'on emporte dans notre tombe. -
-312 jours plus tard. La haine de réussir encore vivante.-
-312 jours plus tard. La haine de réussir encore vivante.-
mardi 4 février 2014
Chapitre 495 - Il nous arrive d'être marqué à jamais par un individu. Et s'en rendre compte des années plus tard.
[Le dialogue qui suit , se passe le lendemain d'une soirée où un garçon et une fille se retrouve après un très long moment sans nouvelles. Ils sont dans la cuisine , les autres dorment ou décuvent l'excès d'alcool en trop. Ils sont seul. Il l'engage la discussion. Elle lui répond. Et soudainement , fait remué certaines choses du passé. L'un des deux est encore éméché , mais complètement honnête. Je vous laisse choisir et décidé si ces personnes; cette discussion a réellement eu lieu.]
" Une bref résumé alors .. "
" Hum. Perfectionniste , vite ennuyé , curieux , fatigué , fatiguant , irritant , gênant. Alcoolique sur les bords , égoïste sur la longueur , je déteste finir mes soirées seul. J'aime etre accompagné le soir , la nuit , mais le matin je préfère me réveillé dans mon lit sans personne. Je prie toujours pour qu'elle s'éclipse durant la nuit , c'est parfois rare mais ça arrive et c'est parfait. Salaud à temps plein. Mais cuisinier hors pair. "
" C'est sexy ! "
" Vous trouvez toujours les choses méchantes , sombres et mystérieuses sexy vous.. "
" On est comme ça , on aime le mystère , surtout si on y rajoute une cause perdue. "
" Ah le paradoxe féminin , vouloir sauver le monde entier sans être capable de s'en sortir soi-même."
" Quand on est une épave on ne se permet pas de dire ça. "
" N'oublie pas que dans l'histoire , c'est moi que tu trouves sexy et pas l'inverse. "
" Je ne vois pas le rapport. "
" C'est exactement à cause de ça que tu peux pas tenir la conversation. "
" Comment ça ? "
*Un rire s'ébruite dans la pièce*
" C'est une question de répartie et de rhétorique. "
" Et donc ? "
*Esquisse sur la droite*
" Et donc tu ne peux pas tenir sur ce terrain là. "
" Tu parles beaucoup pour pas grand chose. "
" Je trouve ça pitoyable de vouloir parler d'acte , quand mes mots agissent d'eux-meme . "
" Ca c'est impossible. "
" C'est bien ce que dise les gens qui ne savent pas. "
" Et alors ça change quelque chose ? "
*Second rire*
" Tu te moques de moi ? "
" Non , je rigole simplement parce que c'est.. C'est comme si je te disais qu'entre le blanc et le noir il n'y aucune différence. "
*Silence*
" Ok. Tu ne comprends meme pas ça . "
" Je suis du genre limitée. "
" Limitée ce n'est pas le mot réellement approprié. Mais ça marche quand meme. "
" Tu sais qu'etre plus blessant ne fait que rendre plus désirant. "
" Je n'ai connu que trois , quatre personnes m'ayant fait du rentre dedans pourtant j'adore ça. "
" Je ne te ferai pas ce plaisir dans ce cas. "
" Oh , quel malheur de condamné la seule chose qui te rendait intéressante. "
" Je ne suis pas là pour t'amusé. "
" Alors que fais-tu là , à me parler ? "
*Silence*
" Tss.. c'est bien ce que je me disais vous etes toutes les memes. Ne sortaient pas les crocs sans avoir vu celle de votre adversaire , sa vous évitera de vous rendre puérilement pitoyable. "
" Qu'attend-tu de moi ? "
"Je ne sais pas , toi , qu'attend-tu de moi , c'est bien toi qui est venue engagée la discussion avec moi."
" Tu viens me parler sans avoir une idée en tete , ou un sous entendu avec une arrière pensée pour avoir finalement ce que tu veux. Tu es certaine que je vais croire ça ? Commence à douter sur-le-champ s'il te plait. "
" Tu sais les gens.. "
*Coupure de parole*
" Oui je sais , mais les gens qui le font sont bourrés . Tu ne sens pas l'alcool , alors tu es a bout. "
" Surement . "
*Une autre rire résonne*
" Hilarant , tu es à bout , et tu parles de moi et de ma cause perdue.. "
" Oui mais moi je peux m'en sortir . "
" Moi aussi. "
" Oh non , ça te rendrait moins sexy. "
" Tu préfères me voir comme un condamné. "
" Hum.. Rien que ce mot j'en ai des pulsions. "
" Ok.. Tu es réellement à bout. Mais je ne couche pas par pitié. "
" Ne me prend pas en pitié. "
" Je ne te prend pas en pitié. "
" Prend moi en missionnaire. "
" Je te demande pardon ? "
" Je t'excuse mais dépêche toi. "
" Pour ? "
" Me faire l'amour. "
" Je te le redis , je ne couche pas par pitié , j'aurai l'impression de me faire une mourante , et canon ou pas t'es pas prete de faire naitre le désir en moi. "
" Tu refuses de me faire l'amour alors que je suis prête à te laisser faire ce que tu désires de moi ?"
" Totalement. "
" Pourquoi ça ? "
" La seule chose que je désire venant de toi , c'est que tu te taises. "
*Silence*
" Apparemment ça t'as refroidi. "
" Je peux me réchauffer si tu veux. "
" Réchauffe ta solitude. "
" Plus t'es méchant et plus tu m'attires. "
" Arf , ma pauvre t'es pas tombé sur le bon là , je vais te rendre dingue moi. "
" La douleur d'abord le plaisir ensuite. Si je dois continué à prendre tes remarques pour t'avoir dans mon lit je veux bien. "
" T'as vraiment envie que je finisse dans tes draps. "
" Tellement.. "
" Une raison à ça ? "
" Les personnes qui parlent comme toi , sont toujours des valeurs sures. "
" Ah parce qu'en plus c'est pour rejoindre ton catalogue. "
" Catalogue , attend tu insinues quoi. "
" Rien du tout , catalogue , et encore , je devrai parler de pages jaunes . "
" Tu es drôle , intelligent , provocateur , en plus de ça.. Tu as du avoir pas mal de proposition. "
" Trop qui ne m'intéressait pas , et peu qui en valait la peine. "
" Tu aimes l'amour ? "
" Aimer est un mot que je ne connais pas. "
" Mais tu.. "
" Aimer est un mot que je ressens.. "
" Fait moi l'amour. Fait le moi , toute suite , maintenant , où tu le veux. Mais fait moi l'amour comme si demain n'était rien , qu'aujourd'hui était tout. Fait moi vivre je t'en prie. "
" Est-ce bien moi le condamné dans tout ça ? "
" Je voudrai te condamné à m'aimer si je le pouvais. "
" Tu ne le voudrai pas. Je suis mieux seul. "
" Tu ne le voudrai pas. Je suis mieux seul. "
" Tu réchaufferai mon lit , mon corps , mon âme. Tu me brûlerai d'une chaleur qui me ferait fleurir. "
" Tu n'as pas besoin de ça. "
" Tu n'as pas besoin de ça. "
" Mais j'ai besoin de toi. "
" C'est l'envie qui te dit ça. "
" C'est l'envie qui te dit ça. "
" Non c'est mon le corps , qui me le hurle depuis toujours. Je t'ai menti , je me suis menti. Je t'ai voilé la face , et la mienne avec . J'ai mis ça en dehors , je l'ai cachée , en dessous de tout une foule de souvenir. Mais c'est encore là. C'est toujours là. Ca l'a toujours été. Aujourd'hui , je ne veux plus , je ne peux plus me retenir. Me tenir face à tout ça , la fierté , la rancoeur , la haine. Plus rien n'existe. Depuis le début je voulais que tu me fasses l'amour , mais je ne voulais pas passer pour une salope. Et puis j'étais certain de ne pas t'intéressé , je n'avais pas le cran , pas le courage de te dire tout ça. Mais maintenant si. Et je peux me jurer , me persuader que c'est faux.. Tout mon corps te veut.. En lui. J'en ai marre de parler. J'en ai marre de t'expliquer tout ce que j'ai toujours voulu te cacher , toi qui m'a toujours vu comme personne ne l'avait fait avant , toi qui m'a tant intimidée et qui m'intimide encore. Ce charme que tu as , que tu as depuis toujours et qui m'a fait flanchée.. Bordel , fait moi l'amour. "
" Tu charmes mon esprit là.. "
" Tu charmes mon esprit là.. "
" C'est tout mon être que tu as charmé toi.. "
" Qu'attend-tu de moi ? "
" Qu'attend-tu de moi ? "
" Tout ce que tu as pu m'apprendre , me faire espérée , après tout ce temps. Tout ce qui m'a intriguée m'a donné envie. Tout ce que tu m'as fais découvrir. Je suis quelqu'un que je n'ai jamais été et je n'aurai jamais pu l'être sans toi. Offre-moi un fragment de toi. Du vrai toi. De celui que tu n'as jamais voulu montré. Un seul fragment. Aussi petit soit-il. Je veux savoir si ce que j'ai espérée de la personne que tu étais existe réellement. "
" Ca ne changerait rien "
" Ca ne changerait rien "
" Au contraire , j'aurai la satisfaction d'avoir connu l'excellence de l'originalité. "
" Mais tu.. "
" Je brûle de toi espèce d'abruti. "
Chapitre 494 - L'aller . Sans le retour.
[...] Il était finalement à l'aéroport , prêt à prendre le ticket que tendez la damoiselle du comptoir. Un aller simple pour une direction inconnu , celle qu'on lui avait convié de prendre. Il prit son ticket , le rangea dans la veste de son lourd et long manteau noir. Il n'avait ni bagage , ni sac. Rien que le nécessaire. Lui et rien d'autre. Et encore , lui était déjà largement suffisant. Il commençait à quitter le comptoir pour partir en direction des terminaux , quand une voix légère et sucrée lui prit le corps.
- Marc ? C'est bien toi ?
Il aurait pu reconnaître cette voix entre toutes , d'aussi longues années sans ne l'avoir jamais revu. Il se retourna lentement , lentement comme un homme sur qui l'on braque une arme , a qui l'on vient de faire une menace de mort. Il avait la tête baissée , et leva peu à peu le regard. Un pantalon noir très féminin , un bracelet au poignet . Un manteau d'une blancheur si belle , les cheveux satins , et dorée à la voix. Des lèvres fines et douces , d'une rouge sanguinolent.. Elle avait un sac de voyage par terre , tenu par sa main gauche .
- Julie.. Que fais-tu ici ?
Sa voix n'avait pas bougée , ni tremblement ni quoi que ce soit d'autres qui puissent entraver sa compréhension.. Il eut une légère pause , une absence au milieu de tout ces gens qui se croisaient , qui partaient dans des directions différentes , suivant leurs destinations. Eux , arrêtés au milieu de tout ce monde en mouvement.
- J'ai un rappel de ma société sur les côtes en Californie , je dois y aller d'urgence , enfin tu sais ce que c'est n'est-ce pas ?
Elle souriait , à moitié enjouée et inquiète , inquiète de son coeur qui hurlait , hurlait , qui soudainement l'avait-on réveillé d'un sommeil dont personne , surtout pas elle n'aurait voulu. Elle faisait tout pour tenter de garder la face. La nostalgie montait..
- Oui bien évidemment.
Ca voix était toujours aussi calme. Mais ses yeux . Ses yeux étaient fait d'une description dont les mots manquent encore à l'heure d'aujourd'hui pour en faire parvenir toute l'émotion ressenti..
- Et toi alors que fais-tu ici ? Tu as encore du travail ?
- Oui exactement , je dois partir en mission .
- Pourtant tu n'as pas pris ton uniforme..
Il sourit très légèrement , à peine était-il possible de le voir. Le sourire ne faisait pas parti de son vocabulaire , ni de son visage , et sûrement encore moins de sa vie..
- J'ai changé d'affectation.
Elle ne fut pas surprise.
- Et bien évidemment tu ne peux rien dire d'autre , comme avant ..
- Tu sais ce que c'est..
- Je le sais , et je t'ai attendu..
Il la regarda fixement dans les yeux , elle à la limite de la panique , elle savait qu'elle allait flanchée , elle ne pouvait faire autrement , surtout face à lui , lui qui savait qui elle était. Comme jamais personne n'avais pu le savoir. Lui qui la connaissait , comme elle ne se connaissait pas. Lui qui fut toujours si distant , si mystérieux , si étrange. Cette poussière impossible à attraper. Cette homme que l'on croit connaître , et qui l'instant d'après nous aspire dans son immensité.
- Je ne t'ai pas demandé de le faire.
Il baissa une seconde fois la tête , et vit une bague à son doigt.
- Oh tu es..
Elle baissa la tête pour se rendre compte qu'il venait de comprendre , elle ne pouvait plus reculer..
- Oui , maintenant , je t'ai attendu longtemps. Il s'appelle Eric .. Le jour où tu es parti.. Sans me donner de nouvelle, ni même un mot d'adieu , parce que tu as jugé préférable de partir soudainement , sans prendre en compte ce que je pouvais ressentir . Pour m'évitée de souffrir à l'annonce de ta "mort" ..
- C'est bien mieux comme ça..
Sa gorge se crispait. Les gens , allaient , venaient , partaient , leurs visages étaient cachés par une foule qui passait , tant que le monde le pouvait encore. Il tournait , tournait.. Eux s'étaient arrêtaient depuis bien plus d'une dizaine de minutes..
- Tu es le genre d'homme qui a besoin.. Non.. Qui aime rester seul..
Ses yeux devenaient légèrement rouge.. Elles se mordaient la lèvre .. Elle craquait , elle en était sûre maintenant.
- C'est une chose qu'on apprend dans ce métier. A la fin on est tout seul. Personne ne vient nous sauver.
Glacial.. Il se redressait . Pour prendre son élan pour partir. Il commençait à faire deux pas vers l'avant . Arrivant à la hauteur de son oreille.
- Soit heureuse avec Eric.
Elle se retourna aussi violemment que son corps le pouvait.
- Arrête Marc , arrête ! Nous savons tout les deux que c'est une parade. Un petit , je-ne-sais-quoi qui ne se fait pas...
Il venait de se retourner , il la regardait à présent face à elle .
- Je t'ai attendu sans que tu me le demandes. Tu ne le penses pas.. Tu veux faire preuve de courage ? De bravoure ?... Prend le risque..
Sa gorge se serrait au point de l'étrangler , elle avait les larmes aux yeux. La tristesse avait envahi son visage..
- Demande moi juste de t'attendre... Demande-le moi.. Demande-le moi et je le ferai.
Il regardait à côté d'elle , comme l'on regarde dans le vide , absorbé par quelque chose d'invisible. D'intouchable. Il levait à présent le regard. Il l'avait en face de lui , il la regarda. Droit dans les yeux , de côté . Sa bouche fermée , une forteresse inviolable.. Qui n'allait pas s'ouvrir.. Et ses yeux glaciales.. Dont la vie avait perdu le sens , elle avait fuit.. Elle le savait.. Elle le voyait. Son visage s'effondrait peu à peu. Elle baissa violemment la tête.. Avait de la relevée , de montrer la tête haute , sa larme qui coulait sur sa joue. Elle décocha un sourire , puis un petit pouffement , à la manière de l'un de ses soupirs dont on se débarrasse du poids pour en récupéré un dix fois plus gros. Elle tenait fermement sa valise.. Lui n'avait pas bougé.. Aucune émotion. Aucun sourire. Rien. Toujours le même. Elle riait encore très légèrement et finalement :
- Il en faut du cran pour dire ça .. Hein ?
Elle le regarda une dernière fois , droit dans les yeux , la deuxième larmes attaquant son long chemin sur la joue gauche cette fois. Lui regardait tel un spectateur incapable d'agir. Aucun mot , aucun geste. Elle se retourna et parti.. Parti soudainement , et rapidement au milieu de cette foule , ce gros manteau blanc que l'on discernait maintenant à peine en plein dans toute cette foule. Lui.. lui qui n'avait pas bougé , qui la voyait encore de loin.. La foule environnante qui faisait un bruit sonore , un avion qui passait au-dessus du terminal transparent. Il n'avait rien dit , rien su dire , rien su sortir. Il n'avait pas bougé , un solide mur dont l'intérieur venait de sauté.. Cette fois , c'était la dernière fois qu'il pouvait l'apercevoir.. Au loin elle se dirigeait vers la sortie du terminal 1 .. Finalement au milieu de tout ce bruit , de tout ce monde .. Ses lèvres se décollèrent .. Il ne la voyait presque plus , pour d'ici peu ne plus la voir.. A jamais .. Elle venait de poser son premier pas en dehors du terminal , la porte commençait à s'ouvrir.. Il la regardait encore , tant qu'il le pouvait.. Ses yeux furent noyés.. Et un soupir se fit entendre , un très fin soupir..
- Attend moi.. Ses lèvres ne bougeaient quasiment plus .. Je t'en supplie..
dimanche 2 février 2014
Chapitre 493 - Le défenseur.
J'étais assurément sûr d'y dire non. Et puis finalement peut être que oui. Oui a la vie. Oui à la bêtise , l'erreur , les leçons que l'on ne veut pas apprendre. Et les conséquences que l'on n'assument pas. J'ai toujours trouver le siège du spectateur plus confortable qu'un faux jeu d'acteur. Je n'aime ni la lumière , ni la scène , la représentation est pâle , et vous n'êtes pas animés d'une passion. Ou alors si , d'un besoin que vous pensez passionnel. Qu'une fois atteint vous vous sentirez mieux. Mais vous vous trompez. Vous vous trompez toujours. Nous voulons toujours plus , et on se pense qu'avec un petit désir , une petite envie par là , le reste ne nous intéresse plus. Mensonge ! On veut toujours plus. Nous avons soif , soif de pouvoir , soif d'acquérir , d'obtenir. L'amélioration , l'envie d'avancer est dans nos gènes , et celui qui s'abandonne à ne pas respecter son être , n'est ni humain ni vivant . Il est mort. Une coquille vide que l'on laisse ici à titre d'exemple. Alors oui. Oui à tout ça , à tout ce rien , qui n'est pas tout et qui n'est pas non plus poussière. Il n'y a qu'une chose plus agaçante que tout le reste.. C'est cette habitude que vous prenez .. A vous plaindre en chialant , de ce que vous subissez , comme si le monde vous avez mitraillé sans raison , par pur victimisation. C'est répugnant. En quoi a-t-on le droit de se plaindre d'une brûlure si nous y mettons la main ? .. C'est le soucis de cette époque.. Personne ne veut se responsabilisé. Personne ne veut assumer sa part d'existence. Sa part de merde. Et moi de tout ça. Je ne suis là que pour vous la faire bouffer . Quitte à ce que vous en creviez . Le monde est dur , beau , méchant , splendide , ignoble .. Mais il est juste. Il sait reconnaître le bien du mal , et le récompense en ça. Alors soyez intelligent et responsable , ça fait deux mille ans que le monde supporte vos pleurnicheries à la con. Et le monde tout comme le genre d'individu que je représente , en marre , de cette couche de merde qui noie la populace. Née d'une génération d'enfant de putain. Vous êtes le cancer de ce monde. Assumez ou soyez jugez.
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