jeudi 30 janvier 2014

Chapitre 492 - Mensonge





C'est injuste. Même si tu arriveras à te persuader que ça te dérange. Ca ne sera qu'à peine la moitié de ma douleur. C'est injuste, j'ai tout donné , tout fait et encore aujourd'hui je me heurte à une barrière. Aussi petite soit-elle. Je te déteste. Je te déteste à réussir à penser à ça aussi simplement , à en parler aussi simplement. Je te hais , toi et ta foutue pseudo distance qui t'empêche de t'atteindre. De ressentir et de comprendre, surtout de comprendre. C'est de l'écroulement de mon monde que l'on parle. Je te déteste. Je te déteste de ne pas comprendre ma peine. De te refuser à voir ce que je tente de te montrer. C'est.. ce n'est même plus injuste. C'est tout bonnement dégueulasse. C'est dégueulasse et stupide ! Stupide qu'il y en ai un qui s'en sorte toujours mieux que l'autre.. J'en ai marre de ce sacrifice. J'en ai marre de cette deuxième personnes. Ca fait huit jours que je ne ressens plus ton amour. Mais de toute façon , qu'est-ce t'en as réellement à foutre ? Tu es pour moi.. Ce que jamais , je ne serai pour toi , jamais. Je.. Tu.. Et puis..








[OFF] POUR QUATRE-VINGT SEIZE HEURES



Ecrit il y a 682 jours.

Chapitre 491 - Vous mentez toujours. Toujours. Toujours de trop. Et toujours trop mal. Bande de cons.






Haha.


Je regrette tant , à certains moment de ne pas avoir le choix d'exister ou non. Je n'ai pas envie d'exister. De penser. Je n'ai pas la force. Pas aujourd'hui. Que le monde me laisse tranquille. Je ne veux pas avoir le courage d'affronter une journée aujourd'hui. Qu'on oublie jusqu'à la moindre parcelle de moi. Le moindre écho , timbre de voix , odeur de peau. Je me refuse à devoir accepter les injustices quotidienne. A devoir avaler un quota de mensonge. Qui me donne la nausée. Ces hypocrites , ces narcissiques , ces cyniques , ces mégalomanes.. Vous n'avez pas besoin de moi pour continuer. Qu'on me réveille au milieu d'un champ , qui marierai la douceur du printemps , à la chaleur de l'été , au sommeil de l'hiver. Un livre à la main , avec une tasse de thé. Et qu'on en oublie même jusqu'à ma respiration.Vous ne m'intéressez pas , et je ne vous intéresse pas. Mon âme se refuse à ce que j'y touche. Elle se meurt sans que je ne puisse rien y faire. Simple spectateur. Alors finalement.. Dans ce monde.. Y a t-il quelqu'un d'assez fou , pour en prendre soin ? Je ne veux simplement plus de contradiction , de paradoxe , je ne veux que du pur. De la solitude. Plus froide , et plus belle. La solitude à deux. Au milieu d'un champ. Avec un livre.. un simple livre. Rien de plus. Rien de moins. Le monde entre parenthèse. L'espace en dehors du temps. La durée outre le temps. Ce moment intemporel. Je regrette d'avoir à exister , quand je dois en vivre en me forçant à accepter tout un tas de souffrance inutile. Je veux me défaire de ça. Je veux me défaire de vous. Vous êtes fou. Et votre folie , je n'en veux pas. 

mercredi 29 janvier 2014

Chapitre 490 - Le jour où j'ai manipulé une psychologue.

-Bonjour, je serai votre nouvelle psychologue enchantée.
-C'est moi qui suis ravi, pour une fois que ce n'est pas un vieux.
*elle me sourit*
-Pourquoi avez-vous fait recours à l'aide d'une personne de ma profession ?
-Je n'ai fait aucun recours. Ce sont mes parents qui me trouvent , trop " bizarre " et distant avec les gens.
-Et vous pensez l'être ?
-Je ne pense pas , je sais que je le suis. Simplement je préfère ne m'entourer que de deux trois personnes compétentes plutôt qu'une équipe de bras cassés.
-Pourquoi ce choix ?
-Vous préférer des hypocrites ou des personnes qui se veulent un minimum vrai ?
-Je ne répond jamais aux questions.
-J'accepte de répondre avec honnêteté , parce que je crois réellement qu'un rapport entre psychologue et patient , ne se fait pas de cette manière. Nous sommes avant tout des personnes faites ici pour discuter à l'élaboration et à la solution d'un problème. Vous ne parler pas au patient et je me refuse de parler au psychologue. C'est un rapport humain d'abord. De personne à personne. Je ne demande pas. J'exige de l'humanité dans nos rapports. Ne répondez pas à ma question , et je ne répondrai pas aux vôtres. C'est un échange équivalent. Je veux connaître la personne avant la "personna".
-Quel âge avez-vous ?
-16 ans, bientôt 17, vous pouvez me tutoyez.
-Vous n'êtes pas sans savoir que ce genre de rapport est impossible pour la simple raison qu'en école de psychologie on nous apprend à ne jamais devenir familier ou proche d'un patient , sinon les émotions prennent le dessus et ses problèmes deviennent les nôtres. Et notre travail en perd en efficacité.
-Je ne suis pas du genre à partager quoi que ce soit.
-Pas même une réponse ?
-Vous en connaissez la condition.

*Une dizaine de minutes s'écoulent durant lesquelles personnes ne parlent*

-Monsieur Bouacha , je ne suis pas votre ennemi vous savez.
-Mais vous n'êtes pas une amie non plus sachez-le.

*Quelques minutes se passent , elle me regardent d'une froideur exemplaire , pourtant ses yeux ne restent pas fixe sur moi.*
-Vous perdez votre temps vous savez ?
-Je perd surtout mon argent. Du moins celui de mes parents.
-Ne voulez vous pas être aidé ?
-Je n'ai pas demandé d'aide , ce sont ceux autour de moi qui pensent que j'ai besoin d'aide.
-N'êtes vous pas d'accord ?
-Vous savez bien que non.
-Aurais-je le droit à une autre réponse ?
-Remplissez d'abord les conditions je vous en prie.

*Mes parents avaient osé payer une psychologue à la journée pour "m'aider" ils ne plaisantaient pas sur les moyens , et moi non plus.*

-Savez-vous que ce que vous me dite de faire , est tout simplement et purement passible d'une radiation de l'ordre des psychologues , si cela devait s'apprendre ? Que je ne pourrai ni exercer ni même reprendre des études de psychologie ?
-Si ça devait s'apprendre. Mais qui pourrait le savoir ?
-Vous & moi , et cette dictaphone qui nous enregistre.
-Donnez moi en un exemplaire et cela suffira.
-Pourquoi faire ? Je n'en suis pas obligée vous savez ?!
-Mais vous y êtes chaudement conseillée..
-Suis-je entrain d'hallucinée ou c'est bel et bien un enfant qui tenterait de m'intimidée ?
-Le temps n'attend pas la valeur de l'âge, et je ne cherche pas à vous intimidé , simplement à avoir une conversation enregistrée de ce qu'il est dit.
-Qu'ai-je à gagner à remplir vos conditions.
-Votre boulot est de m'étudier , je vous y aiderait autant que mon inconscient le voudra bien.
-Qu'est-ce qui vous fait croire que je le voudrai.
-Quand on devient psychologue c'est par deux raisons , la première c'est qu'on avait , ou qu'on a un problème et qu'on veut le résoudre en aidant les autres , ce qui nous donnent satisfaction et bonne humeur. La seconde c'est d'aidé les gens simplement parce qu'il est primordiale de les aider. La véritable question est de savoir si réellement j'avais besoin d'aide mais que je ne m'en rendais pas compte , oseriez-vous me laissé aller à la dérive par de stupide loi ? Et dans ce cas vous ne seriez pas en accord avec vous-mêmes. Vous voulez sauvez les gens sans pour autant vous mettre en danger , mais pour aider il faut se montrer , tel que l'on est. Accepteriez vous de me laissé tombé ? Tout en sachant que j'ai besoin d'aide ?

*Deux longues minutes se passent , sans qu'aucun des deux ne parlent*

-Ce qui va suivre ne doit resté qu'entre nous , et personne d'autre. La conversation enregistrée ne sera qu'en deux exemplaires. Vos parents ne doivent jamais le savoir , et vous ne devez jamais en parler, ni même en émettre l'hypothèse. Je suis prête à répondre à cette condition dans la conjecture à vous aider , une fois faite , nous en reviendront à l'habituel schéma et plus aucune sorti de sentier ne sera accepter ou même possible. Toutefois j'impose aussi mes conditions. Je veux que vous répondiez à un questionnaire orale que j'ai l'habitude de posée.

-J'accepte entièrement les conditions. L'on se tutoie. Présente-toi à moi s'il te plaît.

-Je m'appelle Aurore , pour des raisons qui ne regardent que moi , il n'est pas nécessaire de savoir mon nom de famille. J'ai 29 ans , j'ai étudié la psychologie à l'âge de mes dix neuf ans. Maintenant peux-tu répondre aux questions de mon questionnaire ?

-Bien évidemment.

-Ce sont des phrases que je commence et que le patient , ou la personne si tu préfères complète. Peut-on commencer ?

-Allons donc , je suis pour Aurore.

-C'est bien la première fois qu'une telle situation m'arrive .. : " La vie ou la mort les deux ne sont.. "

- " Que le visage de l'existence. "

- Hum. " L'amour est le principe de tout être mais la morale reste .. "

- " le prestige de l'âme dans laquelle l'homme connait et se reconnait. Dans ce qu'il est , de ce qu'il doit 

-D'accord continuons : " La mort a quelque chose... "

- " D'excitant et d'irrémédiablement attirant. "

-Haha. Tu es quelqu'un de charmeur ou tu veux être une personne de charme.

-Les deux visent le même objectif non ?

-Oui.

-Dommage parce que ce n'est aucun des deux. Mais ravi de savoir que ta personne , me trouve charmeur , je n'ai que 16 ans tout de même.

-Tu es d'un égoïsme affligeant ..

- Ou peut être que c'est ce que je veux paraître. Trop de question sans réponse.

-Pourquoi ce sourire sur ton visage.

-Aujourd'hui est un grand jour.

-Je le confirme c'est la première fois que j'ai affaire à une personne pareille. Mais nous sommes tous unique allons bon.

-C'est surtout le jour où je me rend compte que je suis assez persuasif pour convaincre une psychologue de suivre ce que je lui dis.

*Elle se sentait déstabilisé j'en suis sûr*

-J'y gagne aussi en intérêt. Quoi qu'il en soit , je l'avoue. Et je l'avais déjà marqué au tout début. Tu as les bases d'un manipulateur qui sait ce faire comprendre. Tu utilises la rhétorique de questions , pour coincer et soumettre ton interlocuteur en lui faisant croire que ce que tu lui dis est l'unique et seul moyen d'arriver à s'en sortir. Tu barres les routes en faisant une impasse sur laquelle tu te mets , en proposant de passé moyennant des conditions. C'est injuste, simple et efficace , j'ai acceptée pour pouvoir tester tes capacités.

-Et le résultat ?

-A 16 ans , avoir conscience de ça , et l'utilisé aussi simplement c'est clairement intelligent et très , prometteur , du moins pour toi.

*Les heures s'écoulent et se suivent sans intéresser grandement la conversation sur laquelle je passe une ellipse*

-Il est bientôt 17 h 45 , tu as trois micros cd de une heure et demie d'enregistrement plus celle que nous utilisons là. Je ne vais pas tard à partir. Avant tout je tiens à te remercier pour ton honnêteté et nous prévoiront d'autres séances au cours du mois prochain.

-C'est là qu'Aurore tu te trompes. Tu parles d'honnêteté , j'ai très bien pu te mentir , et je peux très bien te mentir là , ou je peux t'assurer que je t'ai dis la vérité , alors que je t'ai menti. Ou je peux te dire que je t'ai menti , alors que je te disais la vérité.

-Tu m'aurai menti ?

-Qui sait . Si je te dis que je t'ai menti , suis-je honnête ? Si je te dis que je ne t'ai pas menti ? Suis-je un menteur. Tu ne peux pas le savoir parce que si je mens vraiment et que je te le dis je suis honnête tu ne le saura pas. Mais si je te dis que je suis honnête tu peux croire que je te mens.

-Tu aurais préparé ton coup à l'avance ?! Attend. Tu savais que j'allais te dire oui ?! Tu savais aussi que je voulais tester , et que j'ai voulu te tromper , quand je t'ai avoué que je voulais juste savoir et voir comment tu te débrouillais vraiment. Et tu as attendu le dernier quart d'heure pour réellement faire ce que tu avais en tête depuis le début. Tu m'as..

-Manipulé ? .. Je t'avais dis que ce serait un grand jour. Moi , du bas de mes seize ans qui manipule une psychologue. Et puisque tu te connais ce genre de précepte. J'utilise quoi à l'instant ?

-Je. Tu es véritablement un patient , un sujet intéressant , tu es pire qu'un caméléon. Tu viens .. D'utiliser le paradoxe du menteur. Tu plonges ton interlocuteur dans un doute constant , de vérité ou de mensonge. C'est de la torture psychologique, ce que tu fais là.. Comment à ton âge sait-on utiliser ce genre de technique de manipulation ?

-J'ai eu un bon père. Quoi qu'il en soit , j'en viens au but que je voulais depuis le début de la journée. Maintenant que tu ne sais pas si les connaissances que tu as acquises de moi , sont vraies ou fausses; ça n'a plus aucune valeur. Par contre ce qui en a , c'est le fait que tu aies avouée connaitre les risques de ce que tu faisais et que tu l'as quand même fait. Ce qui te met en faute professionnel et avec l'enregistrement que j'ai , je peux te démettre de ta fonction.

-Tu ne ferai pas ça.. Je.. Bordel ! Idiote que je suis !

-Je ne le ferai pas , c'est vrai , à une seule condition Aurore.

-Encore une condition .. Tu me manipules , me mens , me fait douter pour ensuite faire semblant de me proposer une condition à laquelle tu sais que je ne peux pas refuser. C'est toi qui a 16 ans ou est-ce moi ?!

-Ne revient plus jamais me voir ou prendre rendez-vous avec moi. Quand tu auras mes parents au téléphone , tu leurs dira que tout s'est bien passé , qu'il n'y a rien eu d'étrange ou de dangereux à signaler vis à vis de mon comportement , et que ça ne sert à rien de prévoir d'autres séances.

-Tu es.. Mon dieu. A ton âge être capable de ça.. Tu vas être terrifiant en grandissant.

-Ne suis-je déjà pas assez intimidant ? Accepte-tu ou non cet accord ?

-Je n'ai pas le choix , petit démon. Je vais y aller, je tiens quand même à te remercier de l'expérience que tu m'apportes dans ma profession , tu m'as permis de comprendre que j'avais pas mal de chemin à faire encore avant d'être équivalent à mes confrères.

-Un plaisir d'avoir pu faire ta connaissance Aurore et je..


L'enregistrement s'arrête là. Le disque saute et se bloque , il y a encore trois quatre secondes de conversation avant un discernement de rire; Puis plus rien.







Conversation du Dimanche 6 Février 2010 - 13 h 42 - 18 h 05 Effacée

Chapitre 489 - La réussite fait peur , parce qu'en la disant on entend le poids de l'acte , des sacrifices , des efforts et de la douleur. Réussir. Réussir. Réussir.. Réussir ou mourir.





Dans retour dans le futur , en 2015 il y a des skateboards volant , et des chaussures qui se lassent toutes seules. M'sieurs les scientifiques vous avez un an.



-La recherche d'excellence est quelque chose de bien plus grand que celui du bonheur. Le bonheur sans valeur, sans malheur , pour au final pas mal de douleur. L'excellence, c'est l'audace. Le culot. C'est le " Va bien te faire foutre. " de plus que le bonheur n'offre pas. Et ne soumet pas à son entendement. L'excellence est en constant changement. Alors que le bonheur lui ? Pauvre de lui , autant dans la profondeur que dans l'émotion , n'est que ce qu'il paraît être. Il n'offre que ce qu'il est. Et encore ! Si l'on se rappelle de ce qui manque à l'appel c'est un drame de rechercher quelque chose pareille. Comme une fin en soi. Comme l'acheminement de quelque chose qui se termine. Vouloir une histoire où la fin est déjà faite ? Qui oserait s'y arpenter , sans adrénaline , ni secret et pas plus d'excitation qu'une prière en église un dimanche matin ! Si j'ai les capacités d'imaginé des choses impossibles je me dois d'en accomplir une ! Je ne briderai pas mes actes à quelques chemins , quand mon esprit bâti une autoroute ! Et trop tard pour les perdants qui s'arrêtent en cours de route. Que celui qui se refuse à améliorer devienne déjà le pire. Il n'y a ni limite , ni juste milieu. Vous êtes tout. Ou vous n'êtes rien. Et rien ne sert de chercher un entre deux pour pouvoir poser son petit cul tout luisant. La vie est un challenge auquel on ne dit pas non. La vie est pire qu'une femme en shopping , plus forte qu'un homme prêt à tout , plus dur que la roche , et surtout plus belle qu'une dizaine de ces diamants qui éclairent le ciel la nuit , quand le velours si chaleureux des ténèbres recouvre notre bien aimée planète. Je ne respecte qu'une chose. Les efforts. Vous ne valez rien pour moi , tant que je n'ai pas mesuré un seul effort , un seul acte. Vous parlez , parlez , parlez jusqu'à en crever . Sans jamais rien faire. Vos petites habitudes sont mon ennui à moi. Qui sont donc ces bandits , ces voyous , ces truands que sont vos parents ?! A ne pas vous avoir enseigné que l'acte est la seule valeur de ce monde. Ne me bercer pas de belles paroles je m'en contre fou. Je suis un sourd des hypocrites et amoureux des gens qui ont le culot de vouloir essayer. Mais je reste raide dingue de ces perles rares ; de ces bijoux plus précieux que la terre , qui font l'éloge de l'humanité. Plus puissant qu'un mur flamboyant , plus lumineux qu'un être de lumière , ces êtres qui ne veulent pas essayer , mais veulent réussir. Alors chercher ! Chercher le bonheur aussi minable que vous êtes. C'est l'invention , le mensonge du 21ème siècles , les plus faibles tombent dans le panneau, c'est une chimère pour que les plus malheureux ne désespère pas trop vite , et ne se plaignent pas trop fort. L'évolution , l'amélioration , la recherche de perfection , là est l'unique et seul grâce qui nous est faite.-



De tout ça , sachez que , quelquefois, ne pas avoir ce que l'on veut , est une merveilleuse chose.


Il y a chez la femme , cette ridicule part d'honnêteté dans ses paroles ,  qui la rend meilleure menteuse que n'importe quels hommes. C'est un drame de se méfier de ce qui nous attire le plus. Mais avons-nous le choix ? .. Je crois qu'en réalité nous l'avons et l'aurons pour toujours. Nous n'avons simplement pas la force de céder le sacrifice nécessaire. Mon seul but à moi , est d'être un mal nécessaire. Quelque chose de mauvais , mais qui équilibre la balance. 





(PS : Plus que deux ans avant de m'essayer à la roulette Russe. Si la vie est un hasard je compte voir si il est de mon côté.)

Chapitre Spécial Duo 487-488 - La folie d'un faux génie // - Ne mentez pas ! Vous adorez ça .





A chaque fois c'est la même chose , quand on me demande " c'est toi qui a écrit ça ? " je me sens terriblement honteux. Honteux , et presque timide comme une de ces gamines à la vues du garçon de leurs rêves qui leurs feront tordre les ressorts de leurs lits avant de tordre leurs coeurs. Timide et honteux de dire " Oui j'en suis l'auteur ". Mais qu'est-ce qu'un auteur ? Celui à qui revient les droits de dire que quelque chose lui appartient ? Ces chapitres ne m'appartiennent pas. Ils n'appartiennent pas , ils existent et c'est tout. Le seul auteur ici sont mes mains. Qui une fois sur la page blanche enchaîne les lettres , mots avec une mélodie quasi-effrénée que je n'arrive à suivre que des yeux . J'suis l'auteur de quatre cent quatre vingt six chapitres ? Non , mais j'en suis le premier lecteur , et j'ai toujours désiré que les choses que mes mains puissent écrire me plaisent . Ce n'est pas le cas quatre cent quatre-vingt six tentatives plus tard, et des dizaines de milliers de fautes. Mes chapitres tout comme moi n'ont rien su devenir. Ni Homme , ni bandit , pas plus salaud qu'intelligent . Pas plus charismatique qu'une huître et plus sexy qu'un crabe . Le temps passe et ma vie se résume à des chapitres. Des bribes d'écritures dans lesquelles j'ose entendre et entreprendre ce que dit mon âme qui se moque de mon coeur. Suis-je l'auteur ou le lecteur ? L'acteur ou le spectateur. A qui s'adresse ce chapitre et qui en écrit la pensée ? L'auteur ou la pensée s'écrit par-delà l'auteur ? Qu'est-qu'un "je" ? Le "je" dit ici renvoie à ce que vous pensez que je puisse être ? Ce que je suis réellement ? Ou simplement un tour de magie d'un "je" qui se veut "vous" . Vous ne savez pas. Si ce que je dis viens de l'auteur , de l'imagination ou de vous . Mais qu'importe les mots sont , et doivent être pour prévenir la douceur d'un acte. Après plus de trois ans d'existence l'auteur , " je " , doute de la véracité de mon " oeuvre " , et encore .. Puis-je dire oeuvre ? Et merde de ce vocabulaire. J'emmerde ce chapitre , j'emmerde le monde , suis-je le masque ou l'image ? La personne ou le personnage ? La scène ou le public ? Le rôle que je dois joué est celui que l'on m'a désigné ou celui que je me désigne ? Je me perd dans la folie consciente d'un être qui sait ce qu'il est tout en se demandant si ce qu'il est existe .. Haha on m'a si souvent répété que la limite est fine entre folie et génie . J'en touche la bordure. Le soucis c'est que je ne sais pas de quel côté je me trouve ! Je n'ai jamais demandé d'avis sur mes écrits , parce que seul mon avis a un réel intérêt pour moi. Mais encore là , suis-je le lecteur , l'auteur , ou l'être indéfinissable.. Il y a si longtemps que je n'ai pas agis ! J'ai fais d'acte ! De réalité. Je ne veux plus pensé mais agir , car seul l'acte définira ce que je suis et ce que je dois être , je suis le propre juge de mon être . Et putain de bordel de merde , je me suis condamné à une peine que je ne peux assouvir. J'ai décidé d'être plus dur que le monde ! A tel point que je ne peux me battre , je ne peux pas battre le moi , en moi , si puissant et maléfique. Qui me rend alors insensible . Suis-je fou , ou un génie de l'écriture ? Haha . Un génie de la folie ?! Une folie de génie ? Je vis le drame , et vous lisez la cruauté d'un être qui se morfond sur une question où la réponse n'existe pas. Si drôle et amusant , j'en perd le fil , comme le lecteur . Je joue à un jeu où j'ai inventé les règles , et le comble de mon paradoxe , avec l'esprit tout aussi perverti que mon corps le veut ! Je perd à mon propre jeu.


Alors quoi . Je ne suis ni bon , ni gentil. Ni fou , ni génie. Ni beau ; ni idiot. J’idolâtre ce que je ne suis pas , et je méprise ce que je suis car je me suis élevé à la dur ! Sans option ni ressentiment . J'ai bannis les émotions qui maintenant se moquent de moi. Petit je rêvais d'une seule chose , lire la pensée des femmes , gamin je voulais la princesse que je pouvais sauvé , ado j'imaginais mon premier plan à 3 , écolier je roulais ma langue avec celle de ma voisine dans l'interclasse, en imaginant ma bien-aimée , collégien j'avais eu le droit à ma fellation en gage de bienvenue dans l'adolescence dans les chiottes de mon collège , Lycéen j'abusais de drogue , autant que d'alcool et de sexe en élargissant mon tableau de chasse , qu'avais-je alors ? Pas une proie ? Pas un cul plus beau que l'autres pour faire briller le tableau ? La quantité ne fait pas la qualité . Mais je n'ai appris que bien plus tard que en chassais dix simplettes , n'étaient rien comparé à la proie d'une de celle qui sont intouchables ! Et diantre que je ne vous parle pas de pucelles ou de celles qui s'imaginent ou se croient inatteignable , je vous parle du graal du charme , du défi de l'audace. Nul autre proie ne produit un bonheur pareille , que celui d'être inlassablement traqué ! Même sur le tableau. J'ai appris et avouer que le bonheur c'est de vouloir encore et encore ce que l'on a déjà. Bien plus tard , j'ai eu , et je n'ai pas eu. Une liste faramineuse de ce qui se faisait de mieux , et de ce qui ne se faisait pas. Un carnet noir , une blacklist , une bonne vraie blacklist encore mieux que celle des films , que j'ai savoureusement brûlée dans les flammes de mon désir passionnel. J'étais terrifié à l'époque ! Complètement , comme le boutonneux peureux de se faire choper par sa mère en train de se nettoyer la verge devant un bon petit site porno ! Terrifié de cette soif de désir , de chasse , de proie. Autant de filles que de conquête de pouvoir. Non pas pour me satisfaire d'une supériorité inexistante , mais simplement de me combler de la présence si spectaculaire que peut offrir une fille. J'en étais dingue. Jusqu'à la découverte de la femme en tant que telle ! Bordel , même ce con de dieu et pardon pour la blasphème putain de génie que tu es ; tu n'étais pas conscient de ce que tu faisais. Je croquais des hamburgers à pleine dent , jusqu'à un jour en arrivé à découvrir le met subtile du caviar ! Cette délicieuse saveur qui fond sous la langue et engourdi l'âme . Putain que j'aurai pu passer à côté de ça ! Con comme je suis ! Je m'en serai voulu toute ma merdique de vie ! Ce caviar qui ne se dévoile pas , qui ne se voit pas , qui ne se présente pas à nous comme cette serveuse de fast-food sur le bord de la dérive prête à faire un suicide de frite au prochain service . J'arborai fièrement la femme ! En tant qu'être supérieur à tout ! Un être sublime , dont le glamour tué le coeur , dont la prestance et la classe pouvait affolé un corps à l'en faire exploser.

Et oui , on ne baise plus , on ne baise pas . A une femme on lui fait ardemment et violemment l'amour à n'en plus finir , à en transpirer , à en faire des buées sur la vitre. Non là , Monsieur on était pas à la boucherie du coin , non ! On était pour le raffinement , le goût unique , le cadeau suprême . Ce n'était pas une usine ni même un Fouquet's vieux et dégoulinant de petit acquis . On nous ouvrait les portes du Bristol ! Accueilli comme un Prince , un Apollon du charme. C'était un honneur de pouvoir respirer le même air , et de dévorer la présence d'une femme ! On était pas à la soirée du coin , du gitan de ta mère la pauvre putain de sa misérable campagne ! On ne baisait pas la fille bourrée , manipulable ou triste de la vie . Non là ! On jouissait de plaisir à la vue d'une créature comme celle-ci qui sent bon la vie , et qui nous charme de tout son corps avant de nous engourdir de son esprit. On n'était plus à l'école , ni au collège avec deux trois putains ! Direction le paradis Gentleman . Adieu la bite qui servait de mitraillette à la manière d'une Kalashnikov sans bruit qui ne touchait sa cible que dix fois sur mille . Là nous avions quelque chose d'un niveau supérieur ! Un niveau digne de notre nouveau monde. Adieu l'arme ex-Urss , fané et sans goût . On avait là un CheyTac M200 Intervention. Un fusil sniper de précision , un kilomètre de distance , avec des cartouches qui faisait pleurer Rocco , un bruit à t'en réveillé toute une ville. Cette arme là on ne la sort qu'une fois dans sa vie. Pour fêter des occasions qu'un missile de pourrait avoir. Et adieu le bazooka , gentleman ! GENTLEMAN ! Nous sommes doués , beau , radieux , mais surtout raffiné , par d'explosion , nous visons dans le mille , silencieusement , et c'est la cible qui fait le bruit . Et avec une balle de .408 Cheytac , le bruit c'est un concert ! Splendide ce n'était même plus un niveau c'était un nouveau monde orchestré par des artistes de la vie. Je n'en revenais toujours pas ! Comment avais-je vécu sans connaître le plaisir d'assuré la présence d'une femme ! Plus besoin d'épaté la jalousie des autres avec le nombre. La qualité d'une seule suffisait ! Elle avait les manières d'une princesse , le glamour d'une duchesse, la beauté d'un ange , la douceur d'un déesse , j'en tombais follement amoureux à chaque jour qui suivait ! Je devenais aussi niais qu'une gay pride ! Putain si l'amour donnait des ailes , je volais dans la stratosphère pour deux siècles . Alors oui ! Je ne mangeais plus d'hamburger toute les semaines . Je n'avais plus de fast-food tout les jours , quand je le voulais , à domicile , ou n'importe ou , jetable , portable , éjectable ou retirable. Mais j'avais à la place , à une présentation du Plaza de Athénée digne de celui que personne ne pouvait avoir. Je me vantais intérieurement de cette acquisition. Mieux qu'une Ferrari GTO. Ce n'était plus moi qui faisait l'amour ! Mais c'était elle qui me faisait l'amour ! Et j'adorai ça . Je rêvais de me faire violer par ses mains douces , dont elle abusait de moi , le soir dans mon lit fatigué . Je me laissais faire , j'adorai ce qu'elle faisait de moi. J'avais le dernier atout du gentleman ! Le plus fort , le plus puissant , mieux que l'argent , plus beau que le costume , plus sexy que le sourire , plus enthousiaste que la répartie , plus classique que la montre Younger and Bresson , j'avais une déesse à mon bras. J'avais la femme de qui oeuvrait dans l'ombre pour me faire briller dans la lumière. 


Bref bref , c'était un délice audacieux. Mais de tout ça , savez une chose nous les hommes , garçon , mecs , "zink" , connard. Tout comme vous êtes les mêmes à ne jamais savoir ce que vous voulez sans vous décidé mille fois avant de ne toujours pas savoir comme atteinte de la maladie de la perte de mémoire. Il faut savoir quelque chose à notre sujet . C'est que le caviar , ou l'hamburger , les deux n'ont pas le même goût c'est certains. Mais après 15 ans de caviar , ou 15 ans d'hamburger.. C'est toujours le même goût. La seule chose c'est que nous savons ce que nous voulons , c'est pourquoi nous l'évitons. Nous ne sommes pas assez con pour se satisfaire de ce que nous voulons , pour ensuite faire comme vous et nous étonnez bizarrement que les sentiments n'y sont plus. Bitch please. Les coups d'avance c'est ce qui différencie , les mecs , garçons , homme et gentleman. Un mec , garçon n'a aucun coup d'avance. Un homme en a un voir deux , et prévoit le reste . Le gentleman , invente ses coups d'avances. Mesdames , quand vous baisé un mec sur terre. On en a déchiré deux cents des vôtres, quand vous brisez le coeur d'un seul de nos hommes , on brise le cul de vos six prochaines générations. Alors qu'on se relaxe sur la vengeance , et l'infidélité. Vous voulez l'amour vrai , mais au restaurant vous êtes toutes les mêmes , vous regarder toujours le plat de l'autre. Nous on ose juste se servir avant vous. 

Baisez moi autant de fois que vous voulez , j'en ai baisé assez d'avance pour vous laisser tout le loisir du reste. J'aime les filles , mais je crois qu'elles m'aiment encore un peu plus. Vous êtes toutes les mêmes. A dire que le physique ne fait pas tout , mais une belle gueule , un beau sourire , et quelques paroles suffissent à mettre même les plus récalcitrante dans son lit. N'avons rien de respectable, mais rassurez vous. Vous non plus. La question de tout ça n'est pas de savoir comment vous faire l'amour. Mais plutôt quand. 


(Si tu lis ça alors que tu viens de te réveillée .. Qu'est-ce que ça doit être dur à avaler. M'enfin le pire c'est que t'en auras ri. Viole-moi. J'attend que ça. Pourvu que je t'excite. Parce que moi. Tu me rends dingue.)

mardi 28 janvier 2014

Chapitre 486 - L'essentiel , le reste inutile.





Quand on dit ce qui doit être dit. A l'instant où il le faut , tout le reste n'est qu'un ramassis de gâchis, une perte de temps. Vous avez fait fantasmé le public , la réalité vous acclame , vous êtes en accord avec vous même. Quand on se tait , c'est soi que vous avez raison , soit que vous êtes trop fort. Ou finalement que face à la réalité de la vérité.. Rien n'est à redire. Quoi qu'il en soit , après une parole pleine de profondeur et de vérité , qui nous bouscule on se sent toujours drôlement con. 

lundi 27 janvier 2014

Chapitre 485 - La dérision sexuelle.




Je suis la personne à qui tu ne parles pas , mais à celle à qui tu penses consciemment comme inconsciemment. J'hante tes pensées d'une rapidité aussi violente que son intensité. Je percute dans ton esprit comme une balle dans sa cible. Je suis la personne que tu ne veux pas voir , mais qui te fait mouiller tes draps de plaisirs. Je te fais suffoquer d'un plaisir de domination sans pareil. J'ose être le piquant que tu refuses. J'anime en toi la violence de la chair , du corps. Tu te persuades d'y dire non , mais c'est tout ton corps qui flanche , tu te retiens. Avec du mal , tu t'infliges douleur et dérision. Tu me trouves sexy sans que je ne le veuille. Tu fantasmes à m'imaginer t'enlaçant , et plantant mes crocs dans ta nuque pour te faire gémir. Tu serres tes draps de ta main , tu plantes tes griffes sur mon torse , tu caresses mon cou avant que je finisse par te prendre les cheveux , te tire en arrière. Tu n'aimes pas être esclave , ni dominée , mais ma domination te plait et ton corps la réclame, tu trouves ça choquant , violant , interdit , tu t'y refuses par respect , mais tu t'es laisse allée par pulsion. Tu te forces à ne pas pensé à moi , et pourtant tu finis par me confondre dans la rue. Tu as peur de ma venue , de me voir , m'apercevoir et pourtant , tu es toute aussi excitée de m'abordé au détour d'une ruelle. Tu te dis que je suis quelqu'un de bien pour te rassurer , et tout ton corps brûle au drame , avant que l'inverse ne se produise , tu finis par te dire que je suis mauvais alors que je te dévoile à toi comme jamais personne ne t'as dévoilé. Tu as peur de mes mots , de l'impact qu'un seul de mes regards peut avoir sur ta personne. Tu me fuis et pour mieux te réfugier , mais une fois en sécurité tu n'as plus le goût du risque , l'excitation , l'envie.. Et tu reviens me voir , comme un affrontement qui vire à la calamité ou tu te sens perdantes , tu adores cette emprise , tu y vois une drogue de laquelle tu ne pourrais te défaire. Je ne fais pas de toi quelqu'un de faible , simplement de plus émotionnellement forte. Et ça te rend dingue , tout mon être t'insupportes. Je suis la personne que tu as voulu une fois rencontrée dans ta vie pour la plaquée contre un mur , ou sur un bureau et lui faire l'amour comme une vraie femme. Sauf que tu te vois encore trop jeune , et tu me penses encore intouchable , inatteignable. Je suis le cauchemars dont tu te refuses à croire. Tu fuis pour mieux revenir. Je suis l'ultime personne que tu appels en secours à la toute fin. Car tu me sais persuasif et puissant. Quand rien ne va plus. Tu attends la dernière seconde , et soudainement quand tu entends le bruit d'une pierre de ton monde qui se met à s'effondrée , tu gémis mon nom en hurlant de toute tes forces pour que je vienne te sauver , et à ce moment peu importe que tu te retiennes en te disant que je suis dangereux. Et ça , tu ne le sais que bien trop. Je te fais sortir de cette convention de ce qu'on te force à être. Je suis le pire. Et rien ne t'émoustilles plus que ce côté noir que j'aborde . La vérité c'est que tu es raide dingue des mauvaises choses. Et dans le pire , il n'y a pas meilleur que moi. Sache-le , je ferai toujours en sorte de te rendre chaude à en transpirer dans ta couverture , à la limite de l'orgasme avant d'imposer la froideur de mes crocs. Tu y es accro. Et rien que pour ça , ou que je sois , quoi que je fasse. Tu me retrouveras. Quoi que tu dises , quoi que tu penses , quoi qu'on te dise à mon sujet. Quand j'hante tes pensées , même si cela ne dure que quelques instants , tu es incontrôlable , et tu te sens autres. Je suis le brasier que tu n'as jamais eu.



-L'assistant du diable.

dimanche 26 janvier 2014

Chapitre 484 - Petit , au collège , même au lycée je me trouvais moche. Pourtant on venait souvent me complimenté sur ma beauté physique.. Mais personne n'a jamais compris la mocheté que je pointais du doigt..









Je suis le genre d'individu , qui intrigue , intimide , avant de finalement peut être plaire , puis être admiré pour ce que je ne suis pas , mais ce que les gens veulent bien voir de l'image que je reflète. Ils finissent par s'attacher , me plaire , je leur répète que je ne suis pas quelqu'un de bien , mais rien n'y fait , elles continuent.. Et comme un film dont je connais déjà la fin , je me lasse. Car ensuite la déception vient , mon image déçoit parce que je donne trop de charisme à de la poussière. La déception , la douleur , je fini toujours par faire souffrir. Mon image est un affreux piège qui charme avant de détruire .. Pour c'est vrai , je l'avoue quelquefois.. Reconstruire. Après tout ça s’enchaîne une période de silence, d'ignorance , de souffrance quasi invisible , finalement l'ignorance prend la domination. Et cela se termine par l'oubli. L'oubli d'une seule personne.. Certains ont la capacité de se rappeler de tout , d'autres de bien parler , certains d'avoir de bonne manière d'engager certaines choses.. Moi , je n'oublie pas les gens et c'est un véritable problème.



24 m'ont oublié. 19 ont été détruit. 31 m'ignorent à ce jour. 4 ont été reconstruit.



Je ne supporte pas les gens qui peuvent oser m'aimer. Si moi je ne peux m'aimer. Aucun de vous n'en a le droit. Je ne veux pas être aimé par des gens qui partiront. Après tout.. Les gens nous laissent pas vrai ?




Et J'allais oublier , mes excuses , mais moi. Je ne pardonne pas. Jamais.


samedi 25 janvier 2014

Chapitre 483 - Je n'oublie jamais personne. Et c'est très chiant.





L'insouciance a parfois du bon. Pour ceux qui savent s'en contenter. Sans partir à la dérive , ou dans la luxure d'une envie plus profonde. L'insouciance est en soi, l'un des meilleurs cadeaux mit à notre disposition. Savoir y fixer ses limites , ce qu'on veut bien voir ,de ce qu'on s'interdit de regarder. Poser des frontières. Brider ses pensées , s'interdire tout un tas de sujet. Pour finalement se contenter de ce que l'on a. Sans chercher plus loin ni plus gratifiant pour nous-même. L'insouciance est gage de paix , une vie paisible sans intrigue ni curiosité. C'est la morte de la faim de savoir , d'apprendre de connaître. Et finalement la mort de nous en tant qu'être humain.

Je ne peux , pour ma part , me contenter de ce que j'ai. Je veux plus , toujours plus. Jusqu'à finalement ne plus rien avoir. Je ne veux ni confort , ni sécurité. Je recherche sans cesse l'originalité , la splendeur du moment dans ce qu'il a d'unique. J'apprend de la vie. Et j'enseigne à mes principes ses expériences. Rien n'est simple.. Pour tout avouer il est difficile certain jour de vouloir sortir de la couette. Ou même simplement de vouloir exister. Il y a des moments où j'aimerai être quelque chose d'inexistant , un spectateur , coupé du droit de vivre, simplement à cause des épreuves que je peux , et dois endurer. Je ne parle pas de problème existentiel qui bouleverserait le monde. Mais simplement dire que quelquefois , il y a des choses pour lesquelles nous ne sommes pas prêt.. Et c'est cette inconcevable chose pour laquelle , on ne cesse d'apprendre , comprendre , découvrir , partager.

Prévoir l'imprévisible. Ces jours sont nombreux et fatiguant , plus fatiguant pour l'âme que pour le corps. Mais il arrive aussi , que quelques rares jours , soit béni d'une lumière si bonne et si douce qu'y vivre une éternité ne serait pas suffisant pour quelqu'un de friand comme moi. Je suis le genre de kamikaze qu'on ne reconnaît que dans les moyens où le sacrifice fait douter. Je suis le quitte du double, et je désire incarné cet exemple. Simplement parce que je n'ai qu'une vie , et je ne compte pas en faire n'importe quoi. Ni n'importe comment. La vie est d'une douce brutalité .. Elle démoralise , tout en souriant en nous caressant le coeur d'un " Continu, il n'y a que toi qui sera capable de savoir ce qu'il y a derrière ça . ".

Bien évidemment , je finirai entre quatre planches , comme n'importe qui , seul le moment et la façon sont différentes , et je prie chaque jour pour que ma mort soit à la hauteur de ma vie. J'ai accepté la mort , le jour de ma naissance et la poursuite constante qu'elle me fait , m'amuse plus qu'elle ne m'inquiète. Mais de tout ça , je veux avoir la satisfaction d'avoir essayé. D'avoir fait quelque chose de ma vie. D'avoir tenter. Pour le reste c'est au temps de choisir si ma vie avait un réel sens ou non. Alors quand bien même , toi qui me lit chaque matin sous ta couette ou avec ta tablette devant ton chocolat avant de partir attaqué une dure journée , toi qui vient rapidement sur mon blog , ou toi qui y vient sans faire exprès en te croyant sur un site porno , ou encore toi petite brise légère qui navigue sur la toile , peu importe qui vous êtes , ce que vous pensez est la seule chose qui vaille la peine qu'on s'y attarde.. J'espère simplement que quelquefois vous osez. Même si vous vous persuadez que vous allez vous rétamez , échouez. Si vous avez essayer. Rien qu'une fois , alors que les impressions , votre vision , tout votre corps vous hurlez au drame.. Vous avez déjà crée le début d'une réussite. Le reste , c'est à vous de voir , si vous essayez ou arrêtez.

J'ai finalement trois ans plus tard , brisée la seule règle que je m'étais interdit de franchir sur ce "blog" "livre" "chapitre" . Haha , j'ai parlé de moi. Pour la première fois. L'auteur , et non la pensée. A croire que vraiment toutes les règles sont faites pour être brisées. Même les miennes. La raison domine la simplicité et la routine mais sans profondeur. Le coeur noie d'émotion et fait palir d'envie en sombrant définitivement dans le chaos. Encore un choix à faire. Mais pas le miens , celui là je ne l'ai pas choisi. Après tout , je ne suis qu'un Bélier.



La sunshine Febuary playlist est en cours.

mercredi 22 janvier 2014

Chapitre 482 - Le goût du risque : Le charme suprême







Du pompier , au mannequin , de l'athlète au bad boy , du gentil garçon au prince , de l'inconnu au gentlemen , du raffinement à la brutalité du vrai. Aucun homme n'est plus grand collectionneur et véritable aimant à femme que le pilote de formule 1. Peut être qu'au final cela réveil leurs désirs les plus poussés , les plus intimes et finalement les plus dangereux. C'est sûrement la proximité avec la mort , le fait de savoir qu'ils peuvent mourir , qu'il nargue , roule , provoque la mort à chaque virage. C'est l'excitation de ce que ça procure.. Ne me demandez pas comment , mais les femmes sentent ça. Elles sentent le feu de la vie , le frisson de la peur , l’engouement de la passion. Elles y trouvent quelque chose de totalement interdit et suprêmement dangereux. Assez pour s'y risquer. James Hunt , pilote play-boy qui rentre absolument cette catégorie d'homme dont toutes les femmes rêvaient d'avoir dans leurs lit sans pour autant le connaître , disait " Plus on frole la mort et plus on se sent vivre " .. Est-ce là , peut être le fait que les pilotes de formule 1 apprécie beaucoup plus le fait d'être en vie que la plupart des gens.. Après tout quand son métier est de jouer avec la vitesse , le frisson , et la mort. Qu'on y fait face plus d'une dizaine de fois dans le mois.. Si on fait face à la mort.. En face de quoi ne feraient-ils pas le poids ? Les pilotes de formule 1 incarnent la dualité de l'être , ils se savent mortel et connaissent les risquent c'est pourquoi ils sont prudents , mais ils connaissent l'adrénaline de la vitesse et c'est pourquoi , ils prennent des virages à 130 , 180 , 260 km/h. Les pilotes sont des bêtes qui s'enferment en attendant d'être sur le circuit pour dégager leurs rages.. Malheureusement nous sommes bien loin de l'attraction qu'apportée la F1 à la fin du siècle précédent , où star , artiste , politique vivaient le spectacle. La F1 devient de plus en plus un sport de club privé.


D'ailleurs les pilotes disent tous la même chose, aucunes drogues n'est plus puissante que la vitesse.

Au final on peut trouver Hamilton et Rosberg beau sur cette photo , en ayant conscience du métier qu'ils font , des risques. On ne peut que les trouver irrésistible. Haha la mort deviendrai le premier moteur de pulsion chez les femmes. Chez les filles et les gamines inutile d'en parler , elles changeraient leurs culottes toutes les trois secondes.  



" La vitesse est une drogue , une dose d'adrénaline dont on se rend compte au moment où , pied sur l'accélérateur , on se projette contre le siège. A la limite de s'enfoncer , l'anguille qui monte sans jamais s'arrêtée , le moteur qui hurle à la mort , le crépitement des soupapes. Ça fait peur , ça fait extrêmement peur , on se sent faible face à tant de puissance , tant de violence. C'est à ce moment là. A ce moment fatidique que vous êtes piqué. La vitesse est rien d'autre. Rien d'autre "

lundi 20 janvier 2014

Chapitre 481 - Le sacré connard joli coeur.

-Tu es comme un billet de cinq cent euros , rare , prisé , voulu , désiré. Mais où qu'on aille , personne ne te veut , tu es le raffinement inutile. Juste pour la brillance. La beauté pour la beauté. Rien d'autre. Tu es juste le symbole de quelque chose de beau mais d'inutile. Alors redescend de tes talons , t'es pas ta mère , et t'es encore moins une adulte. Tu te sens outrée , vexée comme une gamine à qui on refuse son doudou. Alors vas briller ailleurs , tu n'éblouies pas , t'emmerdes juste , et t'emmerdes sacrément , alors toi et ta face vous dégagez, dégage de mon soleil tu me bloques la vue pour rien.


[...]

-Désolé , mais, ce que tu as dis tout à l'heure a vachement blessée mon amie.. Tu ne voudrais pas allez t'excuser ?

-C'est ça le problème aujourd'hui vous êtes tellement fragile que vous refuser même d'accepter la vérité. Alors quoi.. Je devrais m'excuser d'avoir dit la vérité ? Tiens prend cet argent , paie lui un verre , et dit lui d'aller bien se faire foutre. Je vais pas présenté mes excuses à une baisée du slip élevée par des parents qui l'ont chouchoutée sans la mettre en garde des dangers du monde.

-Tu parles de vérité , mais t'es qu'un affreux connard qui juge sans savoir.

-Je ne juge pas , je dis ce que je vois. Si ça ne te plait pas ferme les yeux. Traite moi de connard si tu veux , t'es bien une grosse conne assez idiote pour être avec ce genre de personne juste par pitié. T'es une grosse conne , mais je ne te le dit pas. Parce que moi, je te respect.

-Tu vois mal alors.

-Et c'est moi qui juge ? C'est bien vous, ça . Tout dans le paradoxe. Mais tu as raison , je vois assez mal pour fermé les yeux. Et en les ré-ouvrant , tu auras disparu à la manière d'un horrible cauchemar dont on se défait , ou d'une merde de chien sur la chaussure.

-Espèce de..

-Prend ton temps , insulte moi, ça ne m'atteint pas. Je ne te considère pas. Ne t'estime pas. Et je suis a deux doigts de ne pas te respecter. Que tu crèves ou que tu vives. L'intérêt pour moi n'y ai clairement pas. Alors demande-toi si ça vaut le coup de perdre ton temps. A gâché ta stupide voix pour tenter d'avoir raison là où t'en est foutrement impossible. Tu me fais pas bouger un cil , ni même esquisser un sourire. Si au moins tu faisais pitié à en rire. Mais là c'est pas le cas. Alors rejoint ta copine. Dit lui toutes les insultes que tu veux de moi sans savoir. Juge moi. Considère moi. Dit lui que je ne vaux rien pour lui remonté le moral. Mais ça ne changera rien. J'ai brisé ton idiote d'amie en touchant ce qu'elle essayait de cachée.

-Tu dis ça sans le savoir.

-Ce que je sais c'est qu'elle est tellement humiliée face à moi qu'elle a demandée à une de ses amies de venir me parler. Mais maintenant ce que tu ne sais pas , c'est que tu risques de finir dans le même état qu'elle.

-Ne crois pas des choses qui..

-Qu'est-ce que j'en ai à foutre de ta phrase ? Toi tu attends une réponse. Moi non. D'où le fait que la conversation continue. Tu veux que je te parle. Mais tes mots résonnent comme le bruit d'une mouche qui s'enlise dans la merde. Tu recherches quelque chose de moi , ce qui n'est pas mon cas. D'où le fait que tu n'es pas en position pour sortir une fierté merdique. Bref j'ai fini mon verre. Désolé mais j'ai autre chose à faire que d'éduquer les gosses de vos irresponsables de parent. Croit toi forte , puissante , utilise toujours ta fierté , et juge sans savoir , et tu échoueras. Bonne journée à toi , et à ta pathétique amie.

dimanche 19 janvier 2014

Chapitre 480 - Sincérité incomprise




Un amour mérite-t-il tout les sacrifices ?



" Je suis amoureux de toi. Je l'ai su dès le début. Dès que j'ai eu cette stupide idée d'imaginer comment serait mon monde sans toi. Je n'ai pas su ce qu'il serait , je n'ai même pas pu l'imaginer .. Et tu sais pourquoi ? Pa..parce que .. Parce que mon cœur me faisait tellement mal que c'est comme si l'air de toute la pièce avait disparu soudainement . Ça m'a fait mal à en crever , je n'ai même pas imaginer mon monde sans toi , je n'ai même pas pu imaginer un monde .. le monde sans toi. T'étais devenue comme ça ! Sur un coup de tête , sur un coup de foudre , un puissant coup , un impressionnant coup ; tu étais devenue mon évidence ! Mon cœur se tordait dans tout les sens rien qu'à cette idée , la douleur était atroce , pire qu'une brûlure , j'avais l'enfer en moi , je brûlais de l'intérieur. J'étais stupide , idiot c'est vrai , et je le suis toujours autant , même encore plus insouciant , je cherche toujours le bon quand bien même je m'efforce de reflété le mauvais.. Mais ça , c'était une pure évidence , sans avis , sans choix , sans doute , mon cœur a donner à mon esprit la conclusion suivante , qu'importe ce qu'il advenait , qu'importe comment pouvait être le monde , il était parfait tant que toi , tu étais là. Et je te jure , je te promet sur tout ce que j'ai de plus cher que j'ai toujours cette brûlure quand j'y repense. Je me suis même moqué de moi , parce que c'était si fort , si soudainement sans un instant pouvoir contrôler tout ça , je.. je .. Je me suis tant moqué de moi à propos de ces sentiments , comme ceux des histoires pour enfant , ou de ceux des films , mais c'est fini .. Je.. Je donnerai ma vie pour toi , tout ce qu'elle représente , je veux te confier ma vie pour le restant de mes jours. Je veux être à tes cotés pour toujours.. Quand il s'agit de mon cœur .. Aucunes règles , aucun principe , rien.. Rien ne se met en travers de mes émotions , et j'ai beau le vouloir.. Moi.. Moi même je n'arrive pas à contrôler mes émotions quand il s'agit de toi , c'est trop puissant vraiment trop puissant , j'aimerai te dire que j'en rajoute , que je mens , et que je rend la chose plus grandiose qu'elle n'y parait , mais je t'en fais la promesse la plus sincère , que je ne peux rien faire quand mon cœur se dresse contre moi , quand il s'agit de toi. Je.. je me demande si des fois ce que je ressens n'est pas plus que de l'amour ? Existe-il quelque chose de plus puissant que l'amour ? Un stade , un palier que personne n'a encore franchi ? .. Je n'en sais rien , mais le sacrifice pour toi n'est même pas une option .. Tu es la chose la plus chère de toute ma vie , hier , aujourd'hui , demain , dans cent ans. Je ne veux pas être riche , je ne veux pas être heureux , je veux juste être avec toi. J'ai l'impression d'idéalisé la chose , on me le fait même remarqué , j'étais jeune et on me disait déjà que j'abusais , que je me mentais à moi même , mais après tout ce que j'ai enduré pour toi , pour que ce " nous " existe et continue d'exister après avoir traversé l'enfer , après l'avoir démantelé , ce n'est pas possible. Je me suis résigné à ça .. Les sentiments les plus forts , les plus beaux , les plus purs que je puisse ressentir , sont pour toi. Et putain .. Qu'est-ce qu'ils brillent ! Bordel ils brillent comme ces étoiles filantes que l'on peut voir les nuits de pleines Lune.. Ils ne s’arrêtent jamais de brillé , jamais.. Il n'y a pas un jour où tu étais moins importante ou moins cher à mon cœur . Pas un seul jour , et j'en suis dingue , je suis , le premier , et je resterai le plus stupéfait , à jamais de mes sentiments pour toi. Ils me donnent , ses sentiments l'impression , qu'aucune limite , qu'aucun obstacle n'est assez puissant pour les stopper.. J'en ai même peur. Peur de me rendre compte , que je peux en moi , avoir quelque chose d'aussi beau .. Ces sentiments .. Je ne comprend pas pourquoi moi.. Je .. Je ne mérite pas des sentiments aussi beaux , aussi puissant.. Ils ne me reviennent pas .. Je.. Je ne peux pas te dire que je t'aime .. Parce que c'est ridicule , parce que je ne t'aime pas , non.. C'est impensable... c'est bien plus fort que ça .. C'est bien plus fort que ce qu'il réside au fond d'un millier de vie. Ça dépasse même la vie en elle même , ces sentiments peuvent et m'ont déjà fait vivre , quand la vie , elle avait décidée de m'abandonner.. J'ai beau imaginé des tas de façon de te voir , des tas de façon de revoir notre première rencontre , et le résultat est le même partout , et de n'importe quelles manières : Je tombe irrévocablement amoureux de toi. "



Une des nombreuses choses que je ne t'ai jamais envoyée..

samedi 18 janvier 2014

Chapitre 479 - je me suis souvent demandé est-ce que quelqu'un a l'habitude de lire ce que j'écris ? De prendre le temps le matin avec un petit déjeuner de lire un de mes chapitres ? D'y aller quotidiennement ? Comme on pourrait lire un journal ou un magasine. Est-ce que quand je ne publie pas pendant quelques jours certains peuvent s'impatienter ? Je me demande souvent ça sans pour autant en obtenir une réponse. Qu'importe ce que je suis. Mes mots sont.. Mais j'avoue que ça me ferait plaisir et chaud au cœur de pouvoir être la distraction quotidienne matinale d'une seule personne..

Parfois je me demande si l'amour n'est pas un sentiment passager qui nous donne l'illusion de pouvoir durer très longtemps. Ou si réellement l'amour peut défier le temps , vivre en dehors sans en toucher les limites de l'espace. Il y a quelque chose de céleste dans la passion de l'amour qui peut faire vivre la vie. Oui.. Faire vivre la vie. 

Quoi qu'il en soit l'amour est dégueulasse avec nous. On lui donne le nom de " catastrophe magnifique " mais il n'y a rien de magnifique dans une catastrophe. Il n'y a même rien de beau dans le chaos. Il n'y a rien .. A part peut être la fin. L'amour peut faire vivre mais aussi tuer..

vendredi 17 janvier 2014

Chapitre 478 - BLACK MASK



La détente de la jambe , sa longueur ,sa largeur.. Ce sont les premières choses que je regarde chez une femme. Rien d'autre ne m'intéresse. Absolument rien.



Underground Charisma
L'excellence de Janvier.



J'ai cherché la gloire toute ma vie , j'ai obtenue mille et une victoires , j'ai dévoré la poussière qu'on me donnait sans poser de question pour un jour pouvoir m'élever à mon tour moi aussi et distribuer la poussière qu'on m'avait tant envoyé à la figure. J'ai chercher l'argent , la monnaie achetable par tous et pour tout. J'ai tenté de remplir mon coeur de choses matérielles , j'ai voyagé en emportant comme simple souvenir au détour du monde , que des objets inutiles dont je ne sais ni leurs places ni leurs utilités. J'ai réussi ce que j'avais dans la tête. Mais voilà que j'achève ma vie , en ayant un poids sur le cœur. Un poids que je ne parvient avec toutes les choses que j'ai , à ne pas libérer. J'ai vu de superbes choses , j'ai vécu des choses terrifiantes , drôle , exaltante , et sexuellement orgasmique. J'ai traversé le monde de long en large , des hôtels , aux palaces , par delà les cottages , les maisons de luxes de Chamonix , les maisons des Hamptons , les buildings de NYC , les Villa de Janeiro .. Et pourtant je suis vide. Vide d'émotion. Je n'ai pas su me rendre compte des émotions , des moments jouissifs que je passais , je n'en voyais que par le cœur. Tant et si bien que j'ai comblé mes désirs , mais pas ceux de mon cœur. Je ne me suis pas ressourcé auprès des beautés de la nature , ni de ses mystères , je n'ai pas chercher à me taire face à certains des merveilleux paysages que j'ai pu voir et entrevoir. Je ne me suis pas contenté de nourrir mon âme , simplement de rassasié mon appétit matériel. Maintenant qu'aujourd'hui , un petit dans la tombe , l'autre encore dans la vie , qui part petit à petit , je l'avoue.. Je n'ai pas su aimer , aimer fort , quelqu'un ou quelque chose . J'étais riche de tout ce que je n'avais pas besoin , et donc pauvre de l'essentiel. J'ai des souvenirs sans sens ni émotions enfoui dans ma tête. Peut être est-ce la conclusion de tout ce poids vide qui me pèse.. Peut être que mon âme n'a pas attendu ma mort pour quitter mon corps. Une coquille vide .. Quand suis-je devenue un de ses êtres sans profondeur qui meurt sans s'émouvoir , et qui ne ressent pas la beauté du monde et le souffle de l'amour bercé sa vie ? Il est trop tard pour moi de répondre à cette question , j'y ai toute ma vie , et l'essentiel ne s'apparaît à moi que maintenant. Je suis triste , triste de ne pas avoir aimer fort , de ne pas avoir fait ce que je voulais avec amour et passion , et simplement par envie. Je ne sais comment différencier la passion de l'envie , on m'a un jour dit , que la passion dévore une partie de nous . Comme une bête tapis dans l'ombre qui nous bouleverse. Là est peut être la différence , mais le temps m'a pris le peu de choix qu'il me reste actuellement. Je n'ai ni la force d'y répondre , ni la curiosité de chercher. Mais ce que je peux laisser de ce monde aujourd'hui c'est ça ; cette leçon que la vie a tenté de m'apprendre toute ma vie et que j'ai refusé , bourré dans mes petits désirs de ma minable vie aussi riche avais-je été , j'ai raté l'essentiel , et je sens presque la main de cette tendre vie me toucher du visage , comme pour me plaindre du mal qu'elle n'a pu se résoudre à effacer , puisque étant trop attaché à des choses sans valeurs je n'ai pas vu l'important. 
Voilà ce que je laisse de moi , de cette leçon que la vie m'a appris et que j'accepte au seuil de ma mort. Faite ce que vous voulez de votre vie , devenez riche , pauvre , beau , intelligent , moche , idiot , devenez méchant ou gentil peu importe. Mais n'oubliez jamais d'aimer. D'aimer fort. D'entreprendre toutes les choses que vous faite avec amour , passion , et désir.









Au delà de la mort , l'amour que nous avons donné est peut être l'unique chose que nous gardons.

Chapitre 477 - Que cherche-t-on à fuir dans la vie , pour que la mort nous rattrape sans cesse ?







Tant de doute , de choix , d'opportunité , qui si saisit changerait radicalement ma vie , ce que je suis , pense et fait. Je m'abandonne à songer qu'après tout n'avons nous qu'une seule vie ? Ne pouvons n'exister que d'une seule manière et pas de plusieurs ? l'Homme reste-il la prison ou le prisonnier d'un âme qui n'arrête jamais de croire , espérer , imaginer ? La réflexion m'envahit soudainement, elle enfile son doux manteau de velours , fin et soyeux , qui glisse sur ma peau jusqu'à y pénétré la chair et y épousé mon esprit. Ai-je , ou suis-je passé à côté de quelque chose d'important.. Il était tard , ou bien trop tôt , tout dépend du point que je pouvais y accorder. Mais faisais-je quelque chose qui allait me plaire ? Qui me plaisait réellement ou étais-ce le plaisir simple de la chair qui surpassait le désir de l'âme ? Comment le différencier ? .. Plus je me posais de question et plus le poids de la réflexion s’alourdissait sur mes épaules à la manières d'une de ses pièces dans les machines qui supportent les unes pour ne pas faire s’effondrer les autres. Alors quoi ? Le résultat de ma vie ne se déchiffrait nullement par du courage , de la persévérance , de la détermination ou toutes ces autres choses dont on vante les mérites en acclamant les critères qui peuvent faire de nous des héros ? Tout ça n'était qu'une adéquation de choix ? Un ensemble de décision qui prise ensemble bouleversait , et bouleverse ma vie ? N'y a t-il du hasard que son mot ? J'étais pris d'un intense tremblement qui fuyait dans tout mes muscles, jusqu'au bout de mes doigts , je tremblais à en être nu dans un igloo . Nu face peut être à la réalité qui me dépassait. Cette instant de clarté qui me faisait miroité comme un idiot sur une des choses qui brille , en s'attardant sur quelque chose sans valeur , tandis que silencieusement , et avec raffinement l'essentiel s'évaporait .. J'avais envie et pas envie . L'envie de le faire et d'éprouvé un plaisir aussi minable que désireux , me hantant l'esprit au point d'en faire un instinct primaire , et l'envie de ne pas le faire simplement parce que j'avais assurément peur , peur de ne pas savoir ce que le changement apporterai et si quelqu'un allait le savoir. Je ne voulais qu'être le seul au courant de tout ce bouleversement interne , ne pas le partager , ne pas le laisser voir. Mille et une opportunités pouvaient et s'offraient à moi. Certaines que je voyais , d'autres qu'il m'était incapable de voir , tant l'absurdité même de mon existence et la ridicule faiblardise dont je faisais preuve m'en empêchait. Et pourtant malgré tout , au milieu de cette lune dansante sur sa toile ténébreuse , peinte et orné de diamant qui , quand le temps leurs prenaient brillaient comme des lampadaires au milieu des forêts , à la manière d'un phare qui dirigent .. Je paniquais. Avais-je oublié ou raté une opportunité.. La vérité était bien plus horrible , quand tout mon corps y frémit à l'idée de la simple pensée , à la simple évocation de ce fait , dont la véracité est si brandissant , que mes doigts à l'écriture de ce texte y tremblent encore , et mes lèvres se resserrent.. Quand bien même avais-je raté ou laisser passé une opportunité , m'en serais-je rendu compte ?.. La réponse fut si vive qu'elle m'en coupa le souffle et stoppa le battement de coeur qui précédait la longue , et effroyable chute de mon âme.. Non.. Non.. Je n'avais aucun moyen de savoir si j'avais , j'ai , je raterai une opportunité .. Et il n'y en a aucune. J'étais terrifié , effroyablement terrifié , je ne voulais plus pensé , et pourtant mon esprit plus agile que ce corps maladroit ne pouvait s'en interrompre , il fallait que je sache , que je sache si il y avait un moyen , un seul et unique moyen , peut importe lequel , pourvu qu'on ne me laisse pas tomber. Pourvus qu'on ne me dise pas que tout ceci est normal et qu'il faut vivre ainsi.. Je ne pourrai supporter l'idée même de savoir que je rate des choses extraordinaires sans ne rien pouvoir y faire. Je préfère encore maladroitement me bercer d'illusion ou de mensonge que de vivre dans une pareille vérité. Je n'en avais , et je n'en ai pas la force. La raison prit le dessus sur tout cela . Comme une lueur d'espoir , une lumière douce à regarder , et plus je la voyais , et plus je respirai lentement. Doucement. Etrangement tout était calme , et j'étais détendu , le visage libéré , la pensée légère , le coeur dorloté . Je n'avais plus envie de la quitter des yeux. Ni même de faire quoi que ce soit d'autre. Elle me donna alors , la certitude la plus pure , dans sa forme la plus brute et la plus rare , dont il m'était indéniablement impossible de renier , nier , refuser .. Qu'il fallait faire confiance au monde. Qu'il fallait lui accorder sa confiance dans les décisions que nous choisissions car seul les actes , et conséquences dans la réalité sont des preuves ou non de la bonne direction de nos actes... La raison m'offrait alors , un véritable instant de vérité universelle. Dans laquelle je ne pouvais me résorbé à ne pas y croire. Elle était le silence véridique , la clarté de la véracité . Dans le mutisme le plus total , pris d'une dérision à en devenir fou , la raison , une fois de plus m'avez sauvé de la folie humaine et des ténèbres qui profilant la nuit n'attendent qu'une pensée pour vous dévorer. Cette chose , m'est apparue comme une évidence , une conviction , qui me dépassait . Je ressentai en moi que ce que je savais , où que je sois , quoi que je sois , qui que je sois , quoi que je fasse , ou quoi que je pense .. Ne changerait pas. Mort ou vivant , rien n’altérerait cette chose. Elle était en dehors du temps , des limites .. Faire confiance au monde.. Il fallait , et faut simplement faire confiance au monde..

Avant faire tombé le rideau en me couchant , je ne pouvais pas m'empêcher de me demandé .. Comment une apparition comme la raison a-t-elle pu venir à moi aussi simplement et efficacement. Vit-elle en moi ? En suis-je seulement conscient ? .. C'était un voyage de l'extérieur vers l'intérieur. J'ai trouvé en moi , les réponses que les questions extérieurs m'assommaient de dérision. De l'extérieur vers l'intérieur. Et je me perdais plus simplement en moi que dans ce monde tout entier.. La tête sous l'oreiller , la couverture jusqu'au épaule , j'assoupissait un dernier un soupir d'une journée plus que banale en me demandant seulement , à deux doigts de fermer les yeux et de dormir.. Si nous ne contenions pas un monde plus grand que celui que l'on connait dehors .. A l'intérieur de nous ? 

dimanche 12 janvier 2014

Chapitre 476 - Les Murs Flamboyant




Ralph Lauren Pre-Fall 2014 : Ah R.L fait quelque chose de splendide pour 2014 ?
(change tes genoux espèce de bombe , on dirait que tu t'es fait balayé avant d'entrer sur le podium.)





On m'a demandé un jour si je pensais que le monde pouvait changer, je me suis surpris à répondre que ce n'est pas le monde qui doit changer mais l'humanité et sa souffrance.





Et pour la beauté , et la classe , quoi qu'on en dise , Daemon est sexy , Chuck est démoniaquement brûlant. Pas besoin d'être un vampire pour incarner le mauvais garçon.




Il est dit que celui qui se pardonne ses erreurs , et accepte ce qu'il est sans chercher à se bercer d'illusion est capable de tout. Qu'il rivalise avec la plus puissante des forces. Car en lui il a trouver la clé de sa vie , le parchemin de son destin. On en raconte la défiance avec laquelle il bouleverse le temps. Dans l'Histoire , on a donné un nom à ces personnes , au même titre qu'on à su découvrir les êtres de lumières. On y dévoile des individus si résistant que même le plus tremblant des sols y restent figés comme un voile de glace. Ces êtres qui rassurent , endurent , et résistent même quand tout est disparu , pour qui l'espoir n'est pas une pensée, ni un moyen , mais un carburant consommé par leur détermination. La légende raconte que certain d'entre-eux brûlaient tant de volonté et de désir qu'ils en devenaient des flammes. Des mythes qui n'avaient pas peur de brûler pour devenir du feu , de mourir pour atteindre le paradis. Pour qui la mort n'était pas une fin , ni l'arrêt. Notre monde les a qualifiés de fou , de malade , tant ils combattaient pour des causes perdues. Mais ses êtres nous ont laissé comme héritage de leurs glorieux passé presque divin , une chose qui laisse notre monde actuel tellement bouleversé par ce trésor , que personne n'ose y croire et que la réalité dans laquelle nous vivons ne peut l'accepter et qui pourtant existait. Il y a dix , cent , mille ans. Un simple message , gravé dans chacune de nos têtes , au plus profond de notre âme que nous n'osons regarder tant notre société criante hurle au mensonge , à ces êtres que notre monde rejette aujourd'hui sans qui rien de tout ça n'existerai , nous ont laissé la source de leur espoir , eux ces " Murs flamboyant " :



RIEN N'EST IMPOSSIBLE.



Malheureusement tout comme il est impossible de reconnaître un être de lumière sauf quand il agit .. Il en est de même avec les Murs Flamboyant. A ceux qui protègent et aiment l'humanité plus que tout , même dans les heures les plus sombres de son existence ; merci . Merci d'avoir l'espoir et la force que nous ne trouvons pas en nous. C'est grâce à ces merveilles que l'on peut dire que le monde est beau. Certes cruel , mais terriblement beau.



vendredi 10 janvier 2014

Chapitre 475 - Pour le reste de ma vie , je continuerai à chercher une personne comme toi.













 Je n'ai rien su devenir du tout. Ni méchant, ni gentil , ni salaud , ni honnête - Ni un héros , ni un insecte - . Maintenant que j'achève ma vie dans mon trou. Je me moque de moi-même et je me console avec cette certitude aussi bilieuse qu'inutile : car quoi , un homme intelligent ne peut rien devenir. Il n'y a que les imbéciles qui deviennent.



[Fedor Dostoïevski]

jeudi 9 janvier 2014

Chapitre 474 - Leave fast , die later. (Rassure toi , ça déboite.)



- J'aurai une Aventador , une Muscle car , Une Bentley et finalement une BMW S1000RR.
- Tu ferais presque rire la mort avec tes conneries.
- Et je tuerai presque la peur que tu éprouves à mes désirs.
- J'aimerai être ton désir.
- Détend-toi j'vaux mieux que ça.
- Qu'est-ce que t'en sais.
- Ma détermination. Elle est différente de tout ce que j'ai vu.
- Et alors ?
- Et alors , je sais que quoi qu'il se passe , quoi que je fasse , peu importe ce que je ferai. Je l'aurai parce que je le veux vraiment. On m'a prouvé que rien n'était impossible.
- Tu te rends compte de ce que tu dis ?
- Je me rend surtout compte que j'ai plus de conviction que toi dans ce que je dis. Ca ce voit si rapidement les gens qui ne croient pas ce qu'ils disent.
-Ne me confond pas avec les autres.
- Je ne te confond pas , tu es les autres. Tu représentes le concensus que je déteste et que je briserai. Je briserai ce que vous avez fait des mots , et je leur remettraient leur vraies valeurs. Je changerai l'humanité au cas par cas si il le faut.
- T'es un putain de taré.
- Il faut au moins un vrai putain de kamikaze dans ce monde.






La vie est une salope; une superbe salope. Qui me fait rêver éveillé , qui me fait douter de ce qui est vrai de ce qui est impossible. Entre réalité et folie je suis et resterai un éternel soumis à cette peste. Quand j'ai une raison d'être malheureux , elle m'en trouve deux d'être heureux. Quand je trouve deux raisons pour reculer. Elle m'en trouve quatre pour avancer. C'est une folie furieuse , une maladie invisible qui nous pousse à préférer le " double " au quitte. C'est l'adrénaline dans ce qu'il y a de plus fou , la folie dans ce qu'elle a de plus drôle. Le risque dans ce qu'il a de plus violent. La vie est une salope dont j'aimerai tenir la laisse.
Elle est la stupidité qui nous anime , la stupidité qui nous prend quand rien ne peut être fait et qui nous dit " il faut essayer " , elle est cette même idiote qui nous dit que rien n'est perdu quand pourtant tout semble l'être. Elle distingue le danger , de la peur. En enlève la peur , et rajoute en danger , si bien que le danger ne fait plus peur mais excite. Trop de puissance , trop de possibilité , que de paroles ! Elle me rend plus en vie que jamais je n'aurai pu penser l'être. Suis-je réellement en vie , ou est-ce la sensation que j'en éprouve ? .. Rien à foutre , le frisson du danger est trop jouissif pour en distinguer le bien du mal , ce talent me pousse à l'orgasme de la connerie. J'en jouis sans m'arrêter , terminant drogué dans une vie que je n'aurai jamais pu imaginé , car là est la chance de cette superbe salope ! Riez, jouez.. Que serait un jeu sans ses règles ? Que serait le goût de la victoire sans le risque de la défaite ? C'est parce qu'il y a perdant , qu'existent des gagnants ! 




Qu'on s'en amuse , nous ne sommes qu'une lettre de toute un livre.  Au diable les grands mots . La vie est une superbe et téméraire salope ! Mais ! Une salope tout de même.

dimanche 5 janvier 2014

Chapitre 473 - La puissance divine ultime.

C'est vraiment sans nom ce que sont parfois les émotions. Le contraire de l'amour n'est pas la haine. C'est l'ignorance. Mais le contraire de la haine est impressionnant de contradiction. C'est l'amour. L'amour est le seul remède a la haine. Il faut accepter sa rancœur. Et l'aimé. L'aimé pour ce que l'on est. La haine est le moi sombre, le moi rejeté , le moi fait de colère , de souffrance et de silence. Il faut aimé. Il faut savoir aimé cette partie, sinon la haine ne partira jamais. Il faut l'accepter , puis y chercher au plus profond de soi un fragment d'amour. Parce la haine c'est l'amour qui sombre. L'amour qui n'a pas été accepté. Une relique du passé difficile a accepter et impossible à rejeté. La haine est impensable à battre en puissance pure. Il ne faut pas la combattre. Ni la rejeté. La haine se nourri de tout. Il faut l'enlacer dans ses bras et l'aimer de tout son cœur. Pas pour gagner ou la vaincre. Mais l'aimer simplement pour ce qu'elle est et aurai voulu être avant de sombré.. Voilà peut être ce qu'il y a de plus difficile chez l'être humain et ce que nous entendons par " battre la tempête silencieuse au fond de nous " .. Ce combat que seul nous-même pouvons mener... Aimer, l'impossible.


L'amour est le seul et unique remède de ce monde. Hier. Aujourd'hui. Demain. Pour toujours. Et jusqu'à la fin des temps. 

vendredi 3 janvier 2014

Chapitre Mortel

Ne pas accepter d'avoir était exclu n'est pas de la faute des autres. Il en revient a vous d'ouvrir les yeux et d'accepter ce qu'il convient de vous arrivez parce que vous le méritez. Et personne n'a le droit de dire ce que vous méritez ou non. Mais la vie , elle , a tout les droits sur vous. N'en voulez pas a quelqu'un. Ne chercher pas un responsable. Quand c'est vous le seul et unique coupable. Si vous n'avez ni la force ni le cran d'accepter ce qui vous arrive , n'allez pas a la rencontre des conséquences. Parce que vos choix sont vos conséquences. Et par delà-ça : vos problèmes. Ce genre de personne que vous êtes. Soit vous le changer quand vous le pouvez encore. Soit vous ne resterez qu'une merde sans jamais connaître votre valeur, toute votre vie. Ni victime. Ni coupable. Simplement pas mal de responsabilité. De tout ça, sur un champs de bataille , l'ignorance a prouvé son efficacité redoutable plus que n'importe quelles autres armes existantes. Elle a par ailleurs montrer une force requise pour l'utiliser que seul les plus sage et apte n'utilise qu'en dernier recours. Les autres sont condamnés à se forcer à oublié. Et à souffrir. L'ignorance est un meurtre silencieux. La persévérance est l'unique exception à cette monstruosité. Alors ne me juger pas quand je dis ce qui est juste , et ce que je vois. Vous n'êtes pas fort, mais je n'ai jamais insinuer que je l'étais. Si ce n'est pas votre complexe d'infériorité qui vous tueras. Ce sera moi. Cordialement, une joyeuse et magnifique année à toutes ces merdes qui se sur-estime , aux hypocrites , aux filles qui pensent qu'une fierté feront d'elles quelqu'un de forte , aux menteurs qui pensent s'en sortir , a ceux qui disent assumer sans connaître les responsabilités , aux personnes contradictoire , a ceux qui disent tout et n'importe quoi sans en peser les mots.

Loveless vous souhaite une très belle année 2014. A vous et vos illusions de merde. Dans ce monde de merde. Qui touche a sa fin. Soyez plus hypocrite que jamais. Et surtout vivez de haine. Et mourrez finalement de tristesse. Dans l'indifférence la plus totale. Meilleur vœux de douleur. Loveless vous embrasse tendrement. 

jeudi 2 janvier 2014

Chapitre 472 - " No Challenge Too Great "








Mon sang est ma force , ma sueur ma détermination , mes larmes ma haine. Je ne perdrai pas , parce que je me suis convaincu qu'il n'y avait pas d'autres options , pas d'autres chemins , pas d'excuse , pas de mensonge , pas d'argumentation. Ma vie n'est qu'un pari perdu d'avance. Dont je compte bien défié la chronique , accentué la peur , augmenté la frayeur , tout ça dans le but d'avoir une émotion pure , une émotion qui tiendra en elle , dix mille vies.  Je n'ai pas le choix , parce que le monde ne m'autorise pas à l'erreur. La marge d'échec est inexistante . C'est le tout pour le tout , sans explication , sans arme , la bataille est infini , et la guerre largement dominé. Mais faut-il fuir le champs ? Faut-il crier à l'échec ? Je ne supplierai pas l'erreur de me faire flanché , je n’idolâtrai pas la victoire de me venir. J'irai la chercher. Et si il n'existe pas de victoire pour ma gloire , alors je la créerai. Je ne veux pas gagner . Je dois gagner. Je ne veux pas perdre. Je n'en ai pas le droit. Prisonnier d'un combat sans issue possible , je façonnerai les armes de ma pensée à la lame de mon coeur , mes convictions seront pures , mes forces lamentables , ma détermination monstrueuse , je ne dois pas être fort , je dois me sentir fort. Je ne dois pas me demandé comment passé le mur qui apparaîtra devant moi , je dois me demandé de quelle manière de quelles façons vais-je détruire celui-ci. Si ne résout pas mes problèmes , si je ne fais pas mes propres combats personnes ne les fera pour moi. Quitte à perdre , je veux que cette défaite soit mienne , et pas votre. Mon sang , mon âme , mon combat , ma vie. Mon drame.






JAMAIS N'EST PAS TOUJOURS. PLUS N'EST JAMAIS DE TROP. ET TROP N'EST JAMAIS , JAMAIS ASSEZ.