A chaque fois c'est la même chose , quand on me demande " c'est toi qui a écrit ça ? " je me sens terriblement honteux. Honteux , et presque timide comme une de ces gamines à la vues du garçon de leurs rêves qui leurs feront tordre les ressorts de leurs lits avant de tordre leurs coeurs. Timide et honteux de dire " Oui j'en suis l'auteur ". Mais qu'est-ce qu'un auteur ? Celui à qui revient les droits de dire que quelque chose lui appartient ? Ces chapitres ne m'appartiennent pas. Ils n'appartiennent pas , ils existent et c'est tout. Le seul auteur ici sont mes mains. Qui une fois sur la page blanche enchaîne les lettres , mots avec une mélodie quasi-effrénée que je n'arrive à suivre que des yeux . J'suis l'auteur de quatre cent quatre vingt six chapitres ? Non , mais j'en suis le premier lecteur , et j'ai toujours désiré que les choses que mes mains puissent écrire me plaisent . Ce n'est pas le cas quatre cent quatre-vingt six tentatives plus tard, et des dizaines de milliers de fautes. Mes chapitres tout comme moi n'ont rien su devenir. Ni Homme , ni bandit , pas plus salaud qu'intelligent . Pas plus charismatique qu'une huître et plus sexy qu'un crabe . Le temps passe et ma vie se résume à des chapitres. Des bribes d'écritures dans lesquelles j'ose entendre et entreprendre ce que dit mon âme qui se moque de mon coeur. Suis-je l'auteur ou le lecteur ? L'acteur ou le spectateur. A qui s'adresse ce chapitre et qui en écrit la pensée ? L'auteur ou la pensée s'écrit par-delà l'auteur ? Qu'est-qu'un "je" ? Le "je" dit ici renvoie à ce que vous pensez que je puisse être ? Ce que je suis réellement ? Ou simplement un tour de magie d'un "je" qui se veut "vous" . Vous ne savez pas. Si ce que je dis viens de l'auteur , de l'imagination ou de vous . Mais qu'importe les mots sont , et doivent être pour prévenir la douceur d'un acte. Après plus de trois ans d'existence l'auteur , " je " , doute de la véracité de mon " oeuvre " , et encore .. Puis-je dire oeuvre ? Et merde de ce vocabulaire. J'emmerde ce chapitre , j'emmerde le monde , suis-je le masque ou l'image ? La personne ou le personnage ? La scène ou le public ? Le rôle que je dois joué est celui que l'on m'a désigné ou celui que je me désigne ? Je me perd dans la folie consciente d'un être qui sait ce qu'il est tout en se demandant si ce qu'il est existe .. Haha on m'a si souvent répété que la limite est fine entre folie et génie . J'en touche la bordure. Le soucis c'est que je ne sais pas de quel côté je me trouve ! Je n'ai jamais demandé d'avis sur mes écrits , parce que seul mon avis a un réel intérêt pour moi. Mais encore là , suis-je le lecteur , l'auteur , ou l'être indéfinissable.. Il y a si longtemps que je n'ai pas agis ! J'ai fais d'acte ! De réalité. Je ne veux plus pensé mais agir , car seul l'acte définira ce que je suis et ce que je dois être , je suis le propre juge de mon être . Et putain de bordel de merde , je me suis condamné à une peine que je ne peux assouvir. J'ai décidé d'être plus dur que le monde ! A tel point que je ne peux me battre , je ne peux pas battre le moi , en moi , si puissant et maléfique. Qui me rend alors insensible . Suis-je fou , ou un génie de l'écriture ? Haha . Un génie de la folie ?! Une folie de génie ? Je vis le drame , et vous lisez la cruauté d'un être qui se morfond sur une question où la réponse n'existe pas. Si drôle et amusant , j'en perd le fil , comme le lecteur . Je joue à un jeu où j'ai inventé les règles , et le comble de mon paradoxe , avec l'esprit tout aussi perverti que mon corps le veut ! Je perd à mon propre jeu.
Alors quoi . Je ne suis ni bon , ni gentil. Ni fou , ni génie. Ni beau ; ni idiot. J’idolâtre ce que je ne suis pas , et je méprise ce que je suis car je me suis élevé à la dur ! Sans option ni ressentiment . J'ai bannis les émotions qui maintenant se moquent de moi. Petit je rêvais d'une seule chose , lire la pensée des femmes , gamin je voulais la princesse que je pouvais sauvé , ado j'imaginais mon premier plan à 3 , écolier je roulais ma langue avec celle de ma voisine dans l'interclasse, en imaginant ma bien-aimée , collégien j'avais eu le droit à ma fellation en gage de bienvenue dans l'adolescence dans les chiottes de mon collège , Lycéen j'abusais de drogue , autant que d'alcool et de sexe en élargissant mon tableau de chasse , qu'avais-je alors ? Pas une proie ? Pas un cul plus beau que l'autres pour faire briller le tableau ? La quantité ne fait pas la qualité . Mais je n'ai appris que bien plus tard que en chassais dix simplettes , n'étaient rien comparé à la proie d'une de celle qui sont intouchables ! Et diantre que je ne vous parle pas de pucelles ou de celles qui s'imaginent ou se croient inatteignable , je vous parle du graal du charme , du défi de l'audace. Nul autre proie ne produit un bonheur pareille , que celui d'être inlassablement traqué ! Même sur le tableau. J'ai appris et avouer que le bonheur c'est de vouloir encore et encore ce que l'on a déjà. Bien plus tard , j'ai eu , et je n'ai pas eu. Une liste faramineuse de ce qui se faisait de mieux , et de ce qui ne se faisait pas. Un carnet noir , une blacklist , une bonne vraie blacklist encore mieux que celle des films , que j'ai savoureusement brûlée dans les flammes de mon désir passionnel. J'étais terrifié à l'époque ! Complètement , comme le boutonneux peureux de se faire choper par sa mère en train de se nettoyer la verge devant un bon petit site porno ! Terrifié de cette soif de désir , de chasse , de proie. Autant de filles que de conquête de pouvoir. Non pas pour me satisfaire d'une supériorité inexistante , mais simplement de me combler de la présence si spectaculaire que peut offrir une fille. J'en étais dingue. Jusqu'à la découverte de la femme en tant que telle ! Bordel , même ce con de dieu et pardon pour la blasphème putain de génie que tu es ; tu n'étais pas conscient de ce que tu faisais. Je croquais des hamburgers à pleine dent , jusqu'à un jour en arrivé à découvrir le met subtile du caviar ! Cette délicieuse saveur qui fond sous la langue et engourdi l'âme . Putain que j'aurai pu passer à côté de ça ! Con comme je suis ! Je m'en serai voulu toute ma merdique de vie ! Ce caviar qui ne se dévoile pas , qui ne se voit pas , qui ne se présente pas à nous comme cette serveuse de fast-food sur le bord de la dérive prête à faire un suicide de frite au prochain service . J'arborai fièrement la femme ! En tant qu'être supérieur à tout ! Un être sublime , dont le glamour tué le coeur , dont la prestance et la classe pouvait affolé un corps à l'en faire exploser.
Et oui , on ne baise plus , on ne baise pas . A une femme on lui fait ardemment et violemment l'amour à n'en plus finir , à en transpirer , à en faire des buées sur la vitre. Non là , Monsieur on était pas à la boucherie du coin , non ! On était pour le raffinement , le goût unique , le cadeau suprême . Ce n'était pas une usine ni même un Fouquet's vieux et dégoulinant de petit acquis . On nous ouvrait les portes du Bristol ! Accueilli comme un Prince , un Apollon du charme. C'était un honneur de pouvoir respirer le même air , et de dévorer la présence d'une femme ! On était pas à la soirée du coin , du gitan de ta mère la pauvre putain de sa misérable campagne ! On ne baisait pas la fille bourrée , manipulable ou triste de la vie . Non là ! On jouissait de plaisir à la vue d'une créature comme celle-ci qui sent bon la vie , et qui nous charme de tout son corps avant de nous engourdir de son esprit. On n'était plus à l'école , ni au collège avec deux trois putains ! Direction le paradis Gentleman . Adieu la bite qui servait de mitraillette à la manière d'une Kalashnikov sans bruit qui ne touchait sa cible que dix fois sur mille . Là nous avions quelque chose d'un niveau supérieur ! Un niveau digne de notre nouveau monde. Adieu l'arme ex-Urss , fané et sans goût . On avait là un CheyTac M200 Intervention. Un fusil sniper de précision , un kilomètre de distance , avec des cartouches qui faisait pleurer Rocco , un bruit à t'en réveillé toute une ville. Cette arme là on ne la sort qu'une fois dans sa vie. Pour fêter des occasions qu'un missile de pourrait avoir. Et adieu le bazooka , gentleman ! GENTLEMAN ! Nous sommes doués , beau , radieux , mais surtout raffiné , par d'explosion , nous visons dans le mille , silencieusement , et c'est la cible qui fait le bruit . Et avec une balle de .408 Cheytac , le bruit c'est un concert ! Splendide ce n'était même plus un niveau c'était un nouveau monde orchestré par des artistes de la vie. Je n'en revenais toujours pas ! Comment avais-je vécu sans connaître le plaisir d'assuré la présence d'une femme ! Plus besoin d'épaté la jalousie des autres avec le nombre. La qualité d'une seule suffisait ! Elle avait les manières d'une princesse , le glamour d'une duchesse, la beauté d'un ange , la douceur d'un déesse , j'en tombais follement amoureux à chaque jour qui suivait ! Je devenais aussi niais qu'une gay pride ! Putain si l'amour donnait des ailes , je volais dans la stratosphère pour deux siècles . Alors oui ! Je ne mangeais plus d'hamburger toute les semaines . Je n'avais plus de fast-food tout les jours , quand je le voulais , à domicile , ou n'importe ou , jetable , portable , éjectable ou retirable. Mais j'avais à la place , à une présentation du Plaza de Athénée digne de celui que personne ne pouvait avoir. Je me vantais intérieurement de cette acquisition. Mieux qu'une Ferrari GTO. Ce n'était plus moi qui faisait l'amour ! Mais c'était elle qui me faisait l'amour ! Et j'adorai ça . Je rêvais de me faire violer par ses mains douces , dont elle abusait de moi , le soir dans mon lit fatigué . Je me laissais faire , j'adorai ce qu'elle faisait de moi. J'avais le dernier atout du gentleman ! Le plus fort , le plus puissant , mieux que l'argent , plus beau que le costume , plus sexy que le sourire , plus enthousiaste que la répartie , plus classique que la montre Younger and Bresson , j'avais une déesse à mon bras. J'avais la femme de qui oeuvrait dans l'ombre pour me faire briller dans la lumière.
Alors quoi . Je ne suis ni bon , ni gentil. Ni fou , ni génie. Ni beau ; ni idiot. J’idolâtre ce que je ne suis pas , et je méprise ce que je suis car je me suis élevé à la dur ! Sans option ni ressentiment . J'ai bannis les émotions qui maintenant se moquent de moi. Petit je rêvais d'une seule chose , lire la pensée des femmes , gamin je voulais la princesse que je pouvais sauvé , ado j'imaginais mon premier plan à 3 , écolier je roulais ma langue avec celle de ma voisine dans l'interclasse, en imaginant ma bien-aimée , collégien j'avais eu le droit à ma fellation en gage de bienvenue dans l'adolescence dans les chiottes de mon collège , Lycéen j'abusais de drogue , autant que d'alcool et de sexe en élargissant mon tableau de chasse , qu'avais-je alors ? Pas une proie ? Pas un cul plus beau que l'autres pour faire briller le tableau ? La quantité ne fait pas la qualité . Mais je n'ai appris que bien plus tard que en chassais dix simplettes , n'étaient rien comparé à la proie d'une de celle qui sont intouchables ! Et diantre que je ne vous parle pas de pucelles ou de celles qui s'imaginent ou se croient inatteignable , je vous parle du graal du charme , du défi de l'audace. Nul autre proie ne produit un bonheur pareille , que celui d'être inlassablement traqué ! Même sur le tableau. J'ai appris et avouer que le bonheur c'est de vouloir encore et encore ce que l'on a déjà. Bien plus tard , j'ai eu , et je n'ai pas eu. Une liste faramineuse de ce qui se faisait de mieux , et de ce qui ne se faisait pas. Un carnet noir , une blacklist , une bonne vraie blacklist encore mieux que celle des films , que j'ai savoureusement brûlée dans les flammes de mon désir passionnel. J'étais terrifié à l'époque ! Complètement , comme le boutonneux peureux de se faire choper par sa mère en train de se nettoyer la verge devant un bon petit site porno ! Terrifié de cette soif de désir , de chasse , de proie. Autant de filles que de conquête de pouvoir. Non pas pour me satisfaire d'une supériorité inexistante , mais simplement de me combler de la présence si spectaculaire que peut offrir une fille. J'en étais dingue. Jusqu'à la découverte de la femme en tant que telle ! Bordel , même ce con de dieu et pardon pour la blasphème putain de génie que tu es ; tu n'étais pas conscient de ce que tu faisais. Je croquais des hamburgers à pleine dent , jusqu'à un jour en arrivé à découvrir le met subtile du caviar ! Cette délicieuse saveur qui fond sous la langue et engourdi l'âme . Putain que j'aurai pu passer à côté de ça ! Con comme je suis ! Je m'en serai voulu toute ma merdique de vie ! Ce caviar qui ne se dévoile pas , qui ne se voit pas , qui ne se présente pas à nous comme cette serveuse de fast-food sur le bord de la dérive prête à faire un suicide de frite au prochain service . J'arborai fièrement la femme ! En tant qu'être supérieur à tout ! Un être sublime , dont le glamour tué le coeur , dont la prestance et la classe pouvait affolé un corps à l'en faire exploser.
Et oui , on ne baise plus , on ne baise pas . A une femme on lui fait ardemment et violemment l'amour à n'en plus finir , à en transpirer , à en faire des buées sur la vitre. Non là , Monsieur on était pas à la boucherie du coin , non ! On était pour le raffinement , le goût unique , le cadeau suprême . Ce n'était pas une usine ni même un Fouquet's vieux et dégoulinant de petit acquis . On nous ouvrait les portes du Bristol ! Accueilli comme un Prince , un Apollon du charme. C'était un honneur de pouvoir respirer le même air , et de dévorer la présence d'une femme ! On était pas à la soirée du coin , du gitan de ta mère la pauvre putain de sa misérable campagne ! On ne baisait pas la fille bourrée , manipulable ou triste de la vie . Non là ! On jouissait de plaisir à la vue d'une créature comme celle-ci qui sent bon la vie , et qui nous charme de tout son corps avant de nous engourdir de son esprit. On n'était plus à l'école , ni au collège avec deux trois putains ! Direction le paradis Gentleman . Adieu la bite qui servait de mitraillette à la manière d'une Kalashnikov sans bruit qui ne touchait sa cible que dix fois sur mille . Là nous avions quelque chose d'un niveau supérieur ! Un niveau digne de notre nouveau monde. Adieu l'arme ex-Urss , fané et sans goût . On avait là un CheyTac M200 Intervention. Un fusil sniper de précision , un kilomètre de distance , avec des cartouches qui faisait pleurer Rocco , un bruit à t'en réveillé toute une ville. Cette arme là on ne la sort qu'une fois dans sa vie. Pour fêter des occasions qu'un missile de pourrait avoir. Et adieu le bazooka , gentleman ! GENTLEMAN ! Nous sommes doués , beau , radieux , mais surtout raffiné , par d'explosion , nous visons dans le mille , silencieusement , et c'est la cible qui fait le bruit . Et avec une balle de .408 Cheytac , le bruit c'est un concert ! Splendide ce n'était même plus un niveau c'était un nouveau monde orchestré par des artistes de la vie. Je n'en revenais toujours pas ! Comment avais-je vécu sans connaître le plaisir d'assuré la présence d'une femme ! Plus besoin d'épaté la jalousie des autres avec le nombre. La qualité d'une seule suffisait ! Elle avait les manières d'une princesse , le glamour d'une duchesse, la beauté d'un ange , la douceur d'un déesse , j'en tombais follement amoureux à chaque jour qui suivait ! Je devenais aussi niais qu'une gay pride ! Putain si l'amour donnait des ailes , je volais dans la stratosphère pour deux siècles . Alors oui ! Je ne mangeais plus d'hamburger toute les semaines . Je n'avais plus de fast-food tout les jours , quand je le voulais , à domicile , ou n'importe ou , jetable , portable , éjectable ou retirable. Mais j'avais à la place , à une présentation du Plaza de Athénée digne de celui que personne ne pouvait avoir. Je me vantais intérieurement de cette acquisition. Mieux qu'une Ferrari GTO. Ce n'était plus moi qui faisait l'amour ! Mais c'était elle qui me faisait l'amour ! Et j'adorai ça . Je rêvais de me faire violer par ses mains douces , dont elle abusait de moi , le soir dans mon lit fatigué . Je me laissais faire , j'adorai ce qu'elle faisait de moi. J'avais le dernier atout du gentleman ! Le plus fort , le plus puissant , mieux que l'argent , plus beau que le costume , plus sexy que le sourire , plus enthousiaste que la répartie , plus classique que la montre Younger and Bresson , j'avais une déesse à mon bras. J'avais la femme de qui oeuvrait dans l'ombre pour me faire briller dans la lumière.
Bref bref , c'était un délice audacieux. Mais de tout ça , savez une chose nous les hommes , garçon , mecs , "zink" , connard. Tout comme vous êtes les mêmes à ne jamais savoir ce que vous voulez sans vous décidé mille fois avant de ne toujours pas savoir comme atteinte de la maladie de la perte de mémoire. Il faut savoir quelque chose à notre sujet . C'est que le caviar , ou l'hamburger , les deux n'ont pas le même goût c'est certains. Mais après 15 ans de caviar , ou 15 ans d'hamburger.. C'est toujours le même goût. La seule chose c'est que nous savons ce que nous voulons , c'est pourquoi nous l'évitons. Nous ne sommes pas assez con pour se satisfaire de ce que nous voulons , pour ensuite faire comme vous et nous étonnez bizarrement que les sentiments n'y sont plus. Bitch please. Les coups d'avance c'est ce qui différencie , les mecs , garçons , homme et gentleman. Un mec , garçon n'a aucun coup d'avance. Un homme en a un voir deux , et prévoit le reste . Le gentleman , invente ses coups d'avances. Mesdames , quand vous baisé un mec sur terre. On en a déchiré deux cents des vôtres, quand vous brisez le coeur d'un seul de nos hommes , on brise le cul de vos six prochaines générations. Alors qu'on se relaxe sur la vengeance , et l'infidélité. Vous voulez l'amour vrai , mais au restaurant vous êtes toutes les mêmes , vous regarder toujours le plat de l'autre. Nous on ose juste se servir avant vous.
Baisez moi autant de fois que vous voulez , j'en ai baisé assez d'avance pour vous laisser tout le loisir du reste. J'aime les filles , mais je crois qu'elles m'aiment encore un peu plus. Vous êtes toutes les mêmes. A dire que le physique ne fait pas tout , mais une belle gueule , un beau sourire , et quelques paroles suffissent à mettre même les plus récalcitrante dans son lit. N'avons rien de respectable, mais rassurez vous. Vous non plus. La question de tout ça n'est pas de savoir comment vous faire l'amour. Mais plutôt quand.
(Si tu lis ça alors que tu viens de te réveillée .. Qu'est-ce que ça doit être dur à avaler. M'enfin le pire c'est que t'en auras ri. Viole-moi. J'attend que ça. Pourvu que je t'excite. Parce que moi. Tu me rends dingue.)

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