jeudi 31 mai 2012

Chapitre 183 - Title Flashback : Hier j'ai rêver que tu m'aimais , j'ai rêver.




On fait toujours plein de conclusion des choses passées , des évènements venus .. Du moins ceux qui veulent avancer le font. J'ai tirer une conclusion qui mérite son palme d'or dans un principe de vie , je sens que ce mois .. Va être.. (rire).

Parfois il vaut mieux tourner la page , que d'être le seul à vouloir arranger les choses.

Chapitre 182 - La victoire aime l'effort ? La vie aime l'amour ? Et moi je t'aime toi.



On ne nous à jamais dit que la vie serait facile , simplement qu'elle en valait la peine .

Chapitre 181 - Hé tu veux être gentille ? Arrête cinq secondes de croire que tout se que j'écris se rapportent à toi. T'es pas ma muse , encore moins ma source d'inspiration. Alors oui je t'aime. Comme un dingue même . Mais j'ai beau t'aimer , ta place n'est pas dans mon coeur.


J'ai appris avec le temps, avec la vie qui passe par là. Un petit secret , un secret de la réussite. Les sentiments que nous éprouvons aussi fort soit-ils pour une personne , ne doivent jamais être combattu. Ils doivent être accepter. Il ne faut pas se forcer dans l'adversité , car nous nous combattons nous-mêmes , dans une tuerie sans fin qui nous détruit , nous sommes l'arme à notre destruction , le poison de l'antidote de éveil. C'est un véritable deuil que nous devons porter jusqu'à temps que nous l'acceptions. Et l'acceptation est bien plus difficile que tout se que je pouvais croire. Accepter nos sentiments , accepter la réalité des choses , accepter de devoir accepter quelques choses qu'il y'a quelques temps nous pensions impossible. Accepter qu'on ne peut pas gagner à tout les coups . Je fais peut être cavalier seul , mais je me débrouille !

Chapitre 180 - Faire compliqué n'arrange personne . La simplicité , clair , net et précise contient la clé du bonheur. Être le problème et la clé du problème à la fois..



Il y'a bien longtemps que tout ça , est comme ça , que le monde tourne de cette façon.. Quoi qu'il n'a pas de façon de tourner , je le vois tourner d'une autre façon dans ce cas. Des choses changent , se perdurent , s'étendent sur l'immensité de la longévité du temps .. Des actes , des décisions , qui influent parfois éternellement sur notre vie . Certaine sont voulus , d'autre , subis . Mais celle ci n'est pas à subir. N'est pas à supporter. Elle est faite , car je l'avais décidé. Car j'avais crus bon , et je sais que j'ai fais le bon choix pour moi et le reste de ma vie. Tu n'aurais était que plus dangereuse. Je t'ai exilé de tout mes ressentis , de nos sourires passés , de nos désirs commun , de notre impossibilité à voir certaines choses réalisable ensemble. Tu ne te rendais pas compte de la place ni du temps et encore moins de la valeurs accorder. Ton erreur fut la première et sera la dernière . Il n'y a pas de joker.. Pas de seconde chance .. Pas de rattrapage . J'ai imposé se que je juge à l'heure d'aujourd'hui encore bon. Tu es rayée de ma liste , inconnu , à mes yeux , tu n'es qu'un cadavre transporter par le flot de la vie qui t'as happé et utilisé, lassé de tout ceci tu n'as ni la volonté , ni la détermination de l'emporter. Seulement comme toujours , tu espères , tu imagines quelques choses de meilleur, un avenir serein , un lendemain joyeux . Mais après tout ce temps tu n'as pas changé , et tu le sais . Tout restera toujours comme ça .. Tu n'es plus que l'ombre de toi même , un arbre qui dépérit aurait plus l'air vivace que n'importe quelle de tes gestes. Les souvenirs d'une relation commune sont introuvable. J'ai anéanti chacune des choses qui me portais vers toi . J'ai effacé , je n'ai pas oublier , à vrai dire je n'ai pas la capacité de m'en souvenir, tu n'as pas exister. Tu n'as pas vécus , je ne t'ai jamais connus. Tu n'es qu'un brouillard léger dans l'antre de ma mémoire , qui quelquefois comme celle ci , brouille ma vision , un instant . Me paralyse et me murmure des mots , des sons . Que je ne reconnais pas. Que je ne connais plus. Tu erres sans but , sans raison. Du moins tu doutes , tu penses avoir des raisons , vraiment.. Tu n'as pas confiance en toi.. Tu n'as rien changer, tu n'as rien fais pour changer. Tu ne te décides pas , c'est les autres qui ont décidaient , et qui décideront pour toi. Ne te demande pas à l'heure d'aujourd'hui dans ton lit en larme , ou avec l'impossibilité de dormir pourquoi cela t'arrives , pourquoi tu ne trouves pas cette tranquilité. Et non , rien ne sert de regarder ce cellulaire en imaginant un message venant de ... , tu l'as su et tu l'as voulus. Tu le sais , et tu ne peux t'empêcher de faire comme toujours.. Tu espères. Tu espères des choses impossibles , des choses difficiles , des choses que tu penses réalisable mais qui sont brute , dure , violente et froide. Une réalité qui te brise ton royaume qui te fait réaliser qu'ici , les règles ne sont pas les mêmes que dans ta tête. La réalité te rattrape , par la maladie , par l'amour , par l'amitié .. Tu tentes de nouveau de fuir.. Et pourtant à l'époque .. Du moins le seul souvenir que j'obtiens de toi , c'est un regard , plein de tristesse , d'une fille qui espérait l'aide , qui voulait qu'on la sauve de ce mal , qui la rongeait , qui te détruisait comme un feu ardant et silencieux l'âme de ton coeur , dévorant ton corps de droite à gauche , de haut en bas.. Tu voulais de l'aide , et pourtant dans ce regard tu avais ce petit quelque chose , qui faisait que tu ne croyais plus en se qu'on te disait , en se que tu pensais être juste . Tu étais vidé d'espoir. Je crois bien que .. C'est la seule fois , que je t'ai vus sans espoir véritablement sans espoir , ni illusion. Un regard simple , plein de sincérité , d’innocence , tu suppliais une aide silencieuse que personne ne voyait .. Je fus choqué.. Voici notre première rencontre , tout le reste n'existe pas , je ne sais pas , je ne connais pas . Un trou noir qui m'efface jusqu'à maintenant . Tes faiblesses t'ont déjà trahi et te replanteront , ce poignard d'une lame glaciale qui partira se reloger une fois de plus au même emplacement que tu auras pris la peine de soigner.. J'ai la certitude , je le sais , les gens évoluent , mais ne changent pas . Et ceci n'est pas une habitude que tu as , c'est dans ta nature de faire ça . De carburer à l'espoir. Comment faisait-tu avant ? Pendant cette courte période d’abstention ... J'ai des échos qui reviennent .. Je traite de ce sujet avec facilité pour refermer cette porte qui étrangement se réouvre de temps à autre . Et cette fois , je compte la scellé à jamais. Je t'ai exclus de cet endroit , de mes pensées , de mes envies , des choses que tu pouvais savoir de moi. Tu n'es plus qu'un fantôme . Tu as fais l'erreur qui t'as coûté pour le restant de tes jours se que tu laisses à penser que tu avais aimé.. Et tu vivras avec ce poids . De te dire que " Tu as merdé " Sache-le et jusqu'au restant de tes jours car les miens d'ici peu ne compterons déjà plus .. Sache-le bien .. Je t'ai bannis à jamais de mon monde. Tu n'as plus droit de savoir , de regard , droit d'accès . Alors tes souvenirs , tes échos de notre soi-disant passé que je ne connais pas , tu les prends avec toi , et tu continues ton chemin. Pour moi , tu n'existes plus , tu n'existes pas. 

Ecrit il y'a 463 jours.

mercredi 30 mai 2012

Chapitre 179 - Cherry Blossom Extract






Nous sommes commun à tout ceci, toute ses choses que l'on nous passes en boucle sans cesse, sans s'arrêter . Sans prendre le temps d'une seconde de respirer, ou de penser. On écrit parce que personne n'écoute , parce qu'on veut laisser sa trace quelque part , se dire que l'on est lu par quelqu'un dans le monde , qu'on peut être compris , que quelqu'un va s'intéresser à nous. Que se que nous disons à un sens .. Un but. En réalité il n'a de but que pour celui qu'il l'écrit , il n'a de nécessité que pour celui qui pense que ce texte à besoin d'être écrit . On écrit en espérant que quelqu'un prenne le temps de remarquer se que l'on dit , se que l'on écrit . Pour savoir si cela intéresse quelqu'un les sujets qui nous tiennent à coeur , les histoires que nous citons , les sentiments personnels que nous mettons en oeuvre, dans des faits purement inventif , dans une réalité qui est notre , dans un monde a part , un monde blanc , blanc de tout , sain de toute pensée , de tout acte.

 Nous décrivons se que nous ressentons , se que les autres peuvent ressentir. Parce que nous nous intéressons aux autres , à ceux que nous aimons , ceux que nous détestons , ceux qui parfois il faut admettre l'on oublie , ceux qui nous manques , ceux qui sont mort , ceux que l'on aimerait bien connaître. On s'intéresse à n'importe qui , mais pas a n'importe quoi. Pour savoir , connaître , comprendre , apprendre . On écrit parce que l'écriture sauve , sauve de l'ignorance d'un monde dominé par l'argent et les cols-blancs , on écrit pour ne pas se perdre , pour ne pas oublier qui l'on est , on écrit pour des années plus tard s'étonner de se que nous pensions. On écrit des souvenirs, du bonheur , de la douleur . On écrit , on tente de vivre se que l'on écrit , on insère une partie de nous dans se que nous écrivons , pour rendre le texte plus vivant , plus réaliste , concordant avec la réalité dans laquelle nous grandissons . L'écriture nous sauves , de la solitude , de l'ennui , de la monotonie . L'écriture c'est le dialecte du corps silencieux qui s'exprime dans un bruissement de fracas et d'éclatement de verre. C'est une dénonciation de notre âme , une pensée pardoisé dans un espace temps , où vie et mort n'ont pas de sens , ou le temps n'existe pas , où seul la pensée régie tout . 


Syndrome de la page blanche , peur de l'écriture , ennui constant des sujets , il existe beaucoup de raison de ne pas écrire , de ne pas avoir envie d'écrire , de ne pas se sentir prêt à écrire , on se sent mal , on ne trouve pas le temps , on ne sait pas comment exprimer se que nous ressentons , nous nous ennuyons sur un terrain de jeu bordé de terre et de mer. Alors on se calme , on tente d'apprivoisé ses pulsions que nous ne contrôlons pas , en nous rassurant , en se murmurant au creux du coeur que demain ira mieux. Mais se n'est pas demain qui doit aller mieux , c'est nous , nous dans une douleur singulière c'est à nous de savoir se qui ne va pas et de le changer , se n'est pas au temps de découvrir comme un inspecteur sur la scène de meurtre le corps macabre de la victime de cette maladie qui nous lie tous à la peur de vivre.

Il y'a ceux qui écrivent et ceux qui écriront un jour. Il y'a ceux qui agiront demain .. et ceux qui agissent déjà. Les excuses n'importes qui peut en faire , les courageux trouvent des solutions .. Les perdants des excuses. Nous ne pouvons pas changer notre passé , ni notre futur , mais il n'appartient qu'à nous de changer notre présent .. Et ce dès maintenant. Nous avons le pouvoir de nous améliorer de devenir meilleur chaque jour qu'il nous est permis d'être .

Je ne vous demande pas de vivre sans regret ni remord c'est impossible , je vous demande simplement de vivre. De vivre , toute suite , sans réfléchir , de vous laissez guider par vos envies , vos pulsions , de vous laissez aller , de ne pas nager à contre-courant dans la rivière de la vie. De vivre .. Je veux que vous viviez ..

Vivez pour une personne , pour une chose , pour un objectif , pour un but , de haine , d'amour , de solitude , de rancoeur , de déception , d'illusion , de malheur , de bonheur , de joie , de sourire , de larme , de plaisir , de rêve , d'extase , de douleur , de souffrance , de cauchemar , d'espérance , de songe , de passion , de sentiment.
Vivez de ce que vous voulez .. Mais je vous en prie .. Vivez.


(et demain sinon c'est philo à 8h.)

Chapitre 178 - To have a head start



" Tu penses avoir compris, tu te doutes de quelques choses , tu admets que cela puisse être possible , tu fais des hypothèses , tu testes , tu évalues , tu analyses , tu conclus . Tu en tires des conclusions , tu avances étape par étape , marche par marche , en te doutant que tu sauras comment réagir la prochaine fois. Comment m'éviter ? Comment m'oublier ? Comment ne plus être surprise ? Comment ne plus rien attendre ? Comment me faire du mal ? Comment comment . Tout un tas de solution , des raccourcis , aventureux dans l'âme tu penses réussir . Et c'est beau tout ça, tu lâches pas l'affaire . Tu t'y accroches avec tant de force , c'est presque surnaturel. Tu mériterais une médaille. Mais soyons sérieux je te l'ai déjà dis , ici t'es pas le mieux . On en à déjà discuter, tu te moques , t'en rigoles , tu me penses vantard. Casse, la tienne . Je m'en tape parce que c'est bien vrai . Sur la grande partie d'échec qu'est notre relation tu n'as qu'un coup d'avance , moi j'en ai des dizaines voilà pourquoi tu ne me battras jamais. Mais continue , bat-toi. Fait moi rire . Espèce de comique va. Echec et mat."






Hé en anglais " avoir un coup d'avance " se dit " To have a head start " . 

mardi 29 mai 2012

Chapitre 177 - (Reviens, reviens-moi)(Chut tais-toi je t'aime)(t'es beau mais prend pas la grosse tête quand même)(tu me manques)(tu dois avoir chaud avec un temps comme celui ci)(j'ai envie de toi)(J'ai penser à toi aujourd'hui ! J'ai manger une danette.. a la pistache !)(Merci, merci pour tout)(Merci d'avoir émerveillé ma vie)(On se retrouvera)(Ohhhh cette petite lèvre !)(t'es mon petit bébé à moi)(je veux tout le temps passé des moments comme celui-ci)(tu m'étonneras toujours)(j'adore ta mentalité)(non t'es vraiment pas comme les autres , rien que quand je vois comment les autres se comporte..)(j'adore tu m'apprends tellement de chose)(T'es vraiment dingue..)(Wahh c'est fou tout se que tu sais)(t'es ma drogue) et pour finir .. (Hé j'ai une phrase qui m'a fait penser à toi , j'étais sur le canapé , et je me suis allongé parce que j'étais trop fatigué, je commence à m'endormir ..et là soudain y'a une phrase qui m' a fait penser à toi : Tu ne fais pas mon bonheur , tu l'es) On oublie jamais rien.



Il n'y a pas une chose qui ne me fais pas penser à toi . Je vois ta silhouette au loin me tourner le dos , j'imagine , je divague , j'entends un de tes éclats de rire résonne dans la rue , je me retourne et y espère croisé ta petite tête . Je vois des choses , des affiches , des gens , des expressions qui me font penser à toi. J'écoute des musiques qui me font réagir tout mon corps à l'appel du tiens; j'imagine tellement de chose . Des choses fausses , des choses irréalisables , des choses peut être impossible , invivable , mais j'imagine.
Je t'entend te moquer de moi , je te vois me pointer du doigt en rigolant , j'ai le souffle coupé , comme si tu étais là , à me serrer le plus fort que tu le peux de tes bras , m'entourant la taille .. Je sens ton odeur sur mes habits , je vois ton sourire au coin d'un boulevard ..

 Je vois tes cheveux s'envoler dans le ciel .. Je me surprend à voir que j'ai un cheveux accrocher à mon polo , j'imagine que c'est le tiens .. Je me dis que tu n'es pas loin. Je finis par rire , lui aussi se cogne contre les murs des rues .. peut être qu'il rejoint le tiens , je n'en sais rien , je l'espère .. Je me dis après tout ça .. Que je n'ai pas oublier ton visage.. Alors c'est ça le manque ?

lundi 28 mai 2012

Chapitre 176 - All Of The Light




         " Va falloir t'y faire . Nous deux c'est à jamais. Ensemble ou séparé. " 

Chapitre 175 - Il m'a fallu 30 secondes , 30 secondes pour comprendre que je n'avais rien à comprendre. Time to understand.

Chapitre 174 - Time to realize


Il faisait froid ce soir là , la nuit était opaque , presque indescriptible , trop sombre pour les lampadaires qui jonchaient la route que j'empruntais.. Les bruits des voitures en sens inverse qui passaient à toute allure , tantôt des klaxonnes , d'autrefois des appels de phares . Indécis , j'avançais dans la pénombre seul , la lumière des lampadaires disperser sur le chemin me faisait passé de la lumière , aux ténèbres , comme un acteur qui rentre sur scène projecteur tout allumé sur lui , et qui soudain se retrouve avec une panne d’électricité sous le bras. Incompréhensible et peu plausible . Je passais les lumières comme on passe les bandes sur le périphérique parisien .. J'ignore la beauté de ce monde . Je naviguais dans mes pensées , une mer instable et dangereuse dans laquelle moi-même capitaine de mon navire n'arrivant pas a hisser la grande voile pour choisir ma direction. La nuit me rendait confus. Ou peut être étais-ce moi qui étais confus d'entrée de jeu.. Je sentais quelques gouttes effleurant mon visage , personne à l'horizon la nuit était calme , à mesure que je marchais les bruits de voiture s'atténuaient et ne devinrent qu'enfin de compte qu'un écho au loin , signe d'une vie nocturne .. Un ou deux chats avaient la surprise de sortir de son buisson ou de son trou , me regardant avec des yeux fixes , me considérant comme une source de danger , et attendant ma future action afin de savoir comment réagir.. Ils détalaient tous à mesure que j'approchais.. Le chemin n'en finissait plus .. Quelques lampadaires ne marchant pas , je fus contraint d'avancer dans le noir total , avec au loin des HLM qui eux émanaient de certains étages de la lumière , symbole d'une famille qui y vivait .. Moi j'étais dehors , dans le froid , avec comme seul compagnon mes idées qui jamais ne m'ont abandonnaient ce soir là. J'étais épuisé , ennuyer , lassé de ce genre de question , de réflexion que je devais sans cesse me poser pour avancer. Je ne voulais plus de ça , plus de passé qui resurgit dans le présent sans qu'on s'y attende , je ne veux plus d'évènement passé qui me bouleverse .. J'ai envie d'être insensible au passé , insensible à tout ses souvenirs et ses sentiments , je hais la nostalgie qui nous rappelle sans cesse qu'hier est mieux que demain.. Je suis faible .. J'ai peur du passé , peur de se qu'il peut me renvoyer , aujourd'hui , demain , ce soir .. dans un an. J'avais crus m'en sortir , j'avais crus pouvoir oublier tout ça . Toute ses longues années de mutismes à enfermer et cloître ces choses. A m'infliger douleurs pour les oublier.. Je ne suis pas seul dans ce cas , je le sais , et je ne fais pas cas unique .. Mais je voudrais savoir eux qui s'en sont sorti .. Comment font-il ? J'ai peur d'avoir fait le mauvais choix et qu'un jour la vie m'installe une énorme pancarte en face de mon chemin écrit dessus en gros , gras , italique en Arial taille 45 " Tu dois regretter " . Je ne veux pas avoir à regretter ni à avoir de remord .. Mais je m'en veux tellement pour les choses que j'ai faites , et les choses que je n'ai pas dites .. Le remord s'acharne avec les regrets à me persuader du contraire. Malgré tout ça , je suis au milieu d'un enfer silencieux qui si je m'arrête m'emporte avec lui au plus profond des ténèbres , je n'ai d'autre choix que d'avancer . Pas pour oublier , ni pour fuir . Je dois le faire parce que je n'ai pas d'autre solution , je n'ai aucune excuse , aucun joker .. Le lampadaire éteint au dessous duquel je marchais venait de s'allumer , la lune , elle cachait par des nuages , reflétant la lumière du soleil , se montrait timide cette nuit. Mon souffle devient plus dur , mes questions plus difficiles d'accès , mes réponses impossible a discerner .. j'arrive au bout du chemin , et je vais devoir choisir entre deux possibilités .. Je ne sais pas laquelle prendre , je panique , mon corps tremble , le froid pénètre en moi , traverse le long de mes veines , et entre dans mon coeur, comme un poison qui me paralyse , je ne fais que marcher.. Je ne sais pas quoi choisir , je ne sais pas quoi faire , ni comment le faire .. La nuit me pousse à avancer comme un enfant qui voudrait faire son tour de toboggan alors que je lui en bloque l'accès .. Que dois-je faire .. Bloquer entre un passé qui me manque, qui chaque jour me rappelle les sentiments que j'éprouve pour celle qui m'a abandonner pour des raisons soit disant valable , me laissant dans un état lamentable , soit on aime envers & contre tout , soit nous n'avons jamais était digne d'aimer quelqu'un.. Je suis avec la fatalité de ne pas avoir était aimer. Si l'amour à une limite , si à cette limite on dit "stop j'arrête" est-ce vraiment un amour ? L'amour a-t-il des limites .. ? A-t-il des interdits ? Si c'est le cas , pardon de ne jamais avoir fait attention , pardon d'avoir aimer a ma juste manière , pardon d'avoir aimer à m'infliger des souffrances invisibles sur le corps , pardon , pardon d'avoir comme il le faut .. Maintenant ses sentiments indestructibles se retourne contre moi .. Et me ronge de l'intérieur.. Alors c'est ça ici , la manière que l'on aime ? Avec modération , avec des règles .. Avec des interdits et des manières de faire ? Peut être que je vivrais moins que vous tous , mais j'aurais dépassé l'infranchissable , et j'aurais aimer à la juste manière de l'amour.. Sans compromis , sans règles , sans interdit , sans limite , sans opinion , sans réflexion .. J'aurais aimer .. Des pieds à la tête je suis fais d'amour. Voilà ma position , une position stable , mon regard se porte à l'horizon j'y vois un dessein d'avenir , de projet , mais mes pieds sont endurcis dans la terre , mes sentiments ont scellés mes jambes, impossible d'en ressortir. Mes sentiments me font attendre quelque chose qui ne viendra pas . J'ai froid , je suis seul dans cette nuit avec comme seul spectateur une lune moqueuse et joueuse .. Alors partager entre un amour quasi-éternel et infiniment puissant , et futur incertain reflétant mon passé .. Je vous le demande à vous , ses personnes qui s'en sortent , qui rayonne de vie , des symboles presque religieux , qui donne bonheur à ceux qui les entourent .. Eux ses êtres de lumière .. Comment font-ils ?




[Ecrit il y'a 18 jours]

Chapitre 173 - Un amour qui vous fait souffrir est-il vraiment un amour ? .. Un amour qui vous fait connaître la souffrance est un amour fragile , qui prouve ses faiblesses et montre ses lacunes , vous montrant à la lumière du grand jour que les choses que nous aimons ne tiennent qu'à quelques petites choses, et qu'il faut savoir , préserver et protéger se que nous pensons important à nos bien-être. Un amour où la souffrance n'est pas connu n'est pas un amour . L'amour à besoin de la souffrance pour exister. Il rappelle que nous sommes dépendant , que nous nous accrochons, que malgré tout les sentiments nous bouleversent et nous contrôles. C'est dans la difficulté de savoir la raison de cette souffrance que la valeur de cette amour est bien plus forte qu'autre chose. Alors oui.. Un amour qui vous fait souffrir est un amour. Un très grand amour même. Mais jusqu'où êtes vous prêt à souffrir pour la personne que vous aimez ? La valeur des sentiments ne se mesurent pas aux paroles mais aux actes. Un amour simplet vous ennuis assez rapidement . Un grand amour vous mets dans tout vos état. L'amour c'est la fusion d'une douleur joyeuse au sourire triste. L'amour à elle seule est une raison de vivre, et d'espérer. Alors qu'on m'exécute si je faiblis .. J'aime sans compter. J'aime sans arrêt . J'aime chaque seconde de ma vie. Je ne suis bon qu'à aimer sans compter. Sans faiblir sans trahir sans mentir. J'aime à m'en rendre malade. J'aime à en mourir. J'aime envers et contre tout. Il n'y a qu'un seul amour que je tolère. Celui des fous , des hérétiques , celui des exclus de la société , ceux des romantiques .. J'aime comme il est permis d'aimer , et j'en franchis même l'interdit , j'aime autant que je peux . Tout mon corps tremble d'amour . J'aime pouvoir aimer . J'aime , des pieds à la tête je suis fais pour l'amour.


Alors c'est vrai , il ne suffit pas de décider que certaines choses se fassent pour qu'elles se produisent pour de bon , il ne suffit pas d'y croire , pour que tout se fasse comme l'on se claque les doigts. Il ne suffit pas de se frotter les mains pour voir se réaliser tout se que l'on souhaite. Parfois à contre coeur . Parfois dans la douleurs. Des moments de silence , d'inconscience , avons-nous seulement l'impression de savoir se que nous faisons ? Tout ces actes injustifiés pour des conséquences parfois titanesques. Nous perdant dans le flot de nos pensées , sombrant dans la tristesse de nos remords . Le silence fait taire les plus forts sentiments , il ne les tuent pas , mais les rends plus fort . L'incapacité à savoir quoi faire au bon moment reste d'une difficulté extrême pour nous tous. Certains ont peur , d'autres ne veulent pas tourner cette page , métaphore de tout le passé survenu avant l'évènement bouleversant . 

Alors j'ai regardé par delà ma fenêtre au dessus de toutes ses lumières qui éclairaient la ville , j'ai regardé celle des étoiles , fines et parsemé comme un peintre qui aurait pointe par pointe ajouté chacun de ses étincelant et ridicule cailloux dans le ciel. Un artiste presque divin . Et au milieu de tout ça .. J'ai plongé mon regard dans cette toile mystérieuse .. Tout en souriant et fermant ma fenêtre , je me suis dis que tout ça n'est certainement le début que de beaucoup d'autre chose , avec la pensée amusante de me demander se que demain pourrait bien me réserver. Tout ça avec une seule et unique certitude , que j'en pleure , que j'en souri , que j'en rayonne de joie , que j'en crie de douleur , que je souhaite le meilleur , ou le mauvais , le bon ou le mal , que j'en reste insensible , insouciant , inconscient .. Je l'aime .. Et peut être bien que pour continuer d'avancer , je dois l'accepter.. J'ai des choses à réussir.. Avec ou sans..

dimanche 27 mai 2012

Chapitre 172 - Live for love

Chapitre 171 - Never give up



" A chacun sa course , à chacun son but , ses courses sont pour nous des objectifs , des buts, elles ont toutes une signification pour nous. Quand nous en gagnons une , nous ne gagnons pas seulement une course , nous gagnons toutes nos espérances , c'est comme au abord d'un rêve . Et chaque courses nous rapproche de cette sensation. Nous pilotons pour le plaisir. Mais aussi pour la compétition. Nous aimons la victoire. Ici chacun de nous à fait de notre mieux pour en arriver là. Nous sommes sur le circuit des plus grands . C'est un honneur et un rêve qui se réalise. On m'a toujours dit de croire en moi. Au début je n'y croyais pas. Et avec le temps j'ai compris : Des pilotes sont plus compétent , sont meilleurs , sont plus fort que nous , mais jamais.. Jamais , il ne faut jamais abandonner. Si je suis arrivé là c'est parce que j'ai crus en moi , en mes capacités. Et c'est à mon père que je dois tout ça. Au commencement de tout, il était le seul à croire en mes capacités. "


[Mark Webber]

Chapitre 170 - L'autre côté de la vérité



" Tu me manques.. Pourquoi , pourquoi tu me fais ça .. On dit que quelquefois se n'est pas la personne que l'on aime qui nous manque mais juste les sentiments que nous ressentions.. Peu importe.. Pourquoi .. Avoir envie de te voir , de sentir ta peau , de croisé ton regard.. Tu n'as pas le droit , tu n'as plus jamais le droit. J'avais fermer cette porte , alors pourquoi.. Pourquoi vient-elle de se ré-ouvrir .. Non .. Tu n'as pas le droit.. "

lundi 21 mai 2012

Chapitre 167 - Marlon Brando était un grand acteur de sa génération. Il compte parmis les légendes du cinéma Américain et même mondiale.


Si nous avons l'opportunité de pouvoir devenir heureux, il faut aussi accepter le fait que quelquefois il faut savoir être malheureux. Le bonheur suit le malheur. 


Le succès c'est tomber sept fois, se relever huit.

dimanche 20 mai 2012

Chapitre 166 - I don't wanna let you go



Je ne veux pas te laisser partir.

Mais tu crois que dans tout ça j'ai le choix .. Je te regarde me tourner le dos , un dernier regard , qui nous plonge dans une compréhension , une symbiose que personne n'a jamais su comprendre, qui n'était rien qu'à nous. Nous étions deux, nous étions nous. On était imbattable, un véritable duo. J'apprend à laisser partir les gens que j'aime , tu apprends à suivre ton propre chemin. Tout ça ne se fait pas sans douleur , alors un regard , un dernier regard, qui me plonge dans tout cette histoire et ses obstacles que nous avons vécus ensemble, pour me rappeler qu'ici tu es la seule qui me permet réellement de vivre, et qui m'a donné la certitude de t'aimer jusqu'à ce que la mort me rattrape ... Je souris, et c'est à mon tour de te tourner le dos. Parce que je dois avancer.. Avec ou sans toi, je te jure de ne jamais t'oublier.. Je t'aime.. Je ne peux pas m'empêcher d'attendre encore un peu sur le trottoir de ce carrefour , où nos deux mondes se sont rencontrés.. Et qui sait se qui peut en revenir..

samedi 19 mai 2012

Chapitre 165 - Tu n'assumes même pas se que tu dis dans mon dos, et tu oses venir me dire de douce parole. Maintenant , tu disparaît .





La douleur est temporaire : qu'elle dure une minute , une heure , un jour ou même une année peu importe, elle finira toujours pas s'estomper . En revanche si l'on abandonne , elle ne s'effacera jamais.

Vanessa Carlton


Je ne lâcherais pas , c'est ça que je veux .. Jusqu'à la fin de mes jours. Je veux en faire ma vie. Savoir où est le bonheur mais ne pas pouvoir l'atteindre , c'est comme un mirage pour un voyageur désespérer .. Transforme-toi en miracle..

Chapitre 164 - 280km/h


Vous savez se que sa représente une moto ? Une accélération plus puissante , plus poussés qu'une voiture , on multiplie par cinq la puissance , par quatre le risque d'en mourir , par douze le risque d'accident . 280km/h , autrement dit 77 mètres à la secondes. Un crash , un cailloux de trop , une mouche qui s'ennuie sur le bord de la route .. Et c'est vous qu'on reprend en pièce détacher . Celle-ci ? C'est une Triumph Daytona 675 R , elle passe du 0 à 100 plus vite qu'un poke de ta copine sur facebook , ou qu'un téléchargement illégal sur Utorrent , si c'était la pluie , elle arriverait avant même que les nuages ne soient là.

280 km/h le corps dans sa chute est projeté sur plus de 200 mètres , le choc brise les côtes en premier , puis le bras , l'avant bras .. Et surtout à une vitesse aussi proche des 300km/h casque ou pas casque c'est pire qu'un gamin qui tire au lance pierre contre un tireur d'élite embusquer . En avoir un ou non sa change rien. La tête choque le casque , contusion , choc cérébrales .

Une voiture qui vous percute à 35 km/h vous avez 70% de chance de vous en sortir , et on entend "chance" , le temps de réaction. A 50km/h , vous êtes à 35% , 90 vous êtes en dessous de la barre des 15.. Alors 280km/h..

De toute façon sa va bien trop vite , le monde devient petit , la vision s'affine , on ne voit plus que la sortie d'un tunnel lumineux , le moteur qui hurle à la mort d'envoyer encore plus de vitesse.. Le vent qui effleure le casque avec une force sans pareille. La sensation de vitesse est à son maximum .. Dix petites secondes à 280km/h et vous avez déjà fait plus de 700 mètres.

J'ai dû mal à croire à tout ça.. Tout les risques que l'on peut prendre en dehors de la moto , dans la vie quotidienne , mais c'est cette sensation qui est la plus dingue . De se sentir plus en vie qu'à d'autre moment . L'adrénaline qui va directement dans le coeur , et qui l'envoie à tout les muscles en un quart de demie seconde, pour permettre de réagir encore plus vite .. Cette dose d'adrénaline , ce tremblement , cette peur , la peur de vivre et de mourir .. De savoir qu'à une vitesse pareille , un rien fait basculer l'engin, faisant basculer votre statut de vie à trépas .




L'adrénaline c'est juste la façon à ton corps de te dire que tu es en vie. Plus tu prends de risque , plus tu mets ta vie en jeu , plus tu te rapproches de la mort , tu joues un jeu dangereux, pire que le feu . Mais en te rapprochant de la mort tu t'approches irrémédiablement de la vie . Parce qu'en prenant des risques tu te rends compte de se que tu peux perdre . Et ça, pour moi c'est ma façon de vivre .

[Nicky Hayden]

Chapitre 163 - Stagg




Parce que, quelques fois , sa fait du bien après une dure journée de fermer la porte à clé et d'aller directement se jeter dans son lit encore tout habiller en ayant la fainéantise d'en ressortir. Il faut savoir apprécier les petits plaisirs. 

mercredi 16 mai 2012

Chapitre 162 - Tu est la raison de mon sourire , et le pourquoi de mes larmes.

L'humour est un masque fragile. N'en usez pas de trop , soyez sérieux et pourtant prétentieux de petit jeux , osez sans vraiment trop l'être , un mélange équilibré , une balance de vertu , ni trop lourde ni trop légère . Rire de tout mais pas avec n'importe qui ni n'importe quand. L'important dans l'humour. C'est le sourire , c'est un message universel , tout le monde sait se qu'il signifie, il n'a ni frontière ni limite. Mais en connaissance de cause n'en abusez pas non plus , ici la limite entre bonheur & folie est parfois mince.

Chapitre 161 - CB.


- J'aime quand tu es grossière.

-
 Tu aimes juste qu'une fille te parle.

- En fait je préfère quand elles ne parlent pas.

Chapitre 160 - Alfred Camus


Il faut rêver très haut pour ne pas réaliser trop bas. Car toutes les vérités sont bonnes à dire, mais c'est nous qui ne sommes pas tous bons pour l'entendre.

Chapitre 159 - No interruption



[On ne fait pas ce qu'on veut et cependant on est responsable de ce que l'on est.]

mercredi 9 mai 2012

Chapitre 158 - eyes are just the reflect of our soul


Déstabilisant , angoissant . Il y'a de ses regards qui vous transperces, vous mettant à jours en une fraction de seconde. Faisant tomber le masque aussi rapidement qu'il avait pu se fixer à votre existence. Un regard que ni le mensonge , ni l'illusion ne peut tromper. Un regard plein d’honnêteté. Vous dévoilant, vous mettant à nu. Il sait qui vous êtes et se que vous faites vraiment. On ne cache rien à ce regard parfois abusateur, que l'on pense remplis de dérision et de mépris. Rien ne lui échappe, il est totalement enivrant . Comme un virage qu'on ne s'attendait pas à voir , une sortie de route. Et l'accident. On dit que les yeux sont le reflet de l'âme..


mardi 8 mai 2012

Chapitre 157 - BW/CB


" J'ai détruit la seule personne que j'ai jamais aimé "

" Je t'aime plus, mais il faut bien plus que toi pour détruit Blair Waldorf "

lundi 7 mai 2012

Ensemble c'est tout.

La sensation que tu me manques.. J'avais l'impression de l'avoir perdu .. Pendant cette période de mutisme que j'eus subis. Qu'il est bon de voir que rien n'a changer, que chacun de mes sentiments est resté tels qu'ils l'avaient été. Tout ça, c'est jouissif de plaisir, non pas le fait que tu me manques. Mais le fait que je n'ai plus de difficulté à ressentir se qui avant était étouffer par d’innombrable obstacle. Je n'ai plus peur , je n'ai plus de blocage , je n'ai plus tout ce qui m'empêchait tant de te dire.. Que je t'aime , et que je désire toujours autant t'aimer. Mais je ne force pas à y me comprendre ni même à acquisser, se que je te dis. Très simplement , c'est la vérité , je ne te mens pas , je ne rien de ça , rien de tout ça , je ne veux plus de compliquer , je veux faire simple. Je t'aime et c'est tout. Non ! Je suis amoureux de toi. Alors si tu crois encore en moi , ou en nous.. Tu sais se qu'il te reste à faire, sinon , alors laisse moi disparaître mais je te le jure , mon tendre amour permet moi de te baiser une nouvelle fois les lèvres. Mon corps te réclame , mon coeur hurle de l'envie de te revoir. Laisse moi entendre cette douce et mélodieuse symphonie qu'est le son de ta voix qui traverse mes oreilles et fait naviguer ma tête sur un nuage de plaisir et de sensualité. Si tu savais le plaisir que cela me donne de pouvoir enfin m'écrié de nouveau que je t'aime. J'adorais pouvoir te prendre les mains , te regardant dans les yeux et pouvant avec une voix douce , et assuré te montrer que je ne désir plus que toi. Mon coeur frissonne de peur , j'ai l'impression d'être un enfant qui va pour la première fois avoué son faible pour une fille. Mais moi se n'est pas un faible.. C'est une passion dévorante que j'avais crus éteinte , que je pensais tût par les bourrasques de problème et de tristesse qu'étais devenu mon existence .. Oh oui si tu savais mon tendre et merveilleux amour comme je t'aime.. D'une force , d'une intensité .. Tu me dévores ..   

Chapitre 156 - A Time To Heal







Je venais de terminer ma lecture , j'étais fatigué , mais je continuais de penser à toi. Je m'installais dans mon lit , avec une multitude de question, avez-tu eus une bonne journée ? Que t'étais-il arriver ? Que faisais-tu ? Avais-tu bien dormis ? Comment te sentais-tu ? Avais-tu pensé à moi aujourd'hui ? Parce que moi oui , tu ne me quittes pas même dans les tâches les plus banales , je vois ton visage à chaque recoin que borde mes journées. Comme une bête sauvage , tu me bondis dessus. Mon coeur fait de grand saut quand j'ose me souvenir de ton parfum , une légère brise de liberté, j'imagine les traits de ta peau , se que je m'étais pourtant interdis, j'en dessine le contour , en appuyant sur ton cou , ta peau douce , et légère sous ma main.. Je rêve de ton sourire qui éclaire mes nuits , une obsession , un désir , qui me brûle le corps. Qu'est-tu devenus ? J'ai tant de mal à me imaginer de nouveau ton visage qui se brouille, c'est donc ça les dégâts du temps .. Suis-je entrain de t'oublier ? Et toi m'as tu oublier ? Désir-tu m'oublier ? Parce que moi non, jamais. Je perd le son de ta voix , une voix douce et légère emportée par la brise d'été sous un rayon de soleil , une voix d'enfant pleine de tendresse et d'humilité.. Je te cherche , sans te trouver dans un brouillard qui devient de plus en plus épais.



 Tu es la fille qui m'a désarmée en un regard. La fille que j'aurais suivi à l'aube jusqu'au bout du monde , jusqu'au bout du temps . Très simplement je me serais levé et je l'aurais suivis , le reste n'aurait plus existé d'un coup comme disparu. 

Chapitre 155 - Cherry Blossom




Il ne m'a pas regardée. Il ne m'a pas souri. Il a continué à fumer sa cigarette et son regard s'est perdu loin, très loin , ailleurs, et j'ai songé qu'il ressemblait terriblement à l'homme que j'avais gardé en mémoire qui s'était approché très près de moi mais dont je m'étais parfois demandé si je ne l'avais pas rêvé, je veux dire inventé. L'homme dont la voix, le regard, m'avaient obsédée des nuits entières tandis que ses traits lentement s'effaçaient, alors que j'aurais tant voulu les conserver en moi,l'homme dont les mains et les yeux, toute une nuit de fête, n'avaient cessé de me frôler, de me signifier leur désir, puis s'étaient tus, inexplicablement, m'abandonnant au silence. Oui, en voyant son regard brusquement si lointain, je me suis dit qu'il faisait partie de ces êtres dont on pense parfois avoir saisi quelque chose et dont, l'instant d'après, on ne sait plus rien, et que c'est peut-être ce que j'aimais chez lui, ce mystère, cette liberté qui émanaient de lui. J'aurais aimé le retenir.

Chapitre 154 - The Gate



" Oh non , tu étais bien plus que ça , tu étais l'amour de ma vie . "
" Signe ses papiers et je prend le premier vol pour New-York , je disparaît "
" Superbe ! Enfin , je signe toute suite. "
" Mais tu as beau me traiter de monstre , et me diabolisé tu n'es sûr de rien . Peut-être que je suis encore l'amour de ta vie, penses-y .."

*Les portes de l'ascenseur se renferme*


Des tonnes de possibilités , de choix qui s'entremêlent jour après jour. Oui , non , beaucoup de choix , avec tout un lot de conséquence qui bouleversent , tracassent , et changent le cour des choses. La vie est faite d'un nombre incalculable de possibilité à tel point qu'il faut laisser entre ouverte chacune des portes qui mènent à tant de choix . J'ai appris avec le temps, non , tu m'as appris avec le temps . A ne surtout pas fermer celle de l'espérance.
Chacune des portes que l'on décide de fermer et une opportunité à quelque chose qui se clos , s'éteint comme une faible flamme de bougie . 


La vérité c'est qu'une seule peut nous bouleverser à jamais.. Celle de l'espérance. Parce qu'elle peut faire surgir n'importe quelles surprises de n'importe où et n'importe quand.
Autant tenter d'ouvrir un maximum de porte.. Parce qu'avec autant de choix , et de possibilité il ne faut pas oublier , que la vie, elle n'est qu'un cadeau à moitié recouvert.



Ouvre , une porte, cette porte.

dimanche 6 mai 2012

Chapitre 153 - L'enfer est maintenant derrière. Je veux entendre ton rire se perdre dans le vent de l'été





C'est dur quelquefois , de dire des choses qui par le passé se disait aussi simplement , et sans inconvénient. Les gens ne changent pas , ils évoluent , mais restent toujours se qu'ils sont . Ils restent se qu'ils sont, sa ne change pas , rien ne change , le monde tourne mais ne change pas de sens. Comme le soleil qui brille , ou les nuages qui naviguent dans le ciel. J'étais avec le temps devenu , presque insensible , tant de douleur , de dégoût , de haine. Que mon corps avait prit la décision sans me demander, de me protéger . De ne plus rien ressentir , et aussi de ne plus rien comprendre. Je n'étais pas moi-même, je n'étais pas moi. Je ne me reconnaissais pas. Je ne comprenais pas. Je me persuadais que ce n'était qu'une mauvaise passe. Mais le temps passé et rien ne changeait .. Indirectement je gardais tout pour moi , mes joies comme mes souffrances. Je ne partageais que quelques sourires volés à la dérobée d'une conversation ou de quelques dialogues. Je ne voulais pas , je ne voulais plus parler de moi , ni de mes problèmes , ni de mes rêves . Mes désirs ne m'intéressaient plus. Je trouvais tout ennuyant. Lassant , je perdais goût à tout se que j'aimais. Je n'appréciais plus rien, toutes les émotions de mes derniers évènements m'étaient enlever , comme un voleur invisible , attrapant mes sentiments avant l'entrée de mon coeur , une forteresse bien plus grande et plus lourde que chacune des plaques de métal qui un jour joncheront mon corps pour me permettre de vivre. Je n'ai pas peur de la mort, ni de se qui s'en suis.. En vérité j'ai peur de finir seul , seul sans les personnes que j'aime, je n'accepte pas d'être balayé comme ça. Que soudain mon existence ai disparu plus vite qu'une inspiration, mais je ne veux pas non plus qu'on me garde en mémoire. J'ai compris que je gardais en moi tellement de chose et de douleur parce qu'un soir.. J'ai craqué , j'ai pleurer sans raison apparente , j'ai pleuré , pleuré , pleuré sans m'arrêter sans même pouvoir respirer . J'ai hurlé de douleur comme si je revenais à la vie et que toutes les douleurs et les souffrances revenaient à la surface. J'ai pleuré sans m'arrêtait jusqu'au bout de la nuit , je n'ai pas cessé .. Pas une seule fois , j'ai compris à ce moment que je gardais en moi beaucoup trop de chose , beaucoup trop de douleur , mais surtout je voulais être avec toi , rien qu'avec toi , jusqu'à la fin de ma vie .. J'ai été persuadé comme jamais je ne l'ai étais de ma vie que c'était toi , personne d'autre , que je ne nécessité rien de plus , rien de moins que toi dans ma vie.. J'ai pleuré , j'ai continué de pleuré jusqu'à ne plus pouvoir , jusqu'à en avoir mal à la gorge et à la tête .. J'hurlais d'une souffrance qui s'était gardée depuis bien trop longtemps en moi. Tout ce temps , passé , à garder mes cicatrices.. Je sortais la tête de l'eau . J'agonisais et pourtant je me sentais vivre , vivre d'une brûlure et d'une force encore jamais senti , entre joie & souffrance .. J'aurais voulus t'avoir près de moi , dans mon lit , sentir ta chaleur contre mon corps , t'entendre me dire que tout irait bien à présent , que tu serais là , qu'il n'y avait plus à s'inquiété de quoi que ce soit , j'aurais voulus que tu me sers de toutes tes forces contre moi , que je puisse sentir que tu es présente avec moi. Que tu es là pour moi, et que j'affronterais cet obstacle avec toi. Je revenais à la vie , et revenais aussi mes priorités, tu en étais .. Pardon tu en es la première. J'aurais tant voulus m'accrocher à toi, sentir ton souffle sur mon cou , sentir tes mains caressant mon corps .. Savoir que tu n'étais pas une illusion , ni un rêve .. Je comprenais alors tout , j'avais enfermer , on m'avait enfermer mes sentiments , et sur une explosion , un sentiment de trop , un ressenti , un souvenir , tout avait éclaté , une bombe à retardement , j'ai ressentis en une seule nuit toute la douleur que j'avais consommé en silence pendant de long mois .. Tout ce brouillard autour de moi , cette nuit de terreur , venait de disparaître , pour me laisser apercevoir ton visage .. J'ai soudainement et absolument tout compris, une nuit si importante .. elle m'avait permis de me remettre dans le droit chemin , sur le chemin dans lequel je me sens bien , je me sens exister , je me sens être moi. J'en suis certain , tout ses mois de doutes , d'incompréhension , tout ça , tout s'est effacer .. Je peux enfin dire que je n'ai pas changé et que je suis rester le même , j'en étais sûr , j'étais certain d'y arriver . Je l'ai toujours su.. J'ai enfin fini mon combat contre moi-même , contre ma haine envers se que je suis et se que je représentais , j'étais en accord avec moi. C'était terminer .. Je m'étais accepté tel que j'étais , je pleurais à cet instant de joie , tout ses mois à être quelqu'un que je ne reconnaissais pas moi-même, mes réactions m'échappaient , je ne savais plus qui j'étais et pourquoi je devais exister .. Je ne comprenais ni le sens de ma vie ni le pourquoi. Et voici enfin que je vois la lumière au bout de ce tunnel. C'était enfin terminer . Je m'étais combattus et j'avais gagné .. Une très très grande victoire pour moi .. Je n'ai pas changé , et je ne changerais pas je suis rester le même , au plus profond de mon coeur , j'en étais certain..




C'est alors que j'ai réouvert les yeux , les larmes commençant à sécher , j'ai vus que tu n'étais pas là avec moi , que j'étais seul , que j'avais étais seul dans ce combat , seul dans mon lit froid et devenu inconnu à mesure que j'eu pleuré. Tu m'avais dis par le passé que tu serais là pour moi , mais jamais tu ne m'as prévenu que je serais seul. La lumière d'un lampadaire éclairant ma chambre , faisant briller mon miroir , étincelant mon plafond .. j'imaginais ta tête , ton visage , tes cheveux étaler sur l'un de ses oreiller .. Et j'ai pleuré , pleuré .. Si tu savais comme j'aurais voulus que tu sois là , comme j'aurais voulus que tu vois que je m'en étais sorti , et que j'étais de nouveau moi-même le maître à bord de mon destin.. J'aurais tellement voulus que l'on fête ça à notre manière ensemble.. Mais j'étais seul , le temps m'avait enlever ma vénus .. d'argent.. Alors j'ai pleuré pleuré .. jusqu'à m'en effondrer de sommeil.. C'était peut être ça le prix à payer ...




" Comment fait la vie pour prendre et donner en même temps ? "

samedi 5 mai 2012

Chapitre 152 - PCC




Tu me manques.. Je pourrais faire de long texte , de belles phrases , mais tout ça ne reviendrai qu'au même point. Tu me manques. Ton absence me ruine. Tu te rappelles ses gens , qui nous disait que nous étions inséparable , un genre de modèle , un exemple. Moi je m'en souviens , j'en ai certain qui me parle encore. Tout ses moments à nous dire que nous étions un rêve ambulant , avec des sourires et de la joie en permanence , un idéal , un objectif pour les autres; nous étions leurs soi-disant accomplissement. Ils y croyaient , de toutes leurs forces, nous leurs donnions espoir s'en même s'en rendre compte. Et maintenant ces gens qui nous disait inséparable , formidable , exemplaire , un modèle à suivre, sont exactement les mêmes qui nous disent , que nous nous en remettrons , que c'est la vie, qu'il y'a une fin à tout , ces mêmes personnes qui nous voilaient la face à nous imaginer si spéciaux .. Moi je vais te le dire , je n'étais spécial ou extraordinaire que seulement avec toi.. Eux ont perdu espoir. Eux n'y croient plus . Eux le pensent impossible . Eux qui étaient derrières nous , qui nous aider à leurs manières . Eux qui nous aider en nous mentant ou en disant des choses blessantes. Mais c'est à moi que tu manques , c'est moi qui me souvient de tes rires , ou de tes crises de nerf , c'est moi qui était au sommet du bonheur avec toi dans notre lit à nous. J'ai cette certitude de te retrouver un jour.. Et j'ai l'envie et la volonté que ce jour soit ici et maintenant. Parce que peu importe la durée de l'absence de l'être que l'on aime. Elle n'a que trop durée .





John Doe

A vrai dire, il y'a quelque chose dans se que tu me dis , qui me dépasse , tellement cela manque de sens. Si je comprend bien , tu es prête à croire un tas de mensonge pour t'en sortir , oublier tout ça , en faisant semblant d'en tirer un trait. Parce que pour toi, tout ça , n'est plus désormais qu'un boulet qui empêche ta soi-disant progression, se qui est insultant au passage. Tu es prête à te mentir à toi même pour t'en sortir , sa montre bien ta volonté et ta détermination c'est sûr. Tu te voiles la face toute seule et le sachant , tu oublies de savoir que tu te voiles la face. Se qui revient à dire que tu oublies que tu te forces à avaler des tas de mensonge pour t'en sortir. Et c'est à ce moment que tout bloque.
Voilà le paradoxe , l'erreur , l'incompréhension :



Tu te dis prêtes à croire des mensonges si cela te permet de t'en sortir , mais tu refuses d'entendre ou de voir la vérité ?


Chapitre 151 - La vie devient une chose délicieuse [...]




Ecoute moi bien ,la fille qui fera passer tes rêves pour une réalité , tes désirs pour des besoins , tes malheurs pour des moments de bonheur et enfin tes victoires pour des défaites, ne lui brise jamais le coeur. Parce qu'elle brisera ta vie... Mais tu vois ça , c'est qu'ils disent dans les livres et dans les films . En fait le jour où tu repères une fille qui à la capacité de te faire ça , tu l'évites , et tu fais une croix dessus . Parce que en vérité, si jamais elle t'abandonne, la douleur sera tellement monstrueuse qu'elle te tuera sur place. 

Chapitre 150 - It's to sad



Les gens que tu connais vont mourir , moi je vais mourir , ta mère aussi , et on est jamais prêt pour ce genre d'épreuve même moi j'ai jamais réussi a l'être, le mieux qu'on puisse faire maintenant c'est essayer d'y échapper coûte que coûte et de pas se laisser surprendre. J'aimerais avoir quelque chose de mieux à te dire , quelque chose de plus profond.

[The Walking Dead]

Chapitre 149 - Puisqu'il faut vivre.




Certaines périodes , sont plus difficiles que d'autres , parce que nous sommes dépourvus et pris de surprise par un malheureux évènements qui nous saute au cou , comme un prédateur s'attaquant sur sa proie , s'acharnant dessus. L'effet de surprise est alors au summum. Désemparé , déséquilibrer , nous nous sentons happé par ce vide , le sol disparaît sous nos pieds, nous perdons chacun de nos sens , d'abord la vue , puis l'ouïe .. Nous en venons à oublier de penser . Pris en traître. Des obstacles qui ne cessent de devenir de plus en plus difficile , avec une marche lente et pourtant assurer , nous avançons chacun à notre manière sur un terrain qui ne se dévoile qu'une fois le dos au mur. On nous demande d'agir tout en réfléchissant .. Fermer les yeux et les laisser ouvert.

Mais j'ai la conviction intime que tout se passera bien maintenant , je ne peux pas le justifier , ni l'expliquer , mais je peux le sentir , le comprendre. Je suis en paix avec moi-même , en harmonie avec mon corps et mon esprit. Une symbiose parfaite, qui me fait dire que je pourrais accepter les prochains obstacles et même les dépasser. Peut-être que tout ça ne sont que des espoirs; nous sommes faits de tel sorte , que même en enfer , avec le sol qui brûle sous nos pieds , nous avons cette capacité d'espérer, et quelquefois , elle nous sauve la vie , nous relève , pour nous faire repartir de plus bel dans cette grande aventure, un coup de pied au fesse , un nouveau souffle .. Une nouvelle chance , on lui donne beaucoup de nom .. Mais elle sauve ceux qui sont dans la difficulté ou qui renonce à ce battre dans les profondeurs de leurs êtres. Moi, je ne suis qu'une personne comme une autre, une goutte d'eau dans un océan , je ne sais pas de quoi sera fait demain, ni même comment devrais-je m'y préparer.. Mais j'ai la satisfaction de savoir que tout ira bien, alors qu'on me laisse rêver , qu'on me laisse vivre..


" Comment la vie fait-elle , pour prendre et donner à la fois.. "

Chapitre 148 - Victory loves preparation



Le chemin qui mène au bonheur demande parfois de renoncer à la facilité.

Chapitre 147 - Dodge Challenger



Car seul les moments de bonheur méritent que l'on s'en souviennent . Sourire à la vie, rire à la mort.

Chapitre 146 - On a enfin compris notre monde part aussi loin et en vient à se torturer lui même, on lui a même donner un nom : la femme



Non ! Surtout ne contre dis jamais une femme ! Attend qu'elle le fasse elle-même.

jeudi 3 mai 2012

Chapitre 145 - L'effet que tu me fais, me rends dingue


Ma seule déception , mon seul regret , ma seule douleur . Bien plus dramatique qu'une dépendance. Le temps m'en empêche , mes rêves me relèvent , la réalité me rabaisse. Tout me démange , me dérange. Enlevez moi tout , retirez moi chacune des choses que vous voulez , détruisez se qui vous plaît , brûler , déchirer , mais par pitié , je vous en conjure , je vous supplie prenez se que vous voulez , mais jamais ça. J'ai trop peur de vivre sans. Il me hante , j'y arriverais un jour. Je le jure . Ma faiblesse deviendra de nouveau ma force, c'est l'oeuvre , l'oeuvre de ma vie.

La boite à souvenir n°1

Je dansais dans cette sombre nuit d'été. Me cachant de mes plaisirs malicieux. N'aimant être vu que de la lune et de sa clarté, mais soudain un bruit surgis celui ci me fis arrêter. C'était le cri fougueux de la peine ombre. Elle était aussi avec moi, elle ricanait de mes pas incessant commentant mes gestes et mes mouvements , me voici seul face à cette boule blanche tel une pelote de laine sans un fil qui dépasse. Plus lumineuse qu'un millier de lampes réunies. Des nuits comme celle ci , de ma vie je n'en passerais qu'une , en compagnie de ma cher lune.


[Ecrit il y'a 444 jours]

Chapitre 144 - On oublie personne , on s'habitue à l'absence voilà tout


Les grands moments de notre vie ne sont pas toujours immédiatement perceptibles: il peut arriver qu'on en mesure l'importance sur-le-champ; mais il arrive aussi qu'ils surgissent du passé , bien des années plus tard. Il en va peut être de même avec les gens..

James Salter

mercredi 2 mai 2012

Chapitre 143 - J'ai la conviction éternelle de t'appartenir ... à Jamais.


Tout n'est pas aussi simple , non à vrai dire rien n'est simple , ni la fuite du temps , ni le sentiment d'incompréhension qui nous lie quand nous voyons des gens que nous connaissions devenir, des personnes totalement inconnus . La peur nous envahie , c'est un retour à la réalité , une réalité difficile , qui ne cesse de nous rappeler que nous ne savons rien ou peu de chose. J'ai appris que le vrai bonheur , est de continuer à vouloir quelque chose que l'on possède déjà .. Alors non , je ne vais pas mentir , je ne vais pas porter de masque , parce que je ne tiens pas à devoir jouer un rôle qui n'est pas le miens. Tu me manques , mes jours sont vides de sens , et mes nuits sont sombres de rêve , tu étais ma plus grande fierté , ma victoire , mes plus beaux rêves jamais idéalisés , c'est si difficile de ne rien dire , et de ne rien faire paraître , personne ne nous y force et pourtant; les sentiments scellés au plus profond de nous mêmes nous deviennes à leurs tours interdit d'accès, nous devons étranger à nous-mêmes , nous devons notre propre ombre , notre vie est détruite parce qu'on nous a détruit notre raison d'être . C'est si dure crois-moi , de devoir garder la tête haute quand notre monde à nous se détruit pendant que le monde en général lui ne cesse de tourner , sa course inéluctable de la vie .. Alors on s'écroule sur un tas de ruine , un champs de mine , où chaque pas vers la rédemption est une explosion de souvenir, et de joie bercée dans une valse mélancolique de la nostalgie .. Tu étais mon espérance , quand je traversais de sombre moment , je fermais les yeux et je me disais que tout allait bien se passer , parce que je nous voyais déjà réuni ensemble , heureux , le sourire aux lèvres. Mais maintenant que tu n'es plus .. Si j'ose fermer les yeux , je vois .. Le noir , un noir si sombre et si terrifiant qu'aucun de mes souvenirs ni once de mon imagination ne peut naître .. J'y vois la fin , la fin de se que j'étais, et je ne représente quelque chose , que seulement parce que tu es à mes côtés.
Je fuyais mon passé , en tentant de vivre mon présent , alors que j'avais sous les yeux mon plus beau avenir qui puisse m'être offert à ce jour. Tu manques à ma vie , tu me manques à chaque seconde que l'aiguille d'une horloge peut le permettre, c'était toi , c'était moi , c'était nous.. C'est en toi que je fondais mes projets , je misais tout sur toi.. Alors putain.. Reviens , reviens-moi.. Je crève de ton absence .. Pourquoi tu n'arrives pas à le voir , ni à le comprendre depuis le temps.. Oublie les faux dires ,oublie ce rôle, ce masque se n'est , et sa n'a jamais était moi , je te parle, comme jamais je ne pourrais être plus honnête , je t'aime et je t'ai toujours aimer , je regrette tellement , reviens , si tu crois en moi , si tu crois encore en nous , je t'en prie , ne ferme pas la porte à l'espérance , et laisse moi te prouver que les miracles existent.