"Quand tu parles de ce qui te motives, tu deviens terriblement froid. Rien ne t'arrêterait. Pas même une balle dans le coeur. Tu aurais beau ne pas avoir de jambe tu ramperais. Tu pourrais être aveugle que tu courrais. C'est ça qui est terrifiant avec toi. Tout devient simple en ta présence. On devient le seul obstacle face à nous-même. On comprend alors que le pire ennemi, est aussi le meilleur. Nous. Encore et toujours. Et toi, je ne sais pas comment tu fais, mais tu te bats chaque jour."
"On ne se bat pas, on se dépasse."
"Tu plisses jamais. Tu ne t'effondres pas ? Tu te démontes quand ? Y a t-il un seul moment où tes faiblesses sont présentes ? "
" Jamais. M'effondrer ? Un genou à terre, mais la tête levée. Tout le temps. Mais j'ai fais le pari fou, de faire de ma faiblesse une force. Mes émotions sont le choc que j'envoie, mais elles sont aussi les gardes fou de mon être. J'utilise la même faiblesse pour la même force. Jamais sans. Je fais ce que j'aime, et j'aime ce que je fais. Avec force, compassion, puissance, justesse."
" Comment tu fais pour être aussi fort ? "
" Je ne me le demande pas, parce que je n'ai pas le choix. Je ne me trouve pas fort spécialement. "
" Moi, je te le dis. Tu es un titan. "
" Hahaha. "
" Quand les autres tombent, toi tu restes debout. Quand ils abandonnent un à un, toi tu avances. Quand la douleur devient plus forte, les gens disparaissent, mais toi tu en réclames. Quand ils se disent que c'est trop difficile, tu te plains de la facilité avec laquelle cela n'est pas juste. Je te jure, tu me donnes tellement envie de réussir quand je suis à côté de toi. Réussir, réussir, toujours plus, toujours plus loin. As-tu au moins confiance en toi ? "
" J'ai confiance en la puissance des personnes qui quand elles sont prêtes à tout, peuvent tout avoir. J'ai confiance en certaines de mes capacités, après je doute de savoir correctement les utiliser. "
" Haha, bordel de merde, t'es conscient que t'es l'homme de la situation ? "
" C'est-à-dire .. "
" Toujours le bon mot, toujours la bonne action, tu frappes où il faut quand il le faut. Tu me fais pensé à une musique. "
" Laquelle ? "
" Aloe Blacc - The Man "
" Oui tu as raison compare moi à JFK, Ali, Malcom X, on a énormément de point commun. "
" Tu es délicieux quand tu es cynique. "
" Je te proposerai bien d'aller te faire foutre. "
" Ne devient pas vulgaire, si tu t'énerves tu risques de me faire fondre salaud. "
La douleur est amoureuse de la force, ou bien la force est amoureuse de la douleur ? Que celui qui recherche la plus grande des forces se prépare à affronter, la plus dangereuse des douleurs. Celle qui pousse à préférée la mort à une seconde de plus. Celle qui ose faire trembler les gamines dans leurs lits qui rêvent d'une vie qu'elles n'auront peut être jamais, parce qu'on les a tabassés de tumblr life et d'une idée de "fast life" . La douleur qui marque d'une cicatrice ce que l'on fait. Dans l'amour, la compassion, la douleur, la souffrance, la haine. Savez-vous au moins la différence entre la douleur et la souffrance ? L'horreur et la peur ? La force et la puissance ? Ce ne sont pas ici des mots que l'on aborde, mais des notions, des notions qui font preuve et qualités de principe fondamentaux.
J'éprouve davantage de plaisir à savoir que je vais souffrir pour quelque chose, que de ne pas en avoir du tout. La souffrance, c'est le mérite, c'est l'avancement, le progrès. La réalité dans toute sa bonté la plus légitime. Le miroir de la réalité sur nous-même.
Où est la victoire sans le mérite ? La victoire c'est justement le mérite. Le mérite personnel. Mais d'ailleurs, victoire et succès est une autre distinction à faire. Vous pouvez trouver cela rébarbatif. Mais c'est ça qui différenciera la caissière de carrefour à la chef d'entreprise, le vendeur de l'homme d'affaire. L'ado prépubère à l'Homme.
A vous de voir, plaisez-vous dans vos 9H - 18H. Mais ne parlez pas de plaisir, ni de joie. Vous n'en connaitrez que le mot. Comme tout ce qui est dit dans ce chapitre.
Bisous aux courageux. Tandis que les autres.. (rire). Vous n'intéressez personne. A part vos sosies.
Aujourd'hui on m'a regardé dans les yeux, sans cligné, sans baissé la tête, sans un sourire, dans le plus grand sérieux qu'une personne puisse faire à ce moment précis ;
" C'est parfait ce que vous faites."
J'ai acquiescé d'un hochement de la tête puis j'ai baissé la tête pour continuer mon travail, et alors ;
" Monsieur, s'il vous plaît lever la tête, et regardez-moi. "
J'ai levé la tête une seconde fois, sortant de mes écrits ;
" C'est parfait. Véritablement parfait. Vraiment. "
C'était étonnant, j'ai presque cru que j'allais m'aimer. Presque.

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