samedi 29 juin 2013

Chapitre 389 - Patience is good when you love someone.




Je me rappelle avoir écrit un article , que je ne retrouve décidément plus , entre les 389 que j'ai écrit et les 427 autres brouillons .. Finalement ce n'est pas si important que ça.. Puisque de tout façon ce que nous n'apprenons pas de nos erreurs et voué à être une nouvelle fois recommencer. J'ai honte , j'ai un gout amer dans la bouche , les lèvres sèches , les yeux humides. Mais contrairement à l'année dernière , et d'il y a deux ans. Cette fois , je n'ai pas envie de me morfondre. Oh non , j'ai envie de rire , de rire de moi , cette autocritique que seul l’être humain est capable de faire , se moquer de lui même; j'étais déçu de moi même , pas assez prévenant , et pourtant j'étais pitoyablement amusant , trois fois , trois fois que je fais la même erreur.. Mes yeux me piquent , ma gorge est sèche.. Voilà la cinquième promesse , de toute ma vie que je brise..


L'important avec les promesses ce n'est pas le nombre de celle que vous avez pu tenir , mais le nombre que vous n'avez pas pu tenir. Les promesses n'engagent que celui qui y croit. Et c'était la dernière fois où je pouvais encore la tenir..



vendredi 28 juin 2013

Chapitre 388 - Les personnes les plus importantes ne sont pas les plus connus.



 " Après 12 ans de carrière en Formule 1, Mark Webber a annoncé qu’il raccrocherait à la fin de la saison. Il a signé chez Porsche, avec qui il disputera les prochaines 24 Heures du Mans en LMP1.
De Minardi à Red Bull en passant par Jaguar et Williams, Mark Webber a engrangé à ce jour en F1 9 victoires, 36 podiums et 11 pole positions, soit l’un des plus beaux palmarès du plateau derrière ceux des champions du monde. Devenu très vite une valeur sûre du paddock grâce à sa pointe de vitesse et à sa pugnacité, il aura notamment accompagné la montée en puissance de Red Bull, devenue en quelques années le top team hégémonique l’on connaît. Sans doute excédé par les privilèges du petit prince Vettel qui l’a rejoint dans l’écurie autrichienne en 2009, le grand Australien, vétéran du paddock du haut de ses 36 ans, annonce aujourd’hui qu’il passera la main à la fin de la saison.
« Je réalise que la F1 est perçue comme le sommet du sport automobile et que j’ai travaillé avec des personnes incroyables, en particulier Adrian Newey, confie Mark Webber dans une interview publiée sur son site Web. J’ai conduit dans les conditions les plus éprouvantes sur les circuits les plus difficiles et contre des pilotes fantastiques, ce que je continuerai à faire jusqu’à la fin de l’année. Est-ce que cela me manquera ? Oui, bien sûr, mais le temps passe et le moment est venu de me tourner vers un nouveau défi. » "



.. Je n'y crois pas. C'est pas possible. Qu'on me dise que c'est un mauvais reve , qu'on me rassure , que ce ne soit pas vrai , que non , le patriarche de la F1 ne va pas partir. Pas mon pilote préféré .. Je vais pas le supporter.. Le symbole même de la persévérance , du travail , de la confiance , et surtout de l'amélioration et des surprises absolument titanesque qui m'ont fait trembler devant mon écran de télé comme un enfant à qui on annonce que l'on part à Disney Land. C'est faux. Je ne m'en relèverai pas. Ce type est dingue , il est fait pour la F1 , de la tete jusqu'au pied son corps résonne l'appel de la F1. Bordel présent depuis longtemps , un simple fils de pute qui n'est dans l'équipe que depuis 4 ans , réussi à faire partir un homme qui pour moi , mérite le surnom de Roi sans couronne II . 

Les meilleurs partent les premiers , maintenant je le sais , d'abord Ayrton Senna , et maintenant Mark Webber . J'ai envie de pleurer , l'enfant en moi a envie de pleurer , l'enfant qui l'a connu chez Minardi , l'a vu exceller chez Williams , et rester solide dans les mauvais moments de Jaguar.. C'est étrange mais c'est en lui que je voyais la plus belle raison de regarder la F1 , puisque lui et les dires et spectacles d'un certain Magic Senna m'avait donné envie à 8 ans de connaitre ce sport. Peut être que Mark voit la F1 comme le sommet du sport automobile , mais c'est parce qu'il y a des pilotes comme lui , qui font le succès , la réussite d'une équipe dans l'ombre qu'il est possible d'aimer autant ce sport. Ça me bousille de devoir dire adieu à ce type et son talent , j'ai l'impression d’être un gosse qui comprend que ce matin à la télé c'est le dernier épisode de son dessin animé préféré..




jeudi 27 juin 2013

Chapitre 387 - I'm not in danger , I am danger.





Pagani Zonda Cinique , V12 , 678ch , 352km/h , 1 554 00 $


L'Italie dans ce qu'elle a de plus beau à offrir.



Qu'il est dur de ce savoir apprécier quelque chose , dont nous savons pertinemment qu'un jour , qu'une nuit , qu'un moment de notre vie viendra au devant de nous , nous assurant la perte de cette même chose. Je n'ai pas envie de lâcher l'affaire , je n'ai pas envie d’arrêter. Mais ce rendre à l'évidence est parfois dur , renoncer n'est jamais un choix , mais bien une obligation. A nous de savoir si il faut s'y tenir , ou continuer. Seul les moments les plus durs , les instants qui poussent la douleur dans ses retranchements , sont l'ultime démarquement , l'unique instant où la différence ce fait , entre un perdant , et un vainqueur. Entre un échec et une réussite. Là seul , est la preuve de la persévérance la plus haute , la plus élogieuse , la plus puissante , la plus présente , la plus solide. C'est en dépassant les douleurs , les hontes , les fiertés ,  les conséquences , le refus même d'accepter l'évidence de la fin .. Qu'une personne atteint le droit d'avoir tout tenter. On ne tente malheureusement pas tout avec des paroles. Voilà pourquoi je m’arrête ici.



lundi 24 juin 2013

Chapitre 386 - Wake up , and good morning.



" C'est quand je te vois comme ça , ici , avec moi , que je sais que mes efforts serviraient à quelque chose. Je me suis toujours demandé ce que je ferai plus tard , et ce que je ferai quand je n'aurai plus l'idée et l'envie d'avancer et de découvrir. J'ai toujours eu peur de l'inconnu , et des choses que je ne contrôlais pas. Mais j'ai quand même tenté , quelquefois le résultat était surprenant , et d'autres fois , totalement chaotique. Je n'ai jamais eu la stabilité que je voulais dans ma vie. Ce que je savais alors , la seule chose dont j'étais persuadé , était de savoir qu'un jour mes efforts , mon envie , ma détermination , mes cris silencieux de souffrance pour ce que je voulais , tout ses jours pluvieux à réfléchir à 35 façons de m'en sortir , allez payer. Mais jamais je n'aurai cru un seul instant , que t'avoir auprès de moi allez pouvoir suffir  à me rendre aussi content de moi. Te voir , voir ton visage en ouvrant les yeux , à l'aurore , est la chose la plus belle , la plus rassurante que je n'ai jamais vu de ma vie. Et pourtant j'en ai vu des choses. Mais alors ça.. Quand il m'arrive de douter , d'avoir peur , et de ne pas être certain de pouvoir réussir , que je me couche plein de doute , qu'enfin le levé sonne le clarion d'une journée nouvelle , et que je vois , que tu es là , que tu te tiens avec moi , dans ce même lit. Encore en train de dormir , innocente , et épanouie. C'est la preuve même que tout ces nuits , ces douleurs.. Valait le coup. Tout les matins j'ai comme un post it qui me rappelle pourquoi je me bat. Un pense-bête , un magnifique , sublime pense bête. Et c'est toi. Jamais , jamais je n'aurai cru que tu m'offrirai la stabilité dont j'ai tant espéré la venue. Je ne me lasserai pas de te voir. Je puise dans ton regard la force nécessaire pour affronter ma journée. Je vois en toi , alors toutes les raisons du monde , de faire ce que je fais. Et tu vas trouver ça drôlement bizarre , mais depuis , je ne désir qu'une chose , avoir des lendemains , avec toi . Avec toi le futur ne me semble plus incertain. Plus inconnu. Je n'ai plus peur. Tu as fais de moi , quelqu'un de fort , de solide. Et ton visage endormi me rappelle , ce que je protège. Tu ne brilles pas , tu n'es pas de l'or , tu n'es pas rempli de joyau. Mais tu es bien un trésor. Un trésor que j'ai découvert et que je ne veux plus partager. Alors ne me dit pas , s'il te plaît , qu'il n'y a rien de si intéressant et de si spectaculaire chez toi le matin quand tu dors encore. Tout les matins , je ne me lève pas avec une superbe femme à côté de moi  , non c'est bien plus que ça. Chaque matin , j'ai l'opportunité d'apercevoir ma raison de vivre.  Je ne veux pas , je ne veux plus passer un seul des instants de ma vie sans toi.  Ni même aucun matin , aucune nuit. "




Il y a 811 jours.

dimanche 23 juin 2013

Chapitre 385 - It doesn't matter how long you've know her. If she kept you smiling since day one, don't loose her.







Ses yeux , étaient un océan de beauté , une montagne dont le sommet inaccessible n'arrêtait jamais de briller , rendant les étoiles follement jalouses. Ses deux joyaux éclairaient à eux seul l'espace tout entier dans lequel j'osais me perdre en ne souhaitant qu'une chose, ne jamais retrouver mon chemin.

Je la regardais encore , et en riant , puis esquissant un sourire , j'étais certain d'une chose. Le bonheur , le paradis ne sont qu'une seule et unique chose , ce n'est pas un lieu , ce n'est pas un endroit , pas une destination , pas un chemin. Le paradis est une personne. Et cette personne je l'avais sous les yeux.

Chapitre 384 - Favorite Music




Attend , attend , un piano. Un air doux , mélancolique , sur ton amoureux. Nostalgique d'un été. Un magnifique et somptueux piano droit. Une moto. Une BMW . Une BMW R71 de 1943 . C'est trop pour moi. Pardon Jonathan Clay , mais la nostalgie est trop forte. Tu n'es plus ma musique préférer .




samedi 22 juin 2013

Chapitre 383 - Je ne fais pas l'amour , je baise violemment : sale pute.



" Si tu ne fais pas quelque chose pour toi , tu ne feras rien pour les autres. "





" Tu me parles de persévérance , de détermination , de ne jamais s'arrêté . Mais toi même , tu n'es pas sans faille , tu n'es pas dieu , tu n'es pas unique , tu n'es pas parfait , tu n'es pas surpuissant. Des gens te dépassent , et sont bien meilleurs que toi , tu n'y peux rien c'est comme ça ! Tu es exigeant avec les autres et avec toi même. Tu ne peux pas être au top. Tu ne peux pas tout le temps être au top. C'est trop dur , trop dangereux , ça te bouffe , c'est quelque chose d'intenable. Tu veux me faire croire que tu n'as jamais flanché , que tu n'as jamais arrêter , que le mot abandon n'existe pas . Ne me fais pas croire que tu n'as jamais reculé face à un obstacle ! "


" Me dire ça alors qu'on a des doigts de boucherons collés dans le cul qui soit disant empêche d'agir c'est oser. Mais j'aime ça . Je suis comme tout le monde . Bien sûr qu'il m'arrive de ne pas être au top. Mais c'est une raison pour ne pas essayer ? Est-ce que ça suffit à ne pas vouloir devenir meilleur ? Pauvre merde.. Tu penses que je veux devenir meilleur pour toi , pour eux , pour vous ? Espèce de raclure , j'en ai rien à foutre de toi , de ta vie , de ta mère , de ton copine , de ton mec , de tout ça . Que tu crèves ou non demain , ou même sous mes yeux je m'en moque. Je veux devenir meilleur pour moi. J'exige de moi des choses strictes , des choses que je veux qui se réaliseront. Et elles se réaliseront ! Parce que j'y crois dur comme fer ! T'es là à vouloir me parler de persévérance.. Quand quelque chose t'as échappé des mains t'as pas eu les tripes d'aller la chercher. Quand tu as voulus quelque chose tu ne t'es pas battu pour , et résultat , tu l'as perdu. Et maintenant tu veux venir me balancé ta défaite à la figure parce que tu as trop de haine , d'amertume envers toi même pour osé assumer que t'es pas de taille face à tes exigences ? Moi , MOI , je n'ai pas ce problème , parce que je me dépasse chaque fois qu'il m'est permis de le faire. Tu crois que c'est simple ? Qu'il suffit que je me touche la bite pour que ma vie devienne plus dure ? Tu crois que parce que j'en parle comme ça , c'est aussi direct et rapide ? Petite pute va , tu parles , tu parles , tu me balances des mots , avec une bouche fortement musclé , mais des actes quasi-inexistant avec un corps de lâche. Bien sûr que ça me bouffe , ça me bousille , ça me déchire l'intérieur .. Mais je ne vais pas arrêter , cette douleur est bonne , trop bonne pour que je m'arrête . J'ai besoin de cette douleur , elle est la marque de mon effort , de mes efforts vers ce que je souhaite être et ce que je suis . Je veux être fidèle avec moi-même , dans mes actes comme dans mes paroles. Je ne juge pas la nécessité de devoir prouver aux autres que ce que je dis est vrai. Le temps et les actes me suffissent. Ceux qui , comme toi me disent que je n'assume pas et ne suis pas exceptionnel ne sont que des gens qui ont sombré dans leurs propres défaite. Va te faire foutre : Je suis génial ! Tout le monde est génial à sa manière , avec ce qui lui est propre . Mais ce n'est pas parce que les gens n'ont pas trouvés en eux-même ce qui les rends géniaux que moi aussi , je dois me bridé avec votre saloperie de mare à la merde dans laquelle vous autres vous êtes parfaitement bien , à boire la tasse. T'approches pas de moi à me parler de "persévérance" de " force " , quand tu baisses les bras à la moindre difficulté en te disant dans ta putain de petite tête de raclure de pessimiste que c'est impossible pour toi d'y arriver. Je ne suis pas toi , et je ne le serai jamais ! Je suis trop entêté , trop persévérant , trop dur avec moi même pour oser lâcher le moindre truc de ma vie. Je m'en voudrais jusqu'à la fin de mes jours. Je n'ai jamais abandonné . Jamais , pas même quand le combat était fini , pas même quand je savais d'avance que j'allais perdre , pas même quand on me disait que c'était impossible. Impossible n'est rien , impossible n'est qu'un mot. Et moi , comparé à toi. Je ne m'arrête pas à un mot , à une définition. L'abandon chez moi n'existe pas , seule la mort est pour moi l'ultime stop. Tu ne m'arrêteras pas , tu n'es pas de taille face à moi , tu t'es laissé abusé par tes mots , par des mots , par les gens , par leur regard , par la société , par toute la merde qu'on a bien pu te faire avaler. Ne me regarde pas en larme à vouloir me dire que tu es fort. Tu es faible , tu n'es pas exigeant avec toi même et c'est pour ça que tu finis en missionnaire avec la vie qui te la claque dans le cul , froc baissé , fessée exigé. Quand tu seras plus dur avec toi même , que tu te forceras à faire des choses que tu penses impensable , que tu seras les dents en sang , le corps en feu.. T'oseras ce que tu me fais là. Et oui tu as raison , j'ai déjà reculé face à un obstacle , tout comme toi , mais là où tout change , c'est que toi tu recules pour fuir. Moi pour prendre de l'élan. "


" Répartie de merde. "

vendredi 21 juin 2013

Chapitre 382 - Si tu ne te lèves pas pour quelque chose , tu tomberas pour n'importe quoi. [Malcom X]








Je suis le genre de personne à me battre pour ce que je veux. Véritablement , j'ose tout , et perçois tout ce qu'il me faut pour mener à bien ce que je dois faire. On me prend souvent pour un fou , parce que je bouleverse des choses. La vérité c'est que je les fait avancer. On me prend pour quelqu'un de malade , qui a un problème. Et qui ne connait pas les limites auxquelles on devrait s'arrêter. Sauf que les gens oublient bien trop vite que les limites ne sont pas faite pour être des frontières. Et que mes limites à moi , ne sont pas les vôtre. On me prend pour un fou car je donne la sensation , l'impression de ne pas en avoir . Dois-je en conclure que les limites des autres sont minables comparés aux miennes ? Dois-je aussi comprendre que le risque ne me fait pas peur face à 90% de mon entourage ? Je suis le genre de personne , qui si le bonheur m'était tendu dans une main , avec une Lamborghini Aventador (toujours Aventador , toujours et encore l'Aventador : Celle qui compte.) , je ne l'accepterai pas. Je ne veux pas que ça soit simple .. Vous me comprenez ? Je ne veux pas avoir tout ça gratuitement , parce que si je l'accepte , si j'accepte cette connerie tombée du ciel , je me condamne un jour à me demander si je le mérite vraiment. Mais putain , j'ai pas envie de ça moi. Je veux des récompenses à mes efforts , je ne veux pas être un de ses bons et loyaux fils de pute à attendre son tour. Je veux savoir que les choses que j'ai eu , j'ai , je les mérite. Où est donc la valeur , la profondeur , le sens à tout avoir sans rien mérité. Je veux ce que je mérite. Je veux savoir que je me suis littéralement défoncé comme le tout premier des enculés pour avoir ce que je veux. Je veux regarder cette chose et me dire que ça , je l'ai pas eu grâce à quelqu'un , grâce un objet , grâce à quoi que ce soit d'autre qu'à part moi. Je veux savoir que ça , je l'ai eu par moi, pour moi , et seulement moi. Personne d'autre. Aucunement question de fierté. Juste une question de respect de moi-même. Si j'ai des choses qui me sont importantes , il est de mon devoir de me battre pour elle , et chaque jour , pas quand il le faut , ou au dernier moment. Chaque jour , chaque seconde. Je me bat pour ce que je veux; Et je mérite toujours ce que j'ai. Si je souffre , c'est que je mérite de souffrir parce que je ne me suis pas assez battu. Et j'ai cette petite voix dans ma tête qui me harcèle : " Pas assez " " Minable " "Il manque quelque chose " " Encore " qui me pousse me pousse et me pousse. Jusqu'à m'en tué , m'en bousillé . Mais je dois le faire. Parce que c'est ce que je suis , parce que rien n'est gratuit et que tout se paie. Si je veux quelque chose , il faut que je sois capable d'avoir la volonté de le faire , et de me déchirer pour ce que je veux; Je ne veux rendre de compte à personne. Et même si cette manière n'est pas la meilleure , elle a le mérite de ne pas être celle de l'habitude que certain ose. Qu'ils crèvent tous , ces merdes à avoir peur au point de ne rien faire , de flipper et de se dire qu'ils profitent de la vie. Je baise allègrement cette génération faite de pute et de cas sociaux qui pensent que tout va leur tombé dans les bras et qui critique notre génération à nous sans savoir qui l'a soulevée. Cette bande de mineur qui veulent vivre une soirée à la projet X en ayant la tête d'un Slovaque atteint d'une leucémie de 18 ans , phase 3. J'emmerde leur petit cul rempli de foutre , ses salopes qui baisent à en crever , ses enfants de putain qui pensent vivre en payant un vingt grammes de shit , et se faire un rail de C. On ne mérite que ce que l'on mérite. C'est la dure règle. Que personne ne s'étonne de ce qu'il lui arrive. Nous avons l'occasion à chaque journée , chaque seconde de pouvoir changer radicalement qui nous sommes , et qui nous serons. Qu'on ne vienne pas dire que c'est la faute des autres , ou d'une société devenu trop égoïste quand on ose à peine regarder sa vieille gueule en face du miroir. Quand tout le monde se battra proportionnellement à leurs exigences , le monde sera nouveau. En attendant tout le monde veut réussir , personne ne veut souffrir. Tout le monde veut être riche , mais personne ne veut travailler. Tout le monde veut rêver mais personne ne s'en donne les moyens. Vous dites que la facilité c'est le choix des faibles , l'inaction est le choix des fou. Je crèverai un jour , mais je compte bien faire valoir dix fois ma vie à la vie de ses esclaves. Je crèverai d'avoir trop osé , d'avoir trop tenter , d'avoir trop essayé . Mais jamais le cul dans un canapé à me gratté la paire de couille en attendant ce que les gens appellent le bonheur. Il y a deux types de personnes , celles qui trouvent des excuses et celles qui agissent. Et vous voyez , je ne suis pas là pour vous trouver des excuses. Mais si j'ai l'occasion de pouvoir humilié violemment ce genre de personne , je n'hésiterai pas. A quoi bon vivre si l'on ose à peine respirer. Des gens se battent en ce moment même , et je suis bien trop déterminé pour attendre que quelqu'un vienne me lire pour que je fasse quelque chose. Qu'on embrasse mon petit d’optimiste à la con. 





JE VOIS DES HUMAINS. MAIS PAS D’HUMANITÉ. 


" Ah non me dit pas ça , je connais ce genre de discussion. Les embrouilles à cause des filles , c'est comme les trans Brésilien tu sais jamais à quoi t'attendre. "

jeudi 20 juin 2013

Chapitre 381 - On ne peut pas dire que l'on s'est battu pour quelque chose , sans en pleurer , saigné , hurler , en vouloir , agir et surtout finalement : Y croire.






On ne le répétera jamais assez , mais qu'il est bon dans un monde où tout change , où la transparence et le mensonge , où l'illusion du vivant avec l'imminence de l'insouciance se marie ensemble dans une alliance parfaite , imperceptible. Qu'il est bon , que c'est agréable , malgré ces changements , qui nous font vaciller comme des bateaux dans la tempête , vague après vague dans une mer tumultueuse qui reste à craindre. Cette sensation d'être chez soi , d'être là où il faut être. C'est ce que nous offre ces choses qui défient le temps , insulte l'époque , insensible à la mémoire qui se veut imparfaite et au temps qui sélectionne ce que l'on garde de ce que l'on oublie. Ces choses qui ne changent pas , qui à travers , l'amour , la réussite , l'échec , l'espoir , la honte , la haine , la peur , la tentation sont inchangées; ces choses qui quoi qu'ils se passent , nous attirent à elle , comme si une nouvelle fois , nous avions besoin du passé pour avancé. Ces quelques fragments de nous , qui peut importe le temps , l'endroit , jurons au plus profond de nous même de revenir dessus à un ou plusieurs moments de notre vie. Parce qu'il est impossible du contraire. Parce que ces choses , sont les piliers de notre monde , et sont les bases de demain. C'est bien , c'est beau , nous avons encore des choses à perdre. Et d'autres à acquérir.



Mercredi 25 Avril 2012 : Chapitre 141 - Abracadabra
Le défi du magicien.

  

mercredi 19 juin 2013

Chapitre 380 - " La seule différence entre toi et eux , c'est la manière dont tu vas crever. " " Que je réussisse ma vie , et on parlera de la mort. "




Le futur fait encore peur à bien trop de gens pour des raisons qui sont toutes plus pitoyables les une que les autres. On a peur de ce qu'il peut arriver. De ce qu'il peut venir , ou revenir. Alors la peur suffit-elle à autant de chose ? Se dire de ne vivre que aujourd'hui et tant pis pour demain c'est déjà prévoir le lendemain. Parce que les pas que vous faites aujourd'hui sont des pas en moins pour demain. Le chemin parcouru ne trouve sa fierté non pas dans sa longueur , ni dans sa difficulté mais dans ce qu'à l'arrivée il apporte. Que l'on ne dégaine pas l'arme avant un combat ne révèle pas d'une grande intelligence , mais ne pas en avoir suscite la folie. La folie destructrice , car celui qui se refuse à son futur , s'ignore dans le présent et condamne le passé à devenir futur. L'histoire ne fait avancer que ceux qui osent prendre des risques. Les autres quant à eux , se font passé pour des flemmards , ou des personnes faussement perdu , sachant pertinemment ce qu'elles devraient faire. Mais voulant flatter leurs égaux , leurs amours propres , afin de se satisfaire de ce qu'elles ont , mais plutôt de l'idée de ce qu'elles ont et qu'elles n'ont pas. Baignant dans un délire de merde à moitié sociétale rendant l'aujourd'hui plus déplorable que l'hier. Il n'y a en réalité que les fou qui ne vivent pas . On ne demande à personne de préparer un futur incertain , qui se modifie joue après jour , seconde après seconde. Mais ne pas accepter sa venu , c'est se refuser à l'opportunité de quelque chose qui rendra plus solide , meilleur , qui ne enseignera les leçons qu'aujourd'hui trop de gens se refusent à apprendre. Je n'ai jamais demandé à personne de tout savoir , et de rendre compte des connaissances acquises outre le fait d'outre-passé celui de l'enseignement scolaire. Mais le bonheur ne réside pas dans l'ignorance , l'amélioration non plus. Devenir meilleur n'est pas un choix , ni une possibilité , c'est un ordre. Le futur fait peur pour une seule chose , celui de ne pas savoir ce qu'il réserve , parce qu'ayant trop peur de demain , on ne se pense pas de taille à pouvoir affronter la vague , alors que la tempête est en nous-même. Qu'on ne me dise pas que vous profitez de chaque seconde offerte , du présent , du moment. C'est faux , vous essayez tous à votre manière de fuir un passé qui vous hante ou un futur qui vous harcèle . Restez juste fidèle à vous-même et respectez vous , dans un monde où le mensonge , l'illusion ont la main mise sur des personnes qui se refusent au risque , en croyant que l'adolescence est l'âge où tout est possible , tout est possible , n'importe où , n'importe quand , à n'importe quels âges . La loi du carpe-diem ne permet pas de tout faire , mais prône le fait de savoir quoi faire ; quand le faire.

 La vie n'est pas une fuite. C'est une poursuite. A la poursuite de vos rêves. Ayez le cran de vous mettre à la conduite de ceux-ci. Qu'on arrête d'avoir peur. La vie , c'est juste un bon moment à passer.

Chapitre 379 - Briser les règles , bouleverser les codes , détruire les préjugés , effacer les limites. Imposer son propre libre arbitre. Oser vivre à travers ses yeux avant ceux des autres.



" Aller au travail , se marier , avoir des enfants , payer des factures , des impôts , avoir les mêmes discussions avec les mêmes personnes , trouver quelqu'un , regarder la télé , suivre la mode , s'acheter les mêmes choses , acheter une maison , prendre un crédit , payer son loyer , dormir la nuit , vivre le jour , avoir des habitudes , faire des choses normales , faire ce que l'on demande , ne pas dépassé 60 km/h , se droguer de musique , vivre pour le physique , pour l'argent , pour le matériel. Rêver des mêmes choses , encore et encore , aspirer à une vie meilleure , sans pour autant savoir ce que cela signifie. Avoir peur , ne pas tenter , ne pas vouloir , ne pas voir. Aller en cours , a l'université , travaillé durant son adolescence , travaillé toute sa vie , rembourser , emprunter , devoir des comptes , le regard des gens. Obéir à aux modes de conduites , obéir à la loi. Obéir à la société. Et finalement ; répète après moi : Je suis libre. "

lundi 10 juin 2013

Chapitre 378 - We've got nothing to loose.




Les amours d'été me rappelle , ces bonbons que l'on nous donnait petit. Ces bonbons , dont personne ne se souvient de la forme , ni du nom , mais dont le goût reste encore intact. En y repensant on en veut tous un autre. Voir même le paquet entier. Il n'y en a qu'un , et enfin de compte il donne plus de souvenir et de nostalgie que de sentiment. Un amour d'été c'est un peu le point d'honneur des vacances d'été , une vie en accéléré , un début , un milieu , et une fin. Sur deux semaines. On rencontre des gens formidablement amusant , qui comme nous veulent penser et vivre autrement l'espace d'un instant. (Rire) Je n'ai jamais attendu l'été pour tout ça. Mais les soirées tard la nuit dehors , les discussions amusantes , les barbecues , les nouvelles rencontres , font que l'été reste pour tous , une saison parfaite. Elle n'est parfaite que parce que nous voulons qu'elle le soit. L'été quand on est ado c'est le " Sieze the moment " , on fait tout , et n'importe quoi. C'est des souvenirs plein la tête que la mémoire ne tuera pas. Ce qui est amusant avec l'été c'est qu'il prouve une chose bien étrange , les gens attendent pour être heureux , attendent pour faire la fête , attendent pour allez au-delà , s'amuser , rencontrer , découvrir. Comme si Juillet-Août étaient le début de la vie. Les gens qui attendent pour profiter , ne profite en réalité même pas le moment venu. Qui y a t-il de plus pitoyable que de vouloir profiter d'un moment sans se rendre compte de la valeur de celui-ci ? Quand on profite d'un moment on s'en souvient ? On en profite de quelles façons ? Les plus imbéciles vous diront qu'il ne faut pas réfléchir (à noter que c'est exactement ceux qui finissent bourrés à 22h alors que la soirée à commencé à.. En fait elle n'a même pas commencé.) , les plus curieux vous diront qu'on le sens le moment venu , les plus terre-à-terre vous diront qu'on ne le sait qu'après. Et les plus rêveurs , eux , vous sourissent au visage en vous disant : " Tu verras. "

L'été est génial. Sur tout les points. Autant pour l'amour et la drague , que pour les soirées et les rencontres -les filles en bikinis aussi..- . Enfin , l'été est génial , l'hiver est parfait. 






" J'ai fais la chose la plus terrifiante et la plus dangereuse de toute ma vie quand je t'ai dis que je t'aimais, mais ça valait le coup. J'ai réussi à surmonter ma peur pour toi. Tu peux surmonter la tienne pour moi. On s'aime et il n'y a pas d'amour sans danger. "



SUMMER 2013.











Et finalement , ma Vénus d'argent.




samedi 8 juin 2013

Chapitre 377 - " Les mots font plus mal que les coups " " Prend toi une droite avant de dire ça. "



On considère certaines personnes comme des personnes géniales , extraordinaires , capables de choses hallucinantes , dingues , voir impossibles. On se met à avoir de l'admiration pour eux. Les élevés aux rangs de super héros , avec des pouvoirs , rivalisant avec ceux des dessins animés tel que celui de voler dans le ciel , de se téléporté , une force colossale . Mais en vérité le seul pouvoir de ces gens c'est d'être les premiers à avoir confiance en vous , et à vous prouver et à vous dire : " Moi je pari mon existence sur toi si il le faut " ces gens que l'ont ne connait pas et qui pourtant se mettent à risquer ce qu'ils ont de plus cher sur nous , sans même nous connaître , où nous savoir être. Ces êtres bouleversant qui à travers la difficulté , les obstacles , les tempêtes de la vie , sont si présent qu'on entend encore leurs voix résonnant dans l'air : " Lâche pas , je suis là . Tu vas assurer , débat toi ! ".

Le seul pouvoir de ses gens c'est de vous faire confiance à vous , avant que vous , vous puissiez vous-même le faire. Ces êtres n'améliorent pas votre vie , ne la rend pas plus belle , plus accessible , plus vivable . Non. Ce genre de personne vous redonne envie de vivre , de risquer , de tenter , d'échouer , de réussir . D'exister. Ils vous voient comme personne ne vous a jamais vu. Et c'est bon de ce sentir existé , de ce sentir vivre , d'être important pour au moins une personne. Ce genre d'être , sont les gens " de la situation " , ces lumières qui ne flanchent jamais , qui continuent d'éclairés avec ou sans électricité. Qui sont parfois trop dure , mais qui vous souhaite tout le plus grand bien. Ces êtres qui pour un oui ou pour un non , saute dans le feu de l'action. Ces gens qui vivent plus en une journée que tout ces peureux paralysés par leurs propres peurs de devoir faire face à quelque chose qui leurs résistent. A tout ces gens-là , ils ne sont pas à considérer comme géniaux.. Ils le sont vraiment. 

Chapitre 376 - Le pantin avide de devenir marionnettiste.




Il faisait à moitié chaud cette nuit là -dire l'atmosphère et la température permet toujours de mieux s'imaginer la scène .. apparemment- J'avais le nez rouge à cause de mon allergie , et la tête prête à exploser pour déversé des morceaux de moi sur les murs après des révisions forcées. L'air était presque trop lourd pour moi. Je n'avais plus envie de pensée , ni même de dire quoi que ce soit. Planait-il une odeur de drogue dans la pièce ? Je n'en sais rien , j'étais drogué , défoncé à ses médicaments , et peut être aux quelques verres que je m'étais permis pendant l'écoute d'un ou de deux morceaux . Les feuilles de cours qui s'étalaient le long de ma table , avec des stylos aux quatre coins , ouvert ou fermer , dévissés ou tombés contre le rebord de la table.. La lampe de chevet posée au milieu , servant de phare à cet océan de substance dite de connaissance.. J'enfilais mon quatrième verres. C'était le dernier avec des glaçons , le fond de la bouteille n'était pas encore atteint , c'était maintenant la traversée du désert pensais-je amusé par la situation. Et merde , qu'est-ce que je foutais là .. Le ciel était dégagé , à une heure pareille soit on dort avec la fenêtre grande ouverte , soit l'on est dehors à déambulé dans la rue à moitié bourré par les verres qu'on s'est pris. Je rêvassais , je n'avais mon cul que poser sur la moitié d'un tabouret , le poignet engourdis tenant mon front qui venait de plus en plus lourd à mesure que le temps passait. Fallait-il dormir ? Ou lire les quelques lignes qui s'allongeaient lentement narguant mon esprit sur qui lira quoi ? J'étais dépourvus de conscience , à la limite du salarié qui doit rendre son rapport sur l'économie d'une entreprise concurrente le lendemain à son patron. J'en avais rien à foutre et en y repensant bien , même maintenant je n'en ai encore rien à foutre. Je m'imaginais mille et une vie qui ne seront jamais mienne , n'importe ou n'importe quand. J'avais soudainement l'envie d'une cigarette. Ou d'un cigare , moi qui ne fumait pas , je me disais sûrement qu'à ce moment cela collerait sûrement bien avec le caractère pitoyable de la scène. Idée vite abandonnée en regardant du côté de l'oeil cette bouteille à moitié pleine -et non vide- qui me charmait. Combien y'avait-il sur terre de millionnaire , de milliardaire , plein au As en train , à ce moment même de faire la fête , de dépenser du fric , ou de vivre la vie de mes rêves que je n'aurai jamais ? Quelqu'un profitait réellement de la vie que je m'imaginais ? Je l'espère , parce qu'il devait vraiment jouir de tout les plaisirs existant. Avait-il une Lamborghini Aventador ? Une femme qui à elle seule insultait la beauté , qu'il aimait plus que tout , et chérissait plus que son âme . Avec sa maison d'architecte au bord de la mer le long d'une falaise , l'emmenant dans les Hamptons l'été , et la faisait vivre un romantique et amoureux hiver à central Park ? Avait-il un de ses nombreux garages avec toutes les clefs des plus désirables des voitures du monde ? Bentley , Aston Martin , Ferrari , Lamborghini , Maserati , et celui de ses motos ? Avait-il ce dressing dont je rêvais tant ? Celui avec une centaine de costumes trois pièces , une autre centaine de deux pièces rivalisant ceux de Versace , Hugo Boss , Valentino ? Avait-il ce désirable tiroir avec plus d'un millier de montres Seiko , Younger & Bresson ? Des tiroirs pour ses chaussures ? Sa chambre à couché était-elle des plus modernes et des plus classes ? Son loft était-il aussi spatieux que la taille de mon esprit me le permettait ? Avait-il par tout les démons et toutes les conneries de cette terre un magnifique Steingraeber & Söhne au milieu de son salon ? Avait-il la vue imprenable dont je rêvais tant dans mes songes sur la ville qu'il habitait ? Un hélicoptère peut être et une piscine rendant la piscine municipale de ma vie pour un bac à pied ? Savait-il vivre avec classe et se rendait-il compte que des millions de gens rêvaient de sa vie ? Aimait-il autant la vie que la vie elle-même l'aimait ? Pour lui le mot "crédit" "compte" et "facture" n'existaient pas. Vivait-il de ce qu'il voulait quand il le voulait ?.. J'étais con , idiot , et imbécile de perdre autant mon temps sur ce genre de chose , je n'avais ni Aventador , ni de belle et désirable femme à mes bras , et encore moins de ces sublimes costumes et de ce Steingraeber & Söhne dans mon salon . Je n'avais qu'un ramassis de cours , je comparais l'incomparable , un gosse à moitié pompette à un très certainement gentleman faisant parti de la Jet Set.. Entre temps , je m'étais resservi un verre , à la santé de tout ses enculés qui n'apprécieront jamais le goût des choses de luxe tant que le montant de leurs sommes ne dépassent pas quatre zéros. Le luxe n'a pas besoin d'être brillant . Juste d'être classe. A la vôtre les ramasses merde qui vivaient dans mon espoir et dans l'amour des choses que j'aime dévolument. A vous le luxe suprême du je-m'enfoutisme totale , et du claquage de porte . Vous les salauds qui quand quelque chose ne vous plaît pas , vous faite le plus admirable des sourires , et partaient la tête haute dans votre voiture de luxe pour rejoindre votre Jet et vous prélassez aux Caïmans avec des femmes qui même dans mes rêves ne sont pas aussi magnifique.. Voilà que je me mettais à déliré , jaloux de la possession du bonheur dans le monde. La répartition des richesses fait-elle celle du bonheur ? Trop pompette pour y réfléchir , éternuant , faisant tombé mon verre , et merde qu'on en finisse , en direction de ma chambre , à moi de rêver . Dans mon lit j'étais déterminé à baisé un par un ses salauds qui alimentaient mes rêves les plus fous.

Le ver de terre lui aussi veut devenir une étoile.

lundi 3 juin 2013

Chapitre 375 - Le temps blesse avant de tuer les sentiments les plus fort et les plus sensibles


Le vent filait sur mon casque , je m'accrochais au pilote tant que je le pouvais , lui qui propulsait sa moto sur cette route sans fin. Pourfendant la route , traversant , dépassant les automobiles avec une vitesse fulgurante , floutant mes yeux même à travers la visière. Les autos n'étaient que des points fixes. Statiques. Je ne voyais plus la flèche du compteur. La moto hurlait, hurlait, tant de puissance que j'ai subis l'instant de peur , l'instant où je doute de ma vie , de mon existence , de l'instant d'après , du moment qui survient après la pensée. De ce que l'avenir me réservait sur les cent prochains mètres.. Le klaxon en continue des voitures me sorti de ma torpeur. On aurait cru à un défilé , tant les klaxons s’alignaient les uns sur les autres. Je le vis , se tourner , à demi-côté , comme pour voir si je n'étais pas tombé en cours de route. Un oeil sur la route , l'autre à l'extrême pour voir ma silhouette. Jamais je n'aurai lâché. C'était trop bon. Trop fort. Trop dangereux pour ne pas vouloir y goûter , y goûter , y re-goûter jusqu'à en vomir ses tripes . J'entendais un léger grésillement .. Il tentait de me parler , de me dire quelque chose. Je tentai tant bien que mal de me coller plus fort contre lui pour entendre ce qu'il avait à me dire.. C'était impossible.. Il arrêta d'accélérer pendant un court un instant , l'espace d'un moment où la moto cessa d'hurler, sa rage se fit plus raisonnable , et plus modeste. " 270 ! " . Il venait de m'hurler "270 !" .. 270 km/h .. C'était bon , mais pas assez , j'en voulais plus , je voulais frôler le risque , pourchasser le danger. Il l'avait sûrement remarquer ; peut être à mon sourire. Car l'instant d'après , à peine sa phrase dite , il embraya , j'entendis le claquement de sa boite contre les vitesses , son poignet se tourna violemment contre la poignée .. Accélérant brutalement. La moto , nous leva , tel un lion brandissant sa fierté , sa férocité. Présente dans l'instant pour montrée sa toute puissance. La reine de l'asphalte. La déesse de la vitesse. La dominatrice du risque. L'élu de l'adrénaline. La raison du risque. Au ras du sol , j'étais à quinze centimètres du sol. Si je lâchais , j'avais la colonne vertébrale cassée sur-le-champs. La cervelle étalée sur deux cent mètres bonne à ramassée à la paille. Ca n'a duré que quatre légères et tendres secondes. Quatre secondes de danger pur. Un danger qui rappelle que la vie ne tient qu'à un fil. Qu'une fraction de seconde. Qu'un geste fou suffit à tout terrasser. Puis soudainement la moto s'est remise sur ses deux roues , comme un cheval galopant sans arrêter sa course démoniaque , hurlant sa faim de vitesse vers le risque et l'incertitude. Les voitures n'étaient plus des points , juste des traits de lumière , à la manière des étoiles filantes , trop rapide pour véritablement être vu. J'étais heureux. Ce 18 Janvier 2013 , j'avais finalement frôlé la vie.

samedi 1 juin 2013

Chapitre 374 - Le jeu du roi

Tu m'as abandonnée. Je le sais. Maintenant je le sais. Tu ne m'as pas abandonnée aujourd'hui. Ni hier. Mais depuis bien plus longtemps. Je n'acceptais juste pas l'idée qu'un être que nous avons aimé aussi fort que nous le puissions à en dépasser les limites. Jusqu'à s'en questionner sur l'existence de celle-ci puisse faire cela. Je ne me suis pas menti que sur mes sentiments ou espoir , ou bien même encore à des idées ou à des rêves qui prennent quelquefois place dans mon esprit la nuit quand je divague .. J'en suis certain maintenant. Tu n'es plus. J'avance avec la pensée d'un amour et pas d'un sentiment. Je n'accepte pas encore le fait que tu ne sois plus qu'un mot sur une ligne et un souvenir parmi des photos. Mais dois-je me rendre à l'évidence comme tout ceux avant moi ? Dois-je comprendre qu'il impossible de vouloir quelque chose seul ? Je n'ai pas cesser d'y croire , pas une seconde contrairement à toi. Rien ne sert de vouloir tout arranger quand on est le seul a le vouloir ? .. J'aimerai tellement que tu me prouves le contraire.. Sur ça et bien d'autres choses. Mais je dois assumer le fait que la réalité ne se pli pas à mes souhaits ni à mes envies. Elle propose de dépasser les rêves , mais de rendre la douleur bien réelle. Alors je me demande encore .. Si, la mort , fin de toute chose , de tout être , de toutes pensées , de toute douleurs , trahisons , mensonges , violences , insultes , critiques , méchanceté , horreur , pardon et enfin de toute vie n'est peut être là le vrai bonheur ? : Ne plus rien ressentir.