mercredi 16 juillet 2014
Chapitre 543 - Et si je meurs violemment , pour combien de temps l'on se souviendra de moi ?
Artiste peintre à mes heures perdues je brode sur la toile d'une peinture invisible à l'hypocrisie l'essentiel de ce que j'affirme et pense être vrai , dans l'infinité la moins perceptible , jusque dans la totalité du grand tout. J'y crois. J'y affirme le centre unique d'un monde unique où tout peut jaillir d'une seule et grande idée. Je crois en l'humanité dans ce qu'elle a plus de perfectible à donner . J’idolâtre chacun des esprits dignes de s'égarer dans de profondes réflexions d'eux-même afin d'en prêcher la seule et grande identité qui leurs permets de dire "Je suis." Vous êtes ce que le monde , ce que l'histoire , ce que les générations nous précédents , pensaient être le plus magnifique cadeau à l'état actuel. Il n'y a ni paradis , ni enfer. Nous créons tout de toute pièce, nous avons , tout les pouvoirs que nous avons ériger à notre époque comme des basiques instinct primaire, mais vous êtes géniaux , unique et en recherche de la chose parfaite. Malgré tout, vous vous rendez plus mauvais les uns les autres , car dans la peur d'un amour non réciproque vous vous éloignez chacun de votre côté en construisant des murs toujours plus grand pour vous protéger de ce que vous ne connaissez pas. Aimer, découvrez, apprenez. Et acceptez, acceptez finalement de mourir. De laisser la place à quelqu'un d'autre qui reprendra votre projet et le fera grandir. Ayez confiance, à votre tour en ceux qui vous remplaceront.
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