mercredi 30 juillet 2014

Chapitre Intemporel



"Tu te voiles bien trop la face pour que j'accepte de te répondre "

Peut être était-ce la phrase silencieuse qu'il m'avait délivrée en partant sans un bruit sans même un mot de sa part. À force, je crois que je ne méritais même plus qu'il prenne la peine de me répondre.. Et malheureusement j'espérais. Oui j'avais honte mais j'espérais. J'espérais qu'il me donnerai encore une millième chance.. Mais la vérité c'est que je l'avais usé. Je n'ai pas su être ce que je voulais lui montrer et j'ignore ce qu'il voulait voir de moi. Au final de moi, je ne sais pas ce qu'il emporte.. Ce que je sais. C'est que cette nuit. J'ai fais bien plus que de le décevoir encore une fois. Je l'ai fais partir. 

Et a vrai dire, je ne sais pas si j'aurai le cran d'assumer bien longtemps encore une fois ce que j'ai fais. Je prie juste pour quelqu'un me fasse pensée a autre chose. Impossible qu'il me le fasse oublier. Mais qu'il atténue le manque que je suis en train de crée de lui. Qu'il me permette d'accepter plus doucement sa disparition.. Je n'ai pas besoin de quelqu'un qui m'aime.. C'est faux. Maintenant je le sais, j'ai simplement besoin de me sentir comprise.. Que dirait-il en me voyant dire ça ? .. Oh il en rigolerai j'en suis certaine.. Il me manque.. Et ce qui manque c'est l'occasion de pouvoir lui voler un baiser interdit. 

Il me disait souvent qu'il aimait jouer au magicien, et j'avoue ne pas toujours l'avoir bien compris. Dans cette nuit noire. Je crois l'avoir enfin cernée.. Il est effectivement comme un magicien. Il a su disparaître d'un coup. Comme si il n'avait jamais exister. Il ne s'était pas rendu compte du dramatique vide qu'il avait laissé en moi.. Et moi non plus d'ailleurs .. Jusqu'à ce que je prenne convienne de tout ce qu'il a fait pour moi. Sans jamais rien me demander en retour. 


Il a disparu , au final je n'étais sûre que d'une chose chez lui ; son prénom. Il me manque affreusement. Mais je ne fais plus parti de son monde. En ai-je seulement un jour fait parti ?


lundi 28 juillet 2014

Chapitre 547 - Ce que tu rates avec moi , personne d'autre ne te le fera ressentir.






La thaïlande , une Norton 550 commando , une villa , des oustitis , un feu de camp , une ville illuminée de nuit , un .357 magnum , un jet ski kawasaki ultra 300x , un air de ukulele , une vraie bonne partie de jambe en l'air , un superbe feu d'artifice .. Avait-vous dis vacance ?


J'avais l'esprit déjà ailleurs , l'odeur , l'envie et la destination à sa simple prononciation me faisait rêver. J'allais devenir l'inconnue de tous , pouvoir faire ce que je désire sans même devoir être jugée , critiquée ou même regardée comme l'une des attractions. Et pourtant lui à mes côtés j'étais l'étrangère de moi-même , je ne me reconnaissais pas , et j'adorais ce qu'il faisait de moi. Il me faisait découvrir des choses dont je ne doutais même pas l'existence.

J'enterre mes problèmes sous le sable chaud d'une existence nouvelle que je voudrai à ses côtés. Mais il était comme ce sable si parfait , sitôt je le prenais en main , que je pouvais avoir l'impression de l'avoir , mais qu'il fuyait le long de mes fins doigts , léger et doux il me laisse que la sensation d'un passage sensationnel. Malgré tout , l'entendre me parler , savoir que chacun des mots qu'ils choisissaient était spécialement pour moi , ma personne , qu'il pensait ce qu'il disait , que je lui donnais l'envie de m'en dire plus , tout cela , rien que cela , rien que ce que vous appelez de "discuter" était pour moi une grande marque d'attention car je savais qui il était au final , une fumée , enivrante , me faisait rêver , et palpitant tout les membres de mon corps , mon coeur en était fou de passion , mes yeux ivres d'amour. Je me sentais unique aux paroles qu'ils me donnaient , à ce regard qu'il me faisait , d'où j'avais la sensation qu'il me déshabillait , et bon dieu , si il me l'avait demandé de sa voix rocailleuses avec de légers scintillement de douceur sur la fin , de me dénuder , sans l'ombre d'une hésitation , sans l'espace d'une question je l'aurai fait , et j'aurai rêver à ce qu'il me fasse l'amour. L'amour comme si j'étais la seule , l'amour comme si il voulait me conquérir du plus profond de moi. 

De son regard il me dévorait , et je ne pouvais à chaque seconde repoussé d'avantage l'envie de lui sauter au coup , j'étais à la fois gênée comme à cette âge petite , où je manquais de cran pour dire bonjour aux inconnus inviter dans les réceptions de mes parents. Il était effrayant de ses mystères et pourtant si rassurant dans sa manière d'être. J'aurai pu accepté la fin du monde si il m'avait effleuré le visage de sa main , faite de légère flûte raffinée et élégante que vous autres appeliez " doigt ". J'aurai pu voir mon monde se détruire sans rien y faire si il m'aurai regardé en me disant que tout irai bien. Il était l'imaginaire , l'extension de ce que j'avais souhaité tout en connaissant les ressemblances familières qu'il avait avec mon monde.

Je l'aurai laissé me faire jouir de mille et une façon , il était un plaisir pour âme qui ne cessait de le dévorer , et le physique n'avait rien à déplaire aux restes. Je me sentais autre avec lui , l'avais-je déjà dis ? Je crois que oui. Mais vous avais-je dis que je m'étais découvert en lui ? Que j'avais compris qui je voulais être . Je voulais être celle qui jamais ne disparaîtrai de sa vie. Il était la routine dans son excès d'originalité , tout partait avec lui de quelque chose de très simple pour finir comme ses histoires qu'on vous raconte près du feu en vous disant que ces souvenirs sont plus riches que les diamants , plus belles que des joyaux. 

" Nous aurions dû disparaître " m'avait-il dit en parlant de son idée de voyage improvisé un beau matin en se levant , et de décidé de partir à l'aventure , je-ne-sais-où je-ne-sais-quand je-ne-sais-comment tout ça pour permettre de capturé l'instant de l'émerveillement. Il était envoûtant jusque dans ses gestes.

" Nous aurions dû disparaître" m'avait-il dit .. Entre deux baisers fait de poussière de paradis dont il avait le secret. Mais il était parti sans moi. Je le savais errant dans ce monde. En tant qu'aventurier de l'humanité sans pour autant me faire d'idée sur la personne imposante et l'avenir glorieux qui l'attendait. Pourtant de tout ça , je ne sais encore si ce n'est qu'un vulgaire rêve ou l'occasion qu'a eu la vie de me montrer l'homme de mon existence , celui comme personne d'autres , à tel point que je me demande bien si ses baisers ont eu lieu.. Je prie pour que ce soit le cas , car même pour une personne comme moi , ce serait un crime , de ne pas avoir volé un baiser à un rêve de cette qualité. Et tant pis si il appartenait à une autre , je lui appartenais à la seconde où il avait posé les yeux sur moi. 

Lui faisant parti de ce monde ? Il était indéniable qu'un jour je partirai à sa recherche , et qu'en le trouvant , je mériterai d'être celle qui l'accompagne dans ses échecs comme dans ses victoires. Il avait éveillé en moi plus que le goût de l'amour , du rêve.. Il m'avait donnée l'envie de vivre.




mardi 22 juillet 2014

Chapitre 546 - On en parle des espadrilles Valentino ? On en parle de cette putain de veste Lanvin ETE 2015 ? Bref , chapitre 456 étale-toi : L'espérance sentimentale.






Dans un contexte bien défini cette phrase donne " J'essaie d'en avoir quelque chose à foutre, mais je ne peux pas. "


J'ai le vague à l'âme , l'annonce d'un drame qui pourtant percute en moi comme l'essence d'une chose à laquelle je vais au devant. Le risque s'annonce incontestablement immense, et c'est ce même risque qui me fait parcours un sentiment d'excitation glaciale , parcourant mes veines , ma peau , me baisant le cou de ses lèvres givrées et pourtant je brûle d'impatience. De plaisir , abusateur des choses dangereuses, comme un drogué qui recherche le shoot extrême , je définis mes limites là où celle des autres s'arrêtent. Jusqu'à en forcer le traumatisme mentale , plaidant la déficience intellectuelle je ne prend rien au sérieux , vos mensonges sont davantage une marée de blague sur laquelle je surf avec l'air décontracter du type qui vous emmerde. J'ai la cicatrice sentimentale d'un sacrifice nécessaire à mes expériences , j'en déteins un effet de confiance , qui tantôt se transforme en une haine explosive qui me dévore de l'intérieur , me ronge comme une maladie qu'il faut éradiquer. J'ai su être la prison , la sortie , et le gardien à la fois. J'ai la folie des grandeurs mais de quelles grandeurs peut-on parler ? Celle d'un gratte-ciel ? D'un immeuble ? D'un navire ? D'une montagne ? Ou une grandeur spirituelle de celle que l'on n'invente pas ? Suis-je vraiment obligé de ne jamais me prendre au sérieux , ou est-ce parce que , entouré de gens qui se mentent je ne vois pas l'intérêt de perdre mon temps à être vrai..

Comme un jongleur au milieu de son public rempli d'enfant pour la représentation d'un cirque , je jongle et m'amuse avec les différents masques dont vous êtes les spectateurs . A la manière d'un habit dont on choisi la couleur et l'harmonie , le masque se peint , s'efface , se crée , se transforme et se perfectionne pour finir comme cette serrure magique qui passe tout les verrous. Les sourires faux sont plus sincères que les vrais esquisses que nous avons. Nous jouons au jeu de qui sera le plus faux , et la mention " made in china " ne compte pas.  En quête de la vérité , sans vouloir qu'elle me plaise ou qu'elle m'enrage , je cherche la satisfaction du calme de l'esprit , de me dire qu'un jour , oui , je serai au bon endroit , au bon moment , dans la sphère que le Karma m'aura fait de part l'offrande de multiples de mes choix , et de mes actes.

Nous sommes ce que nous faisons , jamais ce que nous disons que nous sommes.. Alors serait-ce avouer que 456 chapitres sont inutiles de toutes bonnes factures ? Bien sûr. Sauf si dans la vision d'une chose , un seul de ses 456 chapitres a réussi l'exploit de faire germés , crées , incités à la création d'une idée , d'une transformation , d'une amélioration.


Et finalement si après 3 ans , nous n'écrivions pas les pensées que nous voulions mais plutôt l'idée de pensée que nous désirions être comprise .. Avec cette envie de progrès constant , d'effort qui mène au succès , de cette lois stupide et totalement vrai du "quand on veut on peut" .. Et si Loveless c'était moi sans que je ne l'accepte ? Vous sans toutes vos peurs ? Ce que nous refusons de croire puisque nous nous pensons impossible de tout ça ? Et si .. Loveless était le rempart de la solitude tout en étant le bélier des frontières que nous brandissons.. Et si vous êtiez moi, et que j'étais vous ? Si tout ça n'était qu'un conte bon enfant écrit de façon à faire croire qu'un jour nous aurons le droit à quelque chose que nous n'avons pas bâtis ?

(rire) Quelqu'un a déjà lu plus de vingt lignes des pensées que je narre ?



" J'ai cette impression d'écrire des choses ennuyantes et débiles qui n'intéressent personne, mais je ne sais pas pourquoi , j'ai l'esprit lourd de mot que mon coeur n'ose dire. Après combien de temps ai-je oser prétendre vivre ou exister sans , sortir mon coeur ? Est-ce humain de vouloir protéger au point de décider soi-même de détruire ? "



samedi 19 juillet 2014

Chapitre 545 - GAGNE. GAGNE. GAGNE. GAGNE. GAGNE.









Qui y a t-il dans un monde où toute la vulgarité de l'honnêteté est masquée , où le mensonge est le seul moyen pour se parler , derrière des murailles dites sans nom , pour se donner un genre où l'intérêt n'existe pas , pour flatter l'apparence et délaissé la profondeur , au risque de se retrouver vide de sens et d'espoir. Qui y a t-il dans notre société qui vaille la peine d'en oublier des choses si essentielles , qui devant nous depuis bien longtemps sont ensevelis sous les illusions que nous avons prôner pour se croire vivant , entouré et sûr de soi ? Comment pouvons-nous vivre en acceptant d'être le dilemme même de ce que nous sommes censé être. Comment vivre pleinement sa vie en se sachant inconnu de soi ? En mettant sur son rôle à jouer , sur sa façon d'être ? Comment un jour , ne pas rejeter tout ceci , à tel point qu'on en vient par devenir auto-destructeur. Mais qui voulait-vous réellement détruire au final.

Drogué , ivre d'une vie qui n'est pas la mienne , je vous parle d'une réalité , de celle que l'on peut touchée du doigt les yeux fermées, qui fleurte avec vos lèvres et transcende votre esprit. Ivre, bourré d'un rêve qui a prit fin au moment de commencer, avorter comme un miracle qui perd de son éclat après un merveilleux tour de magie. Je soupirai à cette mort qui tirait sa fin comme dans les contes pour enfants , je n'avais plus à rien à demander ..Car quoi ? J'avais frôlée la vie , la grande , celle qui invente ce que les rêves ne savent pas encore imaginer. J'achevais d'exister dans une overdose complaisante à la fin de laquelle je me savais aimé de l'univers tout entier , et j'aimais l'univers tout entier. Mais à quoi bon tout ça , si j'étais incapable de lié l'amour de mon cœur , à la passion envoûtante de mon âme pour en faire la raison unique de vivre ? Alors à quoi bon les milliers d'étoiles si elles ne brillent pas.

Chapitre 544 - Je déteste les au revoir , parce que les autres persistent dans mon âme pendant que moi je m'efface, et ça le chapitre 483 vous le dit bien mieux que moi.










Il se laissa tombé sur le canapé en cuir blanc qui orné le dos du mur grisâtre auquel il détourné la tête. En lâchant un soupir il laissa s'échapper :

" Et tu finiras par m'oublier. "

Elle se retourna aussitôt comme à l'annonce d'une surprise ou d'un cataclysme sentimentale.

" Je te demande pardon ? "

Un rire , puis un sourire avant de la regarder fixement.
" Tu as très bien compris ce que je t'ai dis. "

" Oui.. Mais je me demandais si tu avais le cran de le répété. "

" Ca n'est pas une histoire de cran, mais plutôt de vérité à acceptée. "

Elle tourna en rond autour de la commande longeant le canapé. Mettant la main devant sa bouche , fixant par de là la véranda en face d'elle , puis la main sur le front , puis le poing serré sur la joue comme un enfant boudeur. 

" Tu essaies de m'énervé n'est-ce pas ? "

La main sur sa joue gauche , l'annulaire , le majeur , glissant sur l'arcane de son oeil gauche , il ne la regarda que du coin de l'oeil.

" Ouais.. Tu veux réellement énervé.. Comment tu peux dire ça , après tout ce que je t'ai dis. "

" Exactement , après tout ce que tu m'as dis , tu n'as cessée de te contredire de part ta façon d'agir , et de réagir comme une effrontée avide de fierté , mais ça n'est pas ça être toi , être honnête et en parfaite harmonie avec toi. "

" J'ai besoin de toi tu le sais. "

" Tu ne sais que me répété ça , je pourrai tout autant te dire que je t'aime en agissant de la même manière qu'on aurait exactement le portrait craché de ce que tu fais avec moi. "

" Comme si ça t'atteignait. "

" Le but c'est pas de m'atteindre, c'est que tu te rendes compte que tu es dégueulasse d'agir comme ça. "

" Mais tu n'es pas blessé . "

" Mais je pourrai l'être. "

" Mais tu ne l'es pas. "

" Et si je l'étais. "

" Arrête , tu sais très bien que non. "

" Non toi tu sais , ou non , plutôt toi tu veux te persuader , dans ton monde de ce que tu as besoin de croire , et pas de savoir. Voilà le trou immense entre celui qui assume la réalité et celui qui la modifie légèrement pour parfaire ce qu'il veut voir , à tel point qu'à la fin tu fais quelque chose , que si l'on te le retournerai tu serai détruite. "

" Détruite.. Tu n'as su faire ça que de moi. "

" Ah vraiment ? .. "

" Non je mens , tu m'as rendu meilleure , mais je te déteste , en fait non , je me déteste , d'avoir fait en sorte que tu me déteste , j'ai ruiné quelque chose que quelqu'un comme toi m'a offert, et le peu qu'il en reste je suis devenue plus forte.. Je m'en veux tellement , j'imagine à quel point j'aurai pu devenir géniale si je n'avais pas détruit les trois quarts de ce que tu as voulu m'offrir. "

" Je ne te déteste pas. "

" Oui je sais , ni chaud ni froid. "

" Morte ou vivante .. "

" Espèce de connard , j'ai pas besoin de toi , je te hais , tire toi. "

" Pour au final me demander de rester d'ici quelques minutes .. On saute se passage ? "

" S'il te plaît.. Tu me connais tant que je te déteste , tu sais avant même que moi-même je ne choisisse , comment je vais réagir.. Tu es dingue ! "

" Tu es juste banale. Oui je sais tu m'emmerdes, mais ça m'atteint pas. "

" Comment je pourrai faire pour être originale ? "

" On a chacun nos dilemmes. "

" Tu seras celui de toute ma vie. "

" J'en retourne à ça ; tu m'oublieras. "

" Je te passe le discours que j'ai besoin de toi , et tout le reste ? "

" S'il te plaît oui, puisque ça n'a aucun intérêt vu comment tu réagis. Tu risquerai d'être ridicule. "

" Ne le suis-je déjà pas assez comme ça ? "

" Tu as dépassé les limites en terme de pitié , je ne sais pas jusqu'où tu peux aller. "

" Haha enfin quelque chose de drôle. "

De son air le plus cynique , il la regarda droit dans le yeux , la tête à moitié penchée en soupirant , à la manière de l'idiot que l'on regarderait sortant une bêtise plus insouciante que l'ignorance dont lui-même est-il atteint. 

" J'ai la barre au ventre pour te dire. "

" Bon alors je vais t'oublier c'est ça ? "

" Exactement . "

" Comment tu peux en être aussi sûr. "

" Parce que pour ne pas m'oublier il faudrait affronter le temps , et retourner à l'essence de ce que je suis pour toi. Sauf que quand tu y retournes , le peu de fois où le courage te prend , tu es guidée par l'émotion et les sentiments que tu as , a mon égard , et tu oses l'incroyable à tel point que tu as peur de toi-même , comme un pouvoir caché de cran , de détermination et d'insouciance amoureuse. Et tout ça.. C'est en dehors de tout ce qu'une personne comme toi peu comprendre. Je pourrai donné de l'or à des porcs que ça ne serait pas considéré comme du gâchis face à toi. "

" Toujours les mots juste. "

" Qu'est-ce que tu sais des mots , et de leurs justesses , toi qui n'a aucune honte à dire n'importe quoi. "

" Comment je vais faire sans toi ? "

" Comme quand petite , ta mère n'était pas là pour t'empêcher de faire des bêtises. La même chose , mais sans personne pour te dire que c'est bien ou mal. Sans personne pour te secouer à t'en détruire. "

" Tu m'oublieras toi aussi. "

" J'affronte le temps tout les jours , ça m'est totalement impossible. "

" Pourquoi. "

" Parce que je me souviens toujours des gens , de ce qu'ils ont été , où d'une dernière image les définissant. "

" Qu'est-ce que ce sera pour moi ? "

" C'est bien triste tu vois, parce que même ça tu ne le mérite pas.. Je partirai sans même que tu saches ce que j'emporte de toi , avec moi. "

" Tu emportes au moins quelque chose.. "

" Rassure toi, peu de personne marche aux mérites de nos jours , tu seras tranquille avec les autres. "

" Les autres ne sont pas toi , toi qui est méchant , mais aussi doux. T'es les extrêmes , dans ce qu'elles ont de plus dingue. T'es un monstre , et soudainement , un miracle de douceur. "

" Quelquefois ange, d'autrefois démon. "

" Alors qu'est-ce qu'on fait ? "

" Non toi demande toi quoi faire , parce que moi j'ai déjà fais ce que j'avais à faire depuis longtemps. Tu ne fais pas parti de mon passé ni de mon présent, pas non plus de mon futur. Je vais te l'avouer. Je le dois , auprès de mes principes , pas pour toi ; je voulais te façonner l'identité qu'il te fallait , la définition même de ce que tu es dans le bien comme dans le mal, avec tes défauts tes qualités.. Un phare , un ponton sûr , le pilier de toi. Et maintenant que je l'ai découvert, je le prend avec moi. Et je disparais avec le temps. "

" T'es un salaud, tu sais à quel point ne pas savoir qui je suis me rend terriblement fragile , et tu me voles ce que je cherche. Tout ça pour que je te force à resté avec moi. "

" Tu peux être qui tu veux .. Mais la vérité .. C'est que .. "

Elle se lève et hurle :

" TAIS-TOI , FERME LA , TAIS-TOI , TAIS-TOI JE NE VEUX PAS LE SAVOIR -son visage devient rouge , elle a les larmes aux yeux- JE T'INTERDIS DE DIRE LA SUITE "

Il la regarde à présent dans les yeux , toujours assis , mais légèrement redressé, prouvant son sérieux.

" C'est que tu ne veux pas être quelqu'un si je ne suis pas là.. "

Elle pleure , s'effondre au sol , et hurle sa rancoeur.

" Je te déteste ! De me faire autant souffrir , je ne veux plus rien , tu es horrible , dégueulasse ! Connard ! Connard ! Connard ! Connard ! Connard ! Connard ! Espèce de connard ! Je ne suis qu'une idiote ! Une terrible et immense idiote ! Tu es.. "

" Le danger , je suis ton danger .. Je le sais. "

" Tu me ronges , mais tu transformes tout en moi, tu fais le bien être , mais tu me condamnes , tu me condamnes à te vouloir chaque jour un peu plus ! Je ne veux pas de ça , je ne veux être meilleure si par ta faute je rate des occasions de réellement vivre. "

" Ca n'empêche rien. "

" Ca m'empêche de croire que vivre c'est ça , tu as bouleverser , non , tu m'as bouleversé jusque dans les moindres recoin de mon être et encore à certain moment je m'en rend compte , tu es terrible . Je suis une marionnette que tu manipules.. "

" C'est faux , je te prouve juste que tu peux avoir une autre vision des choses. "

" Je le sais connard ! Mais comment veux-tu que je puisse me persuader de ne pas avoir besoin de toi si tu me dis tout ça ?! Comment je peux me dire que ca n'est pas grave ? Comment je suis censée surmonté ça ?! "
" Tu ne le surmonte pas , tu vis avec. "

" Pourquoi.. pourquoi tu m'as fais ça.. "

" Tu m'as demandé de l'aide. "

" Et tu appelles ça m'aidée ? "

" Rappelle toi, il y a de ça pas mal de temps , tu m'avais tenu le même discours , et qu'est-ce que tu m'as dis quand on a voulu te faire souffrir , qu'on a voulu te détruire ? "

" Je t'ai dis merci.. "

" Et pourquoi tu m'as dis merci ? "

" Parce que tu m'avais forgé une armure , pendant tout ce temps , en appuyant où cela faisait mal , tu comblais les trous. Parce que tu as besoin de te faire passer pour le salaud. Comme les hacker avec les antivirus , qui les piratent pour montrer les failles et finalement leurs permet de s'améliorer.. "

" C'est quoi cette putain de comparaison ? "

" Tu as les clé de ce que je suis pour toujours n'est-ce pas ? "

" Je pense. "

" Donc tu pourras revenir quand tu le souhaite ? "

"N'y pense même pas . Je ne reviendrai pas. "

" Et si je te croise un jour ? "

" Ca m'étonnerait . "

" Mais si c'était le cas ? "

" Si c'était le cas, tu me regarderai avant de faire semblant de m'ignorer pour passer ton chemin , faire l'air que tu n'as rien , alors que ma simple présence larguerai une bombe émotionnelle. "

" Tout avec toi est un défi.. J'adorais , j'adore ça. "

" Je dois vraiment te laisser partir . "

" C'est tes choix, et depuis la dernière fois , je ne dis plus rien , tu fais ce que tu veux. D'ailleurs je dois repartir. On se voit plus tard. "

Il se lève , lui frotte la tête comme un frère le ferait à sa petite soeur , puis remet sa veste , se redresse une seconde fois , frotte le côté gauche , puis le droit , il regarde par dessus son épaule , elle était encore agenouillé , par-terre , à même le sol , le parquet rempli de larmes , elle reniflait , et quelquefois suffoquait comme prise d'angoisse. 

" N'oublie pas de te relevée. N'oublie jamais de te relevée. "

Il marche en direction de la porte. Quand soudainement elle hurle depuis le salon :

" Tu n'as rien d'autre à me dire ? "

La regardant de loin , assise au sol , lui debout , se penchant légèrement pour l'apercevoir , ainsi voyait-il son visage , rouge , gonflée par les larmes , il ricana un instant , plongeant son regard enfantin , plein de bonté et d'amour, il esquissa l'un de ses plus beaux sourires , ceux dont il avait le secret.

" Non absolument plus rien. "
" Et.. Et.. Et si .. Et si moi j'avais quelque chose à dire.. "

Se redressant et ayant déjà tourné le dos , il avait la main sur la poignée et cette fois il ne se retourna pas . 

" Qu'est-ce qui te fait croire que toi .. Toi , tu as a quelque chose à dire ? Tu penses que tu peux changer quelque chose avec des mots à cet instant précis ? Empêcher ce qu'il se passe ? "

Cette phrase plongeant une froideur si extrême que l'Antarctique était un désert face à ce moment. Il avait la main sur la poignée , il attendait .. Elle ne répondait pas , il entendait simplement reniflait , et quelques petit gémissement.. Il attendait quelques secondes, des secondes qui pouvaient contenir une toute autre fin.

" C'est bien ce que je me disais. "

Il ouvrit la porte et parti comme un coup de vent .. En entendant la porte se claquée , la fille assise alors au sol , pleurant encore gouttes par gouttes , glissant sur ses larmes , la main au visage , murmurait en tapant du poing sur le sol .. Jusqu'à sang.. 

" Reste s'il te plaît.. Reste ne me laisse pas, je t'en prie.. "





























Un regret se garde quelques temps, un remord toute une vie.



Je ne sais pas vous , mais j'ai tout le temps chaud. Le pire c'est l'été.. Non parce que.. Plus j'ai chaud et plus je subis de pulsions.. Sexuelles.. Je suis esclave de mes sentiments, mais prince de ma destinée. J'ai décidé d'être riche de votre pauvreté.. J'ai chaud bordel.. : A l'affiche Lazlo , Bloody , Blonde , Disclosure , et Tupac. Oui , la HOT PLAYLIST viens de paraître. C'est surtout une manière pour moi de sauvegarder mes musiques du moment. A l'assaut du chapitre 544.. MAIS J'AI CHAUD PUTAIN.







La Lamborghini Aventador Carbonado Mansory . Qu'est-ce qu'il y a de plus qu'une Aventador classique de la firme Italienne la plus respectable qui soit ?  ; 1200 ch ,  , un bi turbo et des matériaux de compétition. Faite une finission digne des meilleurs , c'est-à-dire de Mansory , préparateur automobile Allemand , réputé pour être les meilleurs du monde. Et tu as une machine qui abat le 0-100 en 2.6s , avec une vitesse de pointe de 380km/h.. Alors comme ça on ne peut pas perfectionné la perfection elle-même ? Et sinon cette summer playlist :







Si quelqu'un venait à vous demander : " Qu'est-ce que la vitesse ? " ... Que lui répondriez-vous ? S'agit-il simplement de la mesure d'une distance parcourue en un temps donné ? La grandeur de votre vélocité ? Ou bien est-ce plus que cela ? La vitesse représente bien plus qu'un chiffre. C'est un état d'esprit. La vitesse, c'est un choc à l'âme. La vitesse, c'est un appel à l'action. 





" Que quelqu'un me cite quelque chose qui n'est pas négociable dans la vie. Et ne me dites pas l'amour. En plus d'être idiot vous seriez pathétique. Alors bon, qui se lance ? "






J'ai voulu sentir l'importance que c'est d'être en vie. A cet instant j'ai compris que j'allais mourir. Pas maintenant, pas aujourd'hui, mais un jour. Et c'est alors en prenant conscience que tout ce que je vivais était unique, que j'ai compris la valeur de la vie. Dans son infini beauté. 












mercredi 16 juillet 2014

Chapitre 543 - Et si je meurs violemment , pour combien de temps l'on se souviendra de moi ?






Artiste peintre à mes heures perdues je brode sur la toile d'une peinture invisible à l'hypocrisie l'essentiel de ce que j'affirme et pense être vrai , dans l'infinité la moins perceptible , jusque dans la totalité du grand tout. J'y crois. J'y affirme le centre unique d'un monde unique où tout peut jaillir d'une seule et grande idée. Je crois en l'humanité dans ce qu'elle a plus de perfectible à donner . J’idolâtre chacun des esprits dignes de s'égarer dans de profondes réflexions d'eux-même afin d'en prêcher la seule et grande identité qui leurs permets de dire "Je suis." Vous êtes ce que le monde , ce que l'histoire , ce que les générations nous précédents , pensaient être le plus magnifique cadeau à l'état actuel. Il n'y a ni paradis , ni enfer. Nous créons tout de toute pièce, nous avons , tout les pouvoirs que nous avons ériger à notre époque comme des basiques instinct primaire, mais vous êtes géniaux , unique et en recherche de la chose parfaite. Malgré tout, vous vous rendez plus mauvais les uns les autres , car dans la peur d'un amour non réciproque vous vous éloignez chacun de votre côté en construisant des murs toujours plus grand pour vous protéger de ce que vous ne connaissez pas. Aimer, découvrez, apprenez. Et acceptez, acceptez finalement de mourir. De laisser la place à quelqu'un d'autre qui reprendra votre projet et le fera grandir. Ayez confiance, à votre tour en ceux qui vous remplaceront.

lundi 14 juillet 2014

Chapitre 542 : Le principe AVRS : J'apprendrai , je vaincrai. Je réussirai, et finalement je soumettrai. Le principe ultime.







Sur l'autoroute du succès , à embranchement qui mène au succès il n'y a ni règle ni contrainte, car vous êtes vous-même votre limite, dans tout ce que vous avez de pire à vous donnez, dans la peur , le doute , la violence , la haine , le manque de détermination. Ni restriction, ni abandon. C'est vous contre l'ombre de ce que vous ne soupçonnait même pas de vivre, votre haine intérieur , votre petit démon du matin , le genre à se compter par dizaine dans l'assemblage haineux de sentiments qui sont tombés à l'abandon , parce qu'à ce moment là vous aviez abandonnez, vous aviez laissé tomber , et qu'aujourd'hui eux , viennent se venger , se venger de l'espoir que vous y avez mis sans y croire. Aujourd'hui la vie se venge de vous , et elle frappe fort cette conne, oh que oui, un coup sec dans le ventre à vous en faire ressortir votre déjeuner, avec autant de violence que celui avec lequel vous avez abandonner, la haine , c'est ce qu'on laisse sombré, la haine, c'est une personne qui vous jure de revenir, un jour vous casser la gueule. De tout ça , vous êtes votre propre compromis , l'essentiel de ce que vous avez été , de ce que vous êtes et de ce que vous serez. Si vous êtes un montre c'est que vous l'avez décidé. Si vous êtes un faible c'est que vous l'avez décidé. Si vous êtes un bouffeur d'asphalte, un tueur d'obstacle , un destructeur de forteresse, un mur flamboyant , un être de lumière , quelqu'un d'exceptionnel, c'est vous , vous et encore et toujours vous ; qui l'avait décidé.. Vous avez toujours le choix, toujours. Il y a des millions de possibilités mais vous n'en voyez que quelque unes parce que vous décidé de ne pas en voir plus , parce que vous ne voulez pas savoir , pas connaitre , pas apprendre , pas devenir meilleur. 




Ca c'est vous qui le décider, dans les plus petits choix , comme dans les plus abusif. Mais que ce soit bien clair. Ceux sans culot , sans raison , sans principe , qui n'ont pas le cran, le cran nécessaire de ce dire qu'ils devront en arriver jusqu'au larme , jusqu'à la douleur des entrailles , jusqu'au sang invisible sur les mains ; que ces personnes oublient cette route , et ce qu'elle implique. C'est l'école de la réussite , du succès , de la victoire , du sacrifice. La vitesse est équivalente à trois fois celle de base.. Celle de base , est un choc à l'âme.



On ne tente pas , on n'essaie pas , on n'espère pas , on ne voit pas , on ne croit pas.



On parvient , on réussi , on fait l'extraordinaire , on crée , on affirme.



AVRS.

dimanche 13 juillet 2014










La beauté des choses que nous avons , nous la créons tout d'abord. Je n'ai pas peur de la mort. J'ai peur de ne avoir le temps de faire ce que j'ai à faire. Surtout, de bien le faire. Plus l'effort est intense, plus la victoire est grande. 








samedi 5 juillet 2014

Chapitre 541 - Brillante comme un diamant







Tu seras l'essentiel de ce que je n'aurai jamais voulu oublié ni perdre. Tu resteras l'enceinte , le bâtiment , le panthéon , en l'honneur de tout le bonheur qu'il contiendra , le bouclier des démons du passé , des terreurs du futur , et des problèmes présents. J'aurai achevé mon travail de sculpteur en gravant ton nom dans mon coeur, et qu'importe la douleur subit , si par chance il saigne c'est qu'il vit. La vie est une chance où chaque jour doit être vu comme des millions de possibilités. Nous ratons , nous échouons , mais nous rapprochons si souvent du but que les plus acharnés le décroche sans l'ombre d'un doute. Je ne mérite plus ton monde , et mes capacités ainsi que ce que je suis ne sont plus assez bien pour quelqu'un comme toi , tu trouveras mieux , parce que le monde est meilleur , il se change sans cesse , s'améliore , s'adapte , à tel point que des merveilles se faufilent sans en dire leurs noms. Des perles existentielles , qui donnent envie de vivre, vivre ensemble , pour toujours et à jamais , sur un bord de sable , avec un océan azur à perte d'horizon , noyé par le sourire du soleil. Il existe des lieux pour finir heureux, mais plus pour nous , je n'aurai cessé de le chercher et à défaut de le trouver , le crée. Je m'efface et devient finalement le fantôme que tu voulais que je sois, j'ai combattu , le temps et l'inévitable , mais je pousse des limites que je n'ai pas encore acquise , parce que je n'ai pas combattu pour ma vie depuis bien longtemps , j'ai fais des choix qui me font payer des conséquences auxquelles je ne suis pas prêt. Te laisser partir , et qu'importe quand , je ne serai jamais prêt. Malgré cela , ton bonheur est ailleurs , j'ai échoué , je ne t'ai pas aimé comme il le fallait. Quoi qu'il en soit , pour moi c'est une évidence , toi & moi , ensemble ou séparé. Je commencerai à prier pour qu'un jour tu me retrouves un jour , que je sois assez bien pour toi , pour qu'enfin tu me veuilles , que tu te battes pour moi comme je me suis battu pour toi. Sinon, je garderai ton nom tabou dans mon coeur. Source d'un bonheur que personne ne défie. Etre amoureux de toi est une seconde nature chez moi , comme respirer , c'est pathétique ? Haha , voilà comment j'aime. Et d'ici quelques temps j'en parlerai de cette histoire. De ce couple qui a brûlé à en rendre jaloux la chaleur du soleil , de cette détermination , de cette persévérance , et d'une passion connue de peu de personne. Je parlerai de ça , de toi , de moi , de ce que tu as rendu meilleur en moi . Je parlerai de mon rêve.

vendredi 4 juillet 2014

Chapitre 540 - Je suis un monstre sentimental , une machine de haine, une forteresse impénétrable, inébranlable. Mais la vérité est tout autre. Il suffit d'une once d'amour. Et je me broie littéralement. Mais qui ? Qui oserait aimer un monstre ?









C'est à l'instant où l'on essuie une défaite que l'on se souvient , à quel point gagner est important , à quel point la victoire nous offre tant de chose , c'est au moment où on nous retire de façon dramatique quelque chose , entre l'instant où elle disparaît et celle où l'on se rend compte qu'elle nous appartient, que nous comprenons alors soudainement , que oui.. C'est important. Vital. Unique. Noyé dans le brouillard de l'indécision et attaqué par l'instant de clarté , l'on s'en retrouve perdu. Bouleversé au plus profond de notre être , car un changement se fait , en temps réel en nous, sans que nous ayons notre mot à dire , notre corps s'adapte , se change , le mental se modifie pour palier à ce manque. De façon à faire croire que cette chose n'a jamais était portée à notre connaissance , que nous vivons sans depuis toujours. Quelquefois certaines choses sont irremplaçable mais bouleverseraient , ou détruiraient tant de gens , de monde , si l'on venaient à le savoir que nous nous mentons , en croyant pouvoir faire sans , en s'imaginant continuer sans , se projeter là où cette chose n'a pas lieu d'exister. Alors je vous le demande , dans un cruel dilemme , que feriez-vous si quelqu'un vous perdez suite à une de ces défaites ? Partiriez-vous simplement sans que jamais cette personne n'entende une once de vos paroles , ne ressente ni votre réconfort ni votre présence en sachant que vous étiez tant désiré ? Ou alors plutôt restez , tout en vous sachant optionnel ? Que la personne qui vous a , ne s'intéresse ni à votre présence dans son futur ou au présent ? Qui ne ferait que ce débattre pour quelque instant , de façon à faire semblant de vous rendre important pour que vous restiez, pour finalement vous laisser partir , parce qu'elle aura déjà choisi , à la seconde où elle avait décidée de se battre pour vous de vous considérez comme une option sans laquelle , certes sa vie tremblerai quelque instant , mais finalement trouverai son calme ? .. Que préféreriez-vous ? Entre l'immense vide que l'on feint de ne voir et l'option facultative ? Qui seriez vous ? Entre l'éclair foudroyant le ciel une seconde , et le dommage collatéral .. A quel point la vie peut elle être injuste certaines fois.




Chapitre 539 - Je me moque que ce soit juste ou non de t'aimer plus que toi tu ne m'aimes , de te vouloir plus que toi tu ne veux , de te désirer à chaque moment où je me prélasse de ton regard. Je me moque de tout , je m'en contre fou de la douleur qui me fait parfois sombrer dans la folie. Je n'en ai rien à faire de tout ça, tant qu'à mes côtés je t'ai toi. Je me fou de t'aimer plus fort , trop fort , je t'aime et c'est tout ce que je désire. Qu'on me prenne pour un immature, comme un enfant. Je vous emmerde, j'ai la certitude d'avoir trouvé l'amour dans sa forme la plus brute qui soit.







Je suis si fatigué , fatigué d'un espoir qui se laisse allé , dévoré par des doutes qui nuisent à ma santé mentale , à mon bien être intérieur , même si je vous mens en parlant de bien être , je devrai en l'occurrence plutôt parler de stabilité , parce que rien n'est jamais bien et rien n'est jamais totalement mauvais. Mais le calme de l'esprit laisse place à la douleur d'une passion qui se sait mourante sur le bord de la route , avec comme conviction de devoir une fois de plus se donner à un destin inconnu d'elle et de tous, car elle n'a pas fait tout ce qu'elle pouvait pour recevoir le dû qu'elle désire. Car il est de sa responsabilité et de sa faute , sa faute , son unique faute , si finalement elle se dévore elle-même et termine achevée par des doutes auxquelles elle aurait sûrement voulu se préparer mais ne l'a pas fait. Nous n'avons que ce que nous méritons , pas plus pas moins , pour chaque chose faite , dite , pensée et mise en place , nous devons payer. Je m'en veux tellement, si vous saviez.. Si cela doit s'arrêter demain.. Je dois vous avouez que je ne saurai pas quoi en pensé , mais ce que je peux vous dire.. C'est que , c'est dans cette période que réside mon bonheur.. Je me sais pitoyable , mais je vous en prie.. Ne me la reprenez pas encore une fois.. Je vous en prie.. Je me sais enfantin, mais j'ai l'intime conviction au plus profond de mon coeur que j'ai besoin d'elle et que je ne pourrai pas survivre sans elle.